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L’immortelle, et l’oeillet de mer
Qui pousse dans le sable,
La pervenche trop périssable,
Ou ce fenouil amer
Qui craquait sous la dent des chèvres
Ne vous en souvient-il,
Ni de la brise au sel subtil
Qui nous brûlait aux lèvres ?
Paul-Jean TOULET, Les Contrerimes, Poésie / Gallimard, 1979
Photo prise sur les hauteurs de la mer de Galilée, juillet 2011
Je languis de la mer.
Bon dimanche
😉
Très beau, très sensoriel, j’aime beaucoup !! Bon dimanche
J’adore les Contrerimes !
un souvenir amoureux ? bises
Qui sait ?…
il est chouette ton nouveau chez toi !
Merci, Theoma ! Viens quand tu veux 😉