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En ce mois de novembre, mois de célébration de l’armistice de la Première guerre mondiale, je vous propose une thématique « Guerre et paix ». J’ai choisi des airs tantôt légers voire comiques, tantôt des morceaux plus graves.
On commence par du léger (mais pas que pour le pauvre Cherubino) avec l’air de Figaro, Non piu andrai, à la fin du premier acte des Noces de Figaro de Mozart. Cherubino est un jeune page amoureux de la comtesse Almaviva et le comte veut le bannir et l’envoie à l’armée. Figaro, le valet du comte, se moque alors de Cherubino en lui chantant son avenir militaire. Un air à la fois léger et plein d’ironie, qui tourne à la marche militaire quand Figaro « expédie » le page.
Je voulais trouver une vidéo avec José Van Dam, l’excellent baryton belge, dans le rôle de Figaro. Dans celle-ci, le valet est bizarrement coiffé et l’artiste est plus jeune qu’aujourd’hui (attention, je ne veux pas dire qu’il est décati, au contraire, il donnait cette semaine des masterclasses au Château de La Hulpe, le château où a été tourné Le Maître de musique, et sa distinction, sa bienveillance, sa compétence sont délicieuses).
Merci! Ça fait du bien! 🙂
C’est Mozart ! 😉
Merci pour l’écoute ! 😉
Avec plaisir ! 😉
José Van Dam ne peut pas être décati ! il a trop de distinction 😉
Une élégance et une autorité naturelles, oui…
Ahhhh, Mozart…. Merci.
Eh oui.
Mozart !!!! Et avec la voix de José Van Dam ….. Merci !!!!
De rieeeen !!!
Merci ! Le nozze di Figaro, le premier opéra que j’ai vu sur scène.
Moi j’ai eu la chance de voir Don Giovanni.
Pour Don Giovanni, je croise les doigts pour l’an prochain (nous montons un projet pour emmener nos élèves voir cet opéra).
Je me réjouis de ce nouveau thème pour tes notes du jeudi, cela promet à nouveau de belles découvertes.
J’ai écouté récemment cet air-ci, en allant voir Les noces de Figaro (la pièce de Beaumarchais, partiellement complétée par des extraits de l’opéra de Mozart : une fusion très réussie et des acteurs impressionnants). Merci pour ce petit rappel bienvenu.
Idée intéressante de mêler la pièce et l’opéra !
Je ne mets pas le son (je suis à la bibli), mais pas la peine, je connais! J’ai d’ailleurs eu la surprise de retrouver cet air (euh, en gros) dans un autre opéra de Mozart, idoménée (ben oui, il a le droit, non? ^_^
Mais oui, bien sûr ! Beethoven a utilisé ‘air de l’Hymne à la joie dans plusieurs oeuvres aussi (et ce n’est qu’un exemple parmi d’autres : le fameux choral de Luther placé par Bach dans quantité de cantates religieuses, aussi…)