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Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d’une possible fièvre
Partir où personne ne part
Aimer jusqu’à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D’atteindre l’inaccessible étoile
Telle est ma quête,
Suivre l’étoile
Peu m’importent mes chances
Peu m’importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l’or d’un mot d’amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cur serait tranquille
Et les villes s’éclabousseraient de bleu
Parce qu’un malheureux
Brûle encore, bien qu’ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s’en écarteler
Pour atteindre l’inaccessible étoile
—
L’extrait célèbre de la comédie musicale L’homme de la Mancha chanté par Jacques Brel, ici chanté sur scène par José Van Dam. Notre baryton national a chanté cet air lors des funérailles de la Reine Fabiola ce vendredi 12 décembre. Olé, Madame !
Anne Anne Anne ….des frissons. Je ne connaissais pas cette version lyrique mais cet air reste pour moi …. Je crois que tu viens de toucher un point fragile et j’aime. Merci Anne
Que d’émotions ce week-end ! Merci à toi aussi 😉
J’aime beaucoup ce chant de Brel, mais hier j’ai préféré le chant espagnol, olé !
J’étais persuadée que cette chanson était de Barbara. Curieux…
une belle idée de nous replonger dans cette musique magnifique
Et un texte qui nous tire vers le haut, c’est bien aussi 😉
Ce texte est affiché au-dessus de mon lit ! « suivre l’étoile »…
Beau programme de vie ! 😉
Je ne connaissais que la version de Brel. C’est tres surprenant de voir le texte chanté par José van Dam – un baryton que j’aime beaucoup. Merci pour la découverte.
J’admire vraiment beaucoup José Van Dam.
Je pense que c’est ma chanson préférée de Brel. Elle me colle à la peau et le remue à chaque fois que je l’entends.
La preuve que c’est du bon !