Nous sommes rares
nous sommes riches
—
comme la terre
nous rêvons.
—
Joséphine BACON, Bâtons à message Tshissinuatshitakana, Mémoire d’encrier, 2009
(En pause mais impossible de ne pas saluer le Québec et les Premières Nations avec ce court poème de Joséphine Bacon.)

WordPress:
J'aime chargement…
Articles similaires
Ce soir la lune déborde
Une mélodie raconte un son
Une incantation de tambour chante une terre
Un loup hurle sa joie
Les caribous sont là
Un cœur bat
Un rythme sonne un sourire
Une danse invite
À une seule musique
Où les pas laissent leurs traces
Joséphine Bacon
Inniun petakuan / Le bruit de la vie
Oooh un autre recueil à chercher ! Merci, Martine !
Musique de mon coeur
Laisse le vent caresser la vie
Une tendresse pour un pas de danse
Une salle de bal tapissée de lichens
Et de constellations
Dessine mon infini
(Extrait d’Un thé dans la toundra, Joséphine Bacon)
Très beau ! Merci, Mina !
Je n’ai pas de Joséphine Bacon sous la main à compléter, là, tout de suite, mais juste un merci tout simple pour ce morceau poétique en ce chouette dimanche ! A vendredi pour Gaëtan Soucy, ma chère Anne !
Tu seras enfouie sous la neige avec ce Gaétan Soucy, Lili, prépare-toi ! 😉
Merci ma chère! J’aime beaucoup ses textes!
Et moi donc !
Quelques vers, une empreinte, la beauté…
La ténacité d’une femme qui veut rester fidèle à ses racines qu’on a tenté de couper.
Très beau, un haïku du grand nord.
Pas tout à fait un haïku…
j’aime et j’aime aussi le nom de l’éditeur : mémoire d’encrier
Oui, c’est un très beau nom !
Beau et juste 🙂
La simplicité et le sourire de cette grande dame me restent en mémoire !