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Présentation de l’éditeur :
La Nuit du renard… Un de ces livres à suspense qu’il n’est pas question de poser avant d’être arrivé à la dernière page ! On serait même tenté, parfois, d’aller voir comment il finit pour pouvoir supporter la palpitante angoisse de tous ses rebondissements. Cependant on suit pas à pas, dans leurs cheminements périlleux ou inquiétants, des personnages attachants auxquels on croit de la façon la plus absolue. Le rythme et la tension de ce roman sont véritablement hallucinants. Mary Higgins Clark crée un extraordinaire climat de terreur. Et le dénouement, saisissant, fait passer des frissons dans le dos.
Cette présentation de l’éditeur est bien sûr hyper positive mais autant lire ça plutôt que la vraie quatrième de couverture qui révèle bien trop de choses à mon goût : si vous n’avez encore jamais lu ce classique de Mary Higgins Clark, ne la lisez pas avant de commencer ! Pourquoi ? Parce que, de toute façon, le lecteur suit l’histoire à travers le point de vue de tous les personnages, que l’on suit alternativement, au fil de chapitres assez courts qui entretiennent évidemment le suspense. Sachez juste qu’à Carley (Connecticut), un homme, qui se fait appeler Renard, enlève Neil et Sharon, un enfant asthmatique et une journaliste qui était presque prête à épouser Steve Peterson, le père de Neil. Nina, la première épouse de Steve, a été assassinée quelques années auparavant, sous les yeux de son fils, et il se fait que l’enlèvement coïncide avec les jours où l’assassin présumé sera exécuté. Dès lors une course contre la montre va s’engager entre le kidnappeur, le FBI, l’avocat du meurtrier et d’autres personnages secondaires qui apportent chacun leur petite pierre au suspense. Un suspense haletant même si le lecteur a toujours, comme le kidnappeur, un coup d’avance sur les enquêteurs, puisque nous accompagnons tous les personnages dans l’aventure, une sorte de puzzle où les moindres détails s’enchaînent et s’emboîtent jusqu’au finale, particulièrement bien orchestré par Mary Higgins Clark. Un bon moment de lecture !
Mary HIGGINS CLARK, La nuit du renard, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Anne Damour, Le Livre de poche, 2016 (première édition Albin Michel, 1979)
Comme le roman se passe entre le Connecticut et New York, j’ajoute cet état à ma balade aux Etats-Unis en 50 romans.
Un bon cru de l’auteur (après, c’était moins bien, et je l’ai laissée)
Je dois en avoir lu un autre, dans le temps… je sais qu’elle a ronronné sur son succès.
Ah oui, un classique, je l’ai lu il y a …. hum. Un bon souvenir de lecture.
En septembre, il ne me faut pas de prise de tête, ce roman était parfait. Et puis, prêté par Miss Nièce… comment résister ? (donc je sais que je peux le mettre dans des listes scolaires !!) 😉
Excellent ! Miss Nièce suit un parcours de lecture tout à fait classique ^-^
Je crois que c’est à cet âge que je suis tombée dans/sur Arsène Lupin et Dame Agatha 🙂
Moi aussi (Agatha seulement, jamais vraiment lu Maurice Leblanc)
Lu il y a très longtemps et en lisant le résumé que tu en fais, je me rends compte que je n’en ai aucun souvenir. A l’époque, je me rappelle avoir trouvé ça un peu simpliste et plat. Je n’avais jamais retenté l’auteure ensuite malgré son statut de prêtresse du polar. Vu le commentaire de Keisha, je risque de ne pas lui redonner une seconde chance. As-tu lu d’autres titres?
Oh tu sais, parois il suffit qu’on me raconte une bonne histoire avec un peu de suspense, ça me suffit, je n’aime pas les polars trop gores. Je dois avoir lu « Nous n’irons plus au bois » mais je n’en ai aucun souvenir (et ne suis même pas sûre du titre).
ça me rappelle mon adolescence, je piquais les bouquins à ma mère qui était fan de l’auteur!
Ca donne un parfum particulier à la lecture 😉
Jamais lu ! Il y a tellement de choix en polars , difficile de tout lire !
C’est ma nièce de quinze ans qui l’a acheté, il est donc passé par la case Tatie 😉 (sinon c’est vrai, on ne peut Vraaaaiment pas tout lire).
pucha…je l’avais lu…je l’avais bien aime…et je l’ai oublie…faut dire que j’avais mange tous les MHC de l’epoque…et maintenant je melange…lol..mais il fait parti de la bien bonne epoque de MHC…c sur…;)
Je n’en ai lu que deux, je suis mauvais juge, mais oui, il est considéré comme un des meilleurs.
Comme d’autres, ce fut le premier livre d’elle que j’ai lu et j’étais accrochée comme une naufragée… J’ai lu le suivant et là, ce fut la déception. Je n’en ai plus jamais lu d’autres, mais ils ont souvent servi de « scenario » à des téléfilms plutôt médiocres, et ça ne me donne pas envie de la lire encore.
Elle habite à Saddle-River, NJ, et je suis souvent passée là, charmante petite ville presque sortie d’un film où on aurait reconstitué la petite bourgade idéale pour un film de Disney 😀
Qui croirait que de si sombres histoires naissent sous de si charmants fronts ?? 😉
J’ai eu ma période Mary Higgins Clarke au collège, je dois avoir une dizaine de ses premiers romans chez moi, puis je me suis arrêtée après avoir lu un ou deux romans franchement moins bons et très commerciaux. Je sais que j’avais la Nuit du Renard mais je ne me demande si ça ne fait pas partie des deux titres que je n’avais finalement pas lus… à rechercher chez mes parents 🙂 Je me souviens que c’est celui qui avait eu plein de prix à l’époque !
Je n’ai pas boudé mon plaisir, d’autant que c’était un prêt de ma louloute de nièce !
Je me souviens que j’avais passé un bon moment.
Bonsoir Anne, ce premier roman de MH Clark reste son meilleur (à mon avis) avec La clinique du docteur H. Bonne soirée.
Merci pour l’autre idée de lecture. Bon week-end, Dasola