Étiquettes

Quatrième de couverture :
Lucas Burton déteste la campagne ; de la boue, du fumier, des charognes, et c’est tout. Il a bien raison. En se rendant pour affaires dans une ferme abandonnée au milieu de nulle part, il tombe sur le cadavre d’une jeune fille. Ses ennuis ne font que commencer : Penny Gower, qui travaille au centre équestre du coin, a vu sa Mercedes grise quitter les lieux du crime. Les choses commencent à sentir le roussi pour Lucas…
L’inspectrice Jess Campbell est chargée de l’enquête, mais entre l’absence de piste solide et son nouveau commissaire, Ian Carter qui la surveille en permanence, elle est sous pression. C’est alors qu’on découvre un nouveau cadavre…
Soyons honnête, la quatrième de couverture tourne l’histoire d’une manière un peu bizarre et le titre original (Mud, muck and dead things) est bien plus amusant que le titre français. Mais cela n’enlève rien au côté plaisant de cette lecture, un cosy mystery dans le Gloucestershire, où Jess Campbell, une jeune inspectrice sympathique, compose tant avec un collègue bougon et un nouveau chef mystérieux qu’avec un vieil homme apparemment buté – mais surtout très choqué – sur la propriété duquel a été abandonné le corps d’une jeune femme que les enquêteurs mettront plusieurs jours à identifier. Il se trouve que dans la ferme du vieux Eli, a eu lieu un autre drame trente ans plus tôt : le frère jumeau d’Eli a assassiné leurs parents, apparemment sans raison. Immédiatement Eli a condamné la maison et ne parle pas plus que nécessaire.
Jess va mener son enquête dans un haras proche de la ferme, dans un pub chic des environs et dans la maison d’un homme d’affaires parvenu. On ne s’ennuie pas, les personnages sont sympas (et plus intéressants que l’intrigue dans ce type de polar) mais ce n’est pas la lecture du siècle. Dans le genre, j’ai préféré les Détectives du Yorkshire. Cela dit, mes neurones bien mobilisés en cette rentrée scolaire se sont bien reposés avec cette lecture 😉
Ann GRANGER, Cottage, fantômes et guet-apens, traduit de l’anglais par Elisabeth Kern, 10/18, 2020
Une dernière participation au challenge Cottagecore chez Missycornish, catégorie Retour aux sources
Oui, je sentais bien le cosy mystery!
C’est à la mode.
Tout comme Keisha. 🙂 Eh bien, nous avons tous nos lectures idéales pour décompresser.
Un petit polar anglais, ça me va en toute saison 😉
On a besoin de temps en temps de reposer nos neurones et c’est le genre idéal, à condition de ne pas trop en abuser 😉
Oui, mais si les neurones restent à plat ? 😉 🙂
Les neurones finissent toujours par repartir 😉 😉 mais il faut parfois se donner le temps ..
Cosy mystery … Je ne connaissais pas l’expression mais elle est évocatrice d’une ambiance bien sympathique ! Mais j’avoe que je préfère un plus plus de noir, même pour me détendre !
Comme je le disais à A girl, un petit polar anglais (plus ou moins noir, c’est vrai) me convient tout le temps ! 😉
une lecture sympathique et reposante c’est tout à fait pour moi en ce moment j’ai noté j’aime bien ce style de livre qui aide à passer le temps de façon intelligente mais douce
J’avoue, j’ai déjà le suivant, on verra si ça maintient mon intérêt 😉
Une lecture plaisante, genre cosy mystery, je ne dis pas non !
Mais oui, bien sûr 😉
Oui je vois comme toi le côté très utile de ce type d’histoires : la détente neuronale et le plaisir de lire sans pression et sans attente non plus. J’aime moins le titre de ce polar : je le trouve un peu bof !
Le titre anglais est bien plus parlant, en effet !