• Anniversaires Maisons d’édition
  • Je remplis ma PAL…
  • Je vide ma PAL…
  • Le Mois belge
  • Lectures thématiques
  • Mémoire 14-18
  • Mots amis à visiter
  • Présentation et contact
  • Quelques projets et challenges

~ Quelques notes de musique et quantité de livres

Archives de Tag: Arléa

Max, en apparence

27 lundi Avr 2020

Posted by anne7500 in De la Belgitude, Des Mots au féminin

≈ 11 Commentaires

Étiquettes

Arléa, Le Mois belge 2020, Nathalie Skowronek

Quatrième de couverture :

En apparence, Max avait laissé Auschwitz derrière lui.
Une histoire ancienne qui avait fini par s’effacer, comme dans mon souvenir le numéro tatoué sur son bras qu’enfant je connaissais par cœur, et que j’avais pourtant fini par oublier.
Mon grand-père Max était à présent un homme d’affaires qui, associé à Pavel, son vieil ami des camps, trafiquait par-dessus le mur de Berlin pour alimenter la nomenklatura d’Allemagne de l’Est en produits de luxe et marchés divers. Tout aurait été pour le mieux, Max vivant au milieu de sa cour, si ce départ pour Berlin (qui avait été il n’y a pas si longtemps le cœur de la machine de mort) ne s’était fait au prix de l’abandon de son épouse et de sa petite fille, restées à Liège.
En apparence seulement.
Car Max chaque matin faisait le tour du zoo de Berlin, avec dans ses poches ses pilules, et un petit sac de diamants.

J’ai lu le premier roman de Nathalie Skowronek, Karen et moi,  il y a cinq ans déjà, j’ai longuement attendu avant de renouer avec elle,par crainte sans doute de ne pas retrouver le même enchantement (parfois je crains de ne plus rien avoir à lire d’un auteur aimé, pourtant ici trois titres sont parus depuis Max, en apparence, dont un tout récent).

Nathalie Skowronek fait allusion à son premier roman dans celui-ci, mais je ne me souvenais pas qu’elle évoquait déjà si explicitement le mal-être lié à ses ascendants, aux manques, aux trous dans son histoire familiale marquée par la déportation des Juifs de Belgique. Donc on peut dire que la narratrice de Karen et moi était déjà presque un double de l’autrice. Ici, celle-ci part sur les traces de son grand-père maternel, Max, rescapé d’Auschwitz ou plutôt de Jawischowitz, un des camps satellites où les prisonniers travaillaient durement à la mine de charbon. Max dont une grande partie de la famille a disparu à Auschwitz, ses parents, sa première femme, une soeur et des frères. Max qui a survécu aux marches de la mort. Une fois revenu, il s’est assez vite remarié avec Rayele, mais il a rapidement délaissé sa femme et sa fille (la mère de Nathalie Skowronek) pour vivre en Allemagne, à Berlin, et y mener des affaires plus ou moins louches avec un ami rescapé lui aussi du même camp, naviguant entre RDA et RFA et s’enrichissant rapidement et volontairement dans le pays où était né le régime nazi.

Max n’a jamais – ou si peu – évoqué ce qu’il avait vécu à Auschwitz. Consciente que les silences familiaux ont mené à la dépression de sa mère et à son propre mal-être, Nathalie Skowronek mène l’enquête auprès des membres survivants de la famille, dont certains ont émigré en Israël. Elle essaye aussi de rassembler ses propres souvenirs, avec pour fil conducteur le numéro tatoué sur le bras de Max, signe non verbal, implicite alors que l’homme n’a jamais raconté son histoire. L’auteure amasse aussi une quantité impressionnante de lectures sur le sujet, ce qui l’aide à construire son roman, tandis qu’elle ne cesse de se poser des questions sur la pertinence de sa recherche.

Cette lecture a suscité en moi de multiples sentiments. J’ai aimé tout cet aspect de recherche et de questionnement bien légitime et tellement délicat de la part de l’autrice vis-à-vis de sa famille. J’ai été surprise par la personnalité de Max, qui a recouvert de silence tout ce qu’il avait subi en tant que Juif jusqu’à la libération des camps : pendant quelques années, j’ai organisé pour les rhétos de mon école la rencontre avec d’anciens déportés et la question de la transmission semblait tellement évidente pour ces personnes que la volonté de silence de Max a vraiment été surprenante. Elle n’est certes pas si manichéenne que cela et l’homme avait vraiment une personnalité très complexe mais quand même… Je dois dire aussi qu’après une série de lecture sur des personnes âgées, sur le thème de la mémoire, du souvenir, dans lequel cette lecture s’intégrait parfaitement, et après plusieurs semaines de confinement et une perspective de sortie étrange, j’ai eu un peu de mal à arriver au bout du livre, assez pesant. Mais cela n’enlève rien à ses qualités et à la sensibilité de son autrice.

« Nous en étions là. A cet amas d’histoires qui se transmettaient à notre insu sans que personne pût ordonner les choses. Lorsque je commençai à m’y intéresser, je compris que je m’étais donné la tâche d’organiser le chaos dont j’étais l’héritière. »

« Quoique je tente, je n’écrirai jamais qu’un ersatz d’une réalité que je ne peux appréhender. Plus j’avance, plus j’interroge, plus je lis, plus je me sais vague, incomplète, en-deçà de ce qui a été. Et l’écrire (faute avouée, faute à moitié pardonnée ?) ne me protège de rien. Quoique je fasse, je reste de l’autre côté. »

Nathalie SKOWRONEK, Max, en apparence, Arléa, 2013

Je publie ce billet alors que nous avons appris hier le décès de Henri Kichka à l’âge de 94 ans. Cet ancien déporté n’a cessé de témoigner de son « expérience » d’Auschwitz, auprès des jeunes notamment. « Un virus microscopique a réussi là où toute l’armée nazie avait échoué » a annoncé son fils hier 26 avril. Nathalie Skowronek évoque le témoignage écrit d’Henri Kichka dans son roman.

Eux sur la photo

04 mardi Sep 2018

Posted by anne7500 in Des Mots au féminin, Des Mots français

≈ 16 Commentaires

Étiquettes

Arléa, Hélène Gestern, Photographie, Premier Roman

Quatrième de couverture :

Une petite annonce dans un journal comme une bouteille à la mer. Hélène cherche la vérité sur sa mère, morte lorsqu’elle avait trois ans. Ses indices: deux noms et une photographie retrouvée dans des papiers de famille, qui montre une jeune femme heureuse et insouciante, entourée de deux hommes qu’Hélène ne connaît pas. 

Une réponse arrive: Stéphane, un scientifique vivant en Angleterre, a reconnu son père. Commence alors une longue correspondance, parsemée d’indices, d’abord ténus, puis plus troublants. Patiemment, Hélène et Stéphane remontent le temps, dépouillant leurs archives familiales, scrutant des photographies, cherchant dans leur mémoire.

Peu à peu, les histoires se recoupent, se répondent, formant un récit différent de ce qu’on leur avait dit.

Ma mini-série sur la photographie était l’occasion de sortir ce livre de ma PAL, où il reposait bien gentiment depuis longtemps (il a eu beaucoup de succès à sa sortie sur les blogs).

Le secret de famille, c’est un thème qui m’intéresse. Il se révèle ici d’une façon à la fois originale et familière : qui ne s’est jamais posé de questions devant les vieux albums-photos familiaux ? C’est par une petite annonce qu’Hélène Hyvert commence sa recherche. S’ensuit alors une correspondance entre elle et Stéphane Crüsten, dont les étapes se marquent par la description de différentes photos : autant de jalons de l’histoire de sa mère à elle et de son père à lui pour lever de plus en plus le vole sur la relation interdite qui a existé entre eux.

Des vieilles photos, des échanges de lettres (mais aussi de courriels), voilà des choses qui peuvent paraître désuètes aujourd’hui. Et de fait, le roman est empli de mélancolie sur ce qui a été, ce qui n’a pas été et aurait pu être, mais aussi plein de résilience sur la manière dont les descendants assument un secret de famille.

Ceci dit, j’ai trouvé ce premier roman un peu trop gentil, même s’il est très bien écrit et rythmé. On pourra encore dire que je suis un chameau sans coeur, mais il m’a manqué un peu de piquant, de sel pour garder une trace durable de cette lecture.

Premières lignes : « La photographie a fixé pour toujours trois silhouettes en plein soleil, deux hommes et une femme. Ils sont tout de blanc vêtus et tiennent une raquette à la main. La jeune femme se trouve au milieu : l’homme qui est à sa droite, assez grand, est penché vers elle, comme s’il était sur le point de lui dire quelque chose. Le deuxième homme, à sa gauche, se tient un peu en retrait, une jambe fléchie, et prend appui sur sa raquette, dans une posture humoristique à la Charlie Chaplin. Tous trois ont l’air d’avoir environ trente ans, mais peu être le plus grand est-il un peu plus âgé. Le paysage en arrière-plan, que masquent en partie les volumes d’une installation sportive, est à la fois alpin et sylvestre : un massif, encore blanc à son sommet, ferme la perspective en imprimant sur la scène une allure irréelle de carte postale.

Tout, dans ce portrait de groupe, respire la légèreté et l’insouciance mondaine. »

Hélène GESTERN, Eux sur la photo, Arléa, 2011

Quelques jours consacrés à la photo

 Art

Histoire d’un bonheur

04 vendredi Mai 2018

Posted by anne7500 in De la Belgitude, Des Mots au féminin

≈ 10 Commentaires

Étiquettes

Arléa, Geneviève Damas, Histoire d'un bonheur

Quatrième de couverture :

Quel est le secret d’Anita Beauthier ? Rien ne la prédestinait à rencontrer Nourreddine, élève en difficulté dans une école de la ville et à lier avec lui une relation faite de crainte et de tendresse.

Rien ne laissait penser non plus que Simon, beau-frère d’Anita, homme solitaire et taciturne, rencontrerait Nathalie, la voisine, trahie par son mari.

Histoire d’un bonheur est le récit de ces rencontres improbables, porteuses de vraies questions : qu’est-ce que le bonheur ? Et comment se libérer des conventions d’une vie toute tracée pour découvrir, peut-être, son propre chemin ?

Histoire d’un bonheur est un roman choral qui commence et se termine par la voix d’Anita Beauthier, femme que l’on croit parfaitement heureuse, équipée, éduquée pour être une parfaite bourgeoise fière de son mari et de ses enfants. Mais en réalité, on sent un combat de tous les instants pour rester dans les clous, on devine l’aveuglement d’Anita sur ce qu’elle pense être le bonheur et on comprend qu’elle souffre sans doute de troubles bipolaires bien camouflés par les médicaments. Mais voilà qu’elle arrête son traitement et que tout s’enraye devant ce qu’elle appelle la « maladie » de son fils adoré.

« C’est pourquoi aujourd’hui il faut dire non, lutter contre cette morosité ambiante, ce gris qui s’insinue partout autour de nous – sauf dans ma cuisine où c’est ravissant. Oui, il est possible de vivre heureuse, contente et épanouie et de le faire savoir. Oui, il est essentiel de rester positif et de s’attacher à la beauté qui nous entoure comme autant de bulles de bonheur. »

Nourreddine n’aurait jamais dû rencontrer celle qu’il va tendrement appeler Mamita, lui qui, à treize ans, croupit sur les bancs de l’école primaire et est déjà un petit délinquant qui a bien compris que le modèle de bonheur standard proposé par la société de consommation n’est pas pour lui.

« Même ça commence à bien m’exciter, cette histoire, parce que j’en viens à penser que moi aussi, avec un peu de chance, je pourrais devenir quelqu’un si je le veux, y a pas que les autres que moi qui ont un avenir. Napoléon, au départ, c’était un rien du tout, un immigré qui ne parlait pas le français, pas un Arabe quand même, mais un étranger qu’on ne regardait même pas. »

Nathalie, la voisine d’Anita, subit de plein fouet la trahison de son mari et celle du quotidien qui a englouti son bonheur conjugal. C’est le personnage de la partie centrale du roman, écrite non pas en je mais en tu, accentuant sa détresse et ses désirs de femme.

« Je voyais une autre vie, une vie où tout va lentement, où tu tournes autour de ce que tu attends tout doucement parce que tu sais qu’au bout du chemin ça finira bien par te sourire, où tu fais des efforts jour après jour comme une poignée de petits cailloux, où tu encaisses sans broncher pour finalement la rafler un jour comme tout le monde ta part de lumière. La part à laquelle tu as droit. »

Enfin Simon, le beau-frère d’Anita au visage ravagé par un accident, éducateur dans l’école de Nourreddine, subit les choses, il croit que le bonheur lui est devenu inaccessible. Mais ne suffit-il pas de composer avec ce que l’on a, avec ce que l’on est pour être heureux ?

Dans ce récit vif, au langage pétillant, Geneviève Damas joue avec des images, des rêves de bonheur. Sous l’histoire pleine d’humour, avec sa délicieuse capacité à se glisser dans la peau de ses personnages si différents, elle pose la question de savoir comment être soi, sans se conformer aux modèles tout faits, aux conventions sclérosantes. Et si la fin n’est pas complètement un dénouement heureux, elle a réussi à faire bouger certaines lignes…

Il m’a fallu bien du temps pour lire ce deuxième roman de Geneviève Damas… J’avais peur d’être déçue tant j’avais aimé Si tu passes la rivière. J’avais tort, j’ai passé un très bon moment de lecture, un beau moment d’humanité.

Geneviève DAMAS, Histoire d’un bonheur, Arléa, 2014

 Mot positif

 

Karen et moi

18 samedi Avr 2015

Posted by anne7500 in De la Belgitude, Des Mots au féminin

≈ 26 Commentaires

Étiquettes

Arléa, Karen et moi, Le Mois belge, Nathalie Showronek

Quatrième de couverture :

C’est d’abord l’histoire d’une rencontre, que seule la littérature rend possible, entre un écrivain magnifique, Karen Blixen, et une petite fille de onze ans qui lit La Ferme africaine sous une tente. Le temps passant, la petite fille solitaire est devenue une jeune femme qui entreprend d’écrire la biographie de celle qui l’accompagne depuis toujours. Plus elle s’enfonce dans son récit et plus elle découvre que la Karen de ses rêves — celle qui étouffe dans les salons danois, embarque pour l’Afrique avec Bror, son mari, se consume d’amour pour Denys, puis revient, dix-sept ans plus tard, à la maison familiale de Rungstedlund, seule et brisée — la renvoie à sa propre existence et à ses aspirations enfouies.

Commence alors un long chemin intérieur, où le sentiment d’étrangeté au monde, les souvenirs douloureux et les désirs contenus sous les apparences d’une vie rangée sont autant de liens secrets qui réunissent les deux femmes. Karen et moi, ou comment se sauver par l’écriture.

J’ai envie de vous parler de ce livre mais je ne serai pas à la hauteur, je le crains. Je l’ai ouvert avec un sentiment de déception lié à ma lecture précédente (Pierrot de rien) et il m’a tout de suite happée, charmée, touchée… et je ne crois pas que ces sentiments soient à mettre uniquement sur le compte de la déception d’avant. Je me contenterai sans doute de quelques impressions fortes liées à cette lecture.

D’abord le bonheur de retrouver Karen Blixen et cette célèbre phrase « J’avais une ferme en Afrique, au pied des montagnes du Ngong… » Une phrase évidemment rendue célèbre par le film de Sidney Pollack, Out of Africa, et je l’avoue, ce n’était pas évident d’évacuer complètement les souvenirs de Meryl Streep et Robert Redford : même si Nathalie Skowronek ou plutôt sa narratrice ne peut pas ne pas y faire allusion, elle nous apprend bien plus que la belle histoire de Karen au Kenya, de son amour pour Denys Fynch-Hatton. Grâce à la correspondance de Karen BLixen, à ses visites sur les lieux où elle a vécu, au Danemark et en Afrique, cette narratrice (dont nous ne connaîtrons jamais le nom) nous conte l’enfance, l’adolescence, la personnalité hors-norme de la jeune Karen, marquée à tout jamais par les tourments de son père Wilhelm et toujours soutenue par sa mère Ingeborg.

Ensuite, le secret de ce Karen et moi, ce sont les liens, apparents ou plus secrets, entre la narratrice et Karen : originalité, difficulté à trouver sa place, secrets et douleurs familiaux, désir et apaisement liés à l’écriture, accompagnement inaltéré de la littérature… tant de choses qui relient ces deux personnalités complexes, écorchées, assoiffées d’amour. Et malgré la souffrance si forte qui ressort de l’histoire de la narratrice, malgré toutes les pertes subies par Karen, il y a, avec et envers le passé, une marche en avant, il y a une lumière au bout du tunnel. Pour être pleinement soi-même tout en vivant avec les douleurs à peine apprivoisées de sa propre histoire.

Et puis l’amour des livres, la littérature qui sauve, qui guérit, qui accompagne : le Buck de Jack London devient presque un troisième personnage qui cristallise les aspirations de Karen et de sa biographe improvisée.

Voilà quelques souvenirs forts de cette lecture, avec un sentiment de fluidité dans l’écriture, d’osmose naturelle entre la narratrice (dans quelle mesure Nathalie Skowronek puise-t-elle dans son histoire personnelle, je me le demande) et Karen Blixen qui est finalement encore plus proche de nous, lecteurs. C’était vraiment très fort et très touchant.

« J’ai raconté cette histoire des dizaines de fois à mes filles. Je leur dis les différentes couches qui nous composent et la nécessité, le moment, venu, de s’engager dans la voie qu’on a choisie. Une partie de moi aimerait rester comme Lullu, celle qui vient et qui repart, au gré de ses envies, de son besoin d’espace et de ses peurs de petite fille. L’autre a compris qu’elle ne pourra exister qu’à la condition d’affirmer son identité. C’est une lutte que je mène autant pour moi que pour soutenir le regard des autres. Elle me brise, mais que faire sinon trouver ma place, enfin me situer, même à la marge, même das la forêt. A moi d’y aller, je n’en peux plus de vouloir être partout, et donc nulle part. » (p. 90-91)

Nathalie SKOWRONEK, Karen et moi, Arléa, 2011

Les avis de Laeti et Marilyne

Le site de Nathalie Skowronek

Mois belge Logo Folon Redstar 38 gras blanc ombre orange 1 sans bord

"Un seul soupir du chat défait tous les noeuds invisibles de l'air. Ce soupir plus léger que la pensée est tout ce que j'attends des livres."

Christian BOBIN, Un assassin blanc comme neige, Gallimard

Les mots en cours

Le Mercato d'hiver (Le Mercato d'hiver, Tome 1)

Les challenges maison !

Le Mois belge d'Anne et Mina
Cliquez sur le logo pour accéder au écapitulatif 2020 et déposer vos liens


Mémoire 14-18


Entrez votre adresse mail pour suivre ce blog et recevoir des notifications de nouveaux articles par mail.

Rejoignez 240 autres abonnés

Articles récents

  • La couleur des sentiments
  • Les notes du jeudi : Ame afro-américaine (4) Gospel
  • La maîtresse de Carlos Gardel
  • Les notes du jeudi : Ame afro-américaine (3) Paul McCartney
  • Le Mois belge 2021, ça vous dit ?

Vos mots récents

Carnet de lecture dans Le Mois belge 2021, ça vous di…
anne7500 dans La maîtresse de Carlos Ga…
anne7500 dans La couleur des sentiments
anne7500 dans La couleur des sentiments
Athalie dans La maîtresse de Carlos Ga…

Les catégories de mots

Les Mots d’archives

Méta

  • Inscription
  • Connexion
  • Flux des publications
  • Flux des commentaires
  • WordPress.com
Paperblog : Les meilleurs actualités issues des blogs

Étiquettes

10/18 14-18 2013 2015 2016 Actes Sud Agatha Christie Agatha Raisin enquête Albin Michel Anne Perry Argentine Armel Job Babel BD BD du mercredi Belgique Casterman Concours Reine Elisabeth Dargaud Didier Jeunesse Editions Bruno Doucey Editions Luce Wilquin Emile Verhaeren En train Esperluète éditions exil Flammarion Folio Gallimard Guillaume Apollinaire Guy Goffette haïkus hiver Jacques Brel Jazz Jean Sébastien Bach Le Livre de poche Le mois anglais Le Mois belge Le Mois belge 2020 Le mois belge d'Anne et Mina Leonard Bernstein Liana Levi Ludwig von Beethoven Maurice Ravel Mozart Mémoire d'encrier Métailié Norvège nouvelles Noël Ouverture Paris Paul Verlaine piano Pocket Points polar Poésie Premier Roman Première guerre mondiale printemps Prix Première Quadrature Québec Rentrée littéraire 2012 Rentrée littéraire 2013 Rentrée littéraire 2014 Résistance Violon violoncelle Wilfred Owen Xavier Hanotte Zulma étoiles

Créez un site Web ou un blog gratuitement sur WordPress.com.

Annuler

 
Chargement des commentaires…
Commentaire
    ×
    Confidentialité & Cookies : Ce site utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site, vous acceptez leur utilisation.
    Pour en savoir davantage, y compris comment contrôler les cookies, voir : Politique relative aux cookies