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Archives de Tag: Jonathan Coe

Le coeur de l’Angleterre

15 vendredi Jan 2021

Posted by anne7500 in Des Mots britanniques

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Gallimard, Jonathan Coe

Quatrième de couverture :

Comment en est-on arrivé là? C’est la question que se pose Jonathan Coe dans ce roman brillant qui chronique avec une ironie mordante l’histoire politique de l’Angleterre des années 2010. Du premier gouvernement de coalition en Grande-Bretagne aux émeutes de Londres en 2011, de la fièvre joyeuse et collective des jeux Olympiques de 2012 au couperet du référendum sur le Brexit, Le cœur de l’Angleterre explore avec humour et mélancolie les désillusions publiques et privées d’une nation en crise.
Dans cette période trouble où les destins individuels et collectifs basculent, les membres de la famille Trotter reprennent du service. Benjamin a maintenant cinquante ans et s’engage dans une improbable carrière littéraire, sa sœur Lois voit ses anciens démons revenir la hanter, son vieux père Colin n’aspire qu’à voter en faveur d’une sortie de l’Europe et sa nièce Sophie se demande si le Brexit est une cause valable de divorce.
Au fil de cette méditation douce-amère sur les relations humaines, la perte et le passage inexorable du temps, le chantre incontesté de l’Angleterre questionne avec malice les grandes sources de crispation contemporaines : le nationalisme, l’austérité, le politiquement correct et les identités.

J’ai lu ce livre entre fin décembre et début janvier, juste au moment où Boris Johnson se réjouissait haut et fort de l’accord qu’il avait obtenu de l’Union européenne et de la sortie définitive du Royaume-Uni hors de cette Union. Pendant ce temps, sûrement, beaucoup se désolaient de ce Brexit, même si on le sait, on ne peut plus revenir en arrière. Depuis j’ai vu un documentaire sur le Premier ministre britannique, assez accablant sur l’intelligence mêlée d’opportunisme et de cynisme de cet homme et sur les conséquences de la sortie de la Grande-Bretagne. A vrai dire, comme Jonathan Coe l’expliquait en 2019 à la sortie de son livre en français, il y a longtemps que l’action d’une certaine classe politique et d’autres causes ont entraîné la GB dans cet engrenage infernal (du point de vue d’un auteur clairement anti-Brexit). Il a parlé de la génération Thatcher dans Bienvenue au club et Le cercle fermé qui mettaient déjà en scène les protagonistes du Coeur de l’Angleterre (et que j’ai envie de relire maintenant !). Dans ce dernier roman traduit en français, il permet de comprendre relativement facilement comment les Britanniques des années 2010, héritière des années 80, en sont arrivés à se déchirer et à se diviser profondément sur la question du Brexit qu’un homme politique (David Cameron) a agitée à leur nez à des fins électoralistes et comment le résultat du référendum a obligé la classe politique à bricoler une sortie de l’Europe à laquelle, dirait-on, personne ne s’attendait. 

A travers le destin des Trotter, frère et soeur, Benjamin et Lois, qui tentent de vivre la meilleure vie possible loin de l’agitation du monde, de leur père qui ne comprend plus ce monde dans lequel il vit, de Doug, éditorialiste politique, de Sophie, la nièce de Benjamin, universitaire qui se marie avec un homme totalement différent, Jonathan Coe nous fait saisir les mille et une nuances de la sensibilité britannique (nuances cruellement absentes dans la réflexion politique, faut-il le souligner) et les cassures de la société anglaise : fossé entre générations, fracture sociale criante que rien ne semble pouvoir réparer, divergences intellectuelles irréconciliables. L’auteur brosse un portrait sans concession, mais avec l’art du rythme et de la construction, une finesse psychologique et un sens de l’humour que j’adore définitivement ! Les conversations ubuesques entre Doug et son informateur, une certaine scène dans une penderie constituent des perles romanesques inoubliables !

Je ne vous en dirai pas plus sur ce coup de coeur qui commençait bien l’année, c’est toujours difficile de parler d’un livre tellement riche et tellement apprécié.

De nombreuses citations sur Babelio

Jonathan COE, Le coeur de l’Angleterre, traduit de l’anglais par Josée Kamoun, Gallimard, 2019

Challenge Petit Bac 2021 : Lieu

 

Expo 58

02 samedi Juin 2018

Posted by anne7500 in Des Mots britanniques

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expo 58, Gallimard, Jonathan Coe

Quatrième de couverture :

Londres, 1958. Thomas Foley dispose d’une certaine ancienneté au ministère de l’Information quand on vient lui proposer de participer à un événement historique, l’Exposition universelle, qui doit se tenir cette année-là à Bruxelles. Il devra y superviser la construction du Pavillon britannique et veiller à la bonne tenue d’un pub, Le Britannia, censé incarner la culture de son pays. Le jeune Foley, alors qu’il vient de devenir père, est séduit par cette proposition exotique, et Sylvia, son épouse, ne voit pas son départ d’un très bon œil. Elle fera toutefois bonne figure, et la correspondance qu’ils échangeront viendra entrecouper le récit des nombreuses péripéties qui attendent notre héros au pays du roi Baudouin, où il est très vite rejoint par de savoureux personnages : Chersky, un journaliste russe qui pose des questions à la manière du KGB, Tony, le scientifique anglais responsable d’une machine, la ZETA, qui pourrait faire avancer la technologie du nucléaire, Anneke, enfin, l’hôtesse belge qui va devenir sa garde rapprochée… 
Coe embarque le lecteur dans une histoire pleine de rebondissements, sans que jamais la tension ne retombe ou que le ridicule ne l’emporte. Sous la forme d’une parodie de roman d’espionnage, il médite sur le sens de nos existences et dresse le portrait d’un monde disparu, l’Angleterre des années 1950, une société tiraillée entre une certaine attirance pour la liberté que semble offrir la modernité et un attachement viscéral aux convenances et aux traditions en place.

Pour le premier rendez-vous du Mois anglais, j’ai choisi ce roman de Jonathan Coe, ce qui me donnait un autre regard sur l’Exposition universelle de Bruxelles en 1958. D’emblée, Jonathan Coe explique très pédagogiquement le pourquoi de cette expo, en deux pages au bout desquelles il introduit son héros Thomas Foley, un petit Anglais très ordinaire dont le monde va s’ouvrir avec excitation à l’occasion de ces six mois qu’il passera à Bruxelles, à la tête du pub anglais ouvert pour l’occasion. Au Britannia, Thomas sera témoin (à l’insu de son plein gré) du rapprochement (ou pas) entre les USA et l’URSS, en la personne d’Emily Parker, démonstratrice d’aspirateur et d’Andrey Chersky, journaliste soviétique. Il vibrera pour Anneke, la jolie hôtesse belge et fera de son mieux pour être un bon citoyen et sujet de Sa Majesté la Reine d’Angleterre. 

Le moins que l’on puisse dire, c’est que sous des dehors de roman léger, Jonathan Coe est extrêmement bien documenté sur cette Expo universelle (il ne faut pas attendre sa longue liste de remerciements pour s’en convaincre) : il dit avoir été fasciné par l’Atomium et l’Expo 58 à la suite d’une interview par la radio flamande sur les lieux mêmes de la manifestation, qui aura duré six mois. Il glisse quantité de détails véridiques sur l’architecture des pavillons nationaux, les lieux de divertissement du parc, les personnes qui travaillaient sur le site, dans un récit enlevé et évidemment plein d’humour. Il s’amuse à parodier les romans d’espionnage, multipliant les références à Ian Fleming notamment et mettant en scène un couple d’espions, Wayne et Radford, sorte de Dupont et Dupond aux dialogues aussi improbables qu’hilarants. Son sens de l’observation est vif et mordant, comme toujours.

Chez Jonathan Coe, le diable est dans les détails : connaissez-vous les coussins coricides Calloway ? saviez-vous que dans les paquets de chips Smith de 1958, le sel était placé à part dans un petit sac spécial ? Ces purs produits de la technologie anglaise jouent un rôle non négligeable dans ce roman jubilatoire dont les pages se tournent toutes seules.

« – Euh… il y a cette perte, bien sûr, repris promptement Cooke, même s’il était clair que ce n’était pas ce dont il parlait au premier chef, vous avez notre sympathie quant à vos, vos débuts dans la vie, disons. Entre le pub, et les, les origines belges, vous avez dû vous sentir lourdement handicapé. »

« Que voulait dire être britannique, en 1958 ? On n’en savait trop rien. L’Angleterre s’enracinait dans la tradition, c’était un fait acquis : ses traditions, le monde entier les admirait et les lui enviait avec son panache et son protocole. Mais en même temps, elle s’engluait dans son passé : bridée qu’elle était par des distinctions de classe archaïques, sous la coupe d’un Establishment porté au secret et indéboulonnable, l’innovation l’effarouchait. Bref, à vouloir définir l’identité britannique, fallait-il plutôt se tourner vers le passé ou vers l’avenir ? »

« Les toilettes jouent un rôle crucial dans la vie quotidienne. C’est vrai, nous y passons tous, n’est-ce pas ? Nous faisons tous… – Il déglutit avec effort – … nous faisons tous, après tout.
– Nous faisons tous, Mr Sykes ? Nous faisons tous quoi ?
– Enfin… à quoi bon prétendre le contraire, n’est-ce pas, au fond ?
– Pour l’amour du ciel, de quoi parlez-vous ?
– Vous le savez bien, nous faisons tous la grosse commission.
– La grosse commission ?
– Précisément, s’écria Gardner, en se levant d’un bond pour arpenter le tour de la table. Skyes a mis le doigt dessus. Nous faisons tous la grosse commission, sir John, même vous !
(…)
En avez-vous fini, Gardner ? Puis, prenant son silence pour un acquiescement, il ajouta : « Puis-je faire observer que, à l’entrée du Pavillon que vous vous proposez de défigurer avec vos obscénités, les visiteurs trouveront un portrait de sa Majesté la Reine ? »

La citation qui risque de créer un grave problème diplomatique entre l’Angleterre et la Belgique 😉 « Le fait est que ces Belges sont plus andouilles que nature, ils connaissent rien à la bière, et d’ailleurs rien à rien. »

Jonathan COE, Expo 58, traduit (remarquablement) de l’anglais par Josée Kamoun, Gallimard, 2014

 Art

Le miroir brisé

07 vendredi Mar 2014

Posted by anne7500 in Des Mots britanniques, Des Mots en Jeunesse

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Gallimard jeunesse, Jonathan Coe, Le miroir brisé

Présentation de l’éditeur :

Claire, une jeune fille solitaire et souvent livrée à elle-même, se glisse un jour dans une décharge laissée à l’abandon au fond de son jardin. Soudain, au milieu de toutes sortes de vieux objets hétéroclites, un vif éclat de lumière l’éblouit. Il provient d’un miroir brisé en forme d’étoile irrégulière. Le miroir est magique et le monde qu’il reflète tellement plus beau que celui dans lequel elle vit. Et si les rêves avaient le pouvoir de changer le monde ?

Le premier roman jeunesse de Jonathan Coe se présente comme « une fable intemporelle pour le plaisir des lecteurs de tous âges ». Comment ne pas penser d’abord à Alice au pays des merveilles, avec ce morceau de miroir qui transforme la réalité et ce nom de Peter Lewis (compagnon de classe de l’héroïne, Claire), certainement pas choisi au hasard !

Mais ce roman va plus loin, puisqu’il fait grandir petit à petit son personnage principal, Claire, qui passe de l’enfance à l’adolescence et se rend compte que ses rêves d’enfant se ternissent, que l’injustice règne, que le monde sécurisant de ses parents tremble sur ses fondations et que la ville où elle habite est sale et moche (le genre choisi n’empêche pas Jonathan Coe de faire des références concrètes à de vraies situations britanniques, sans doute !).

Les désillusions, les blessures de l’adolescence s’ouvriront heureusement sur de la lumière, à découvrir en lisant ce petit livre qui fait du bien. Il nous parle de la solitude et de la solidarité, il nous dit que les rêves d’enfant peuvent toujours nous porter en grandissant à condition de ne pas gommer la réalité du monde qui nous entoure, il nous invite « à bien réfléchir et à travailler ensemble » pour un monde plus humain.

Les illustrations de Chiara Coccorese, dans un style mi-réaliste mi-rétro ne m’ont pas toujours plu mais j’ai aimé la petite surprise de la fin qui vaut mieux qu’un grand discours. Un joli cadeau pour des jeunes à partir de 11 ans – que je vais m’empresser de faire !

« Il lui semblait que le grand thème de l’histoire était la quête de la justice, la lutte pour que tout homme ait la chance de tirer le meilleur parti de sa vie. Sauf que régulièrement les choses tournaient mal, on commettait les mêmes erreurs, les faibles étaient incapables de se défendre parce que c’étaient toujours les riches et les puissants qui déterminaient le cours des événements. Elle repensait à la fête du Sport, il y avait tant d’années, où elle avait tenté de prendre le parti de son amie, et où personne n’avait voulu l’écouter parce que chacun avait son idée derrière la tête, ses intérêts personnels, ses objectifs à atteindre. Elle prit conscience qu’elle avait appris une leçon importante ce jour-là, et qu’elle pourrait apprendre la même en observant le répertoire infini de péripéties semblables qui composaient l’histoire majuscule de l’humanité, laquelle se répétait en spirale. » (p. 68-69)

Jonathan COE, Le miroir brisé, traduit de l’anglais par Josée Kamoun, illustrations de Chiara Coccorese, Gallimard jeunesse, 2014

J’ai craqué, je me suis réinscrite au challenge God save the livre, ce sera mon premier billet pour 2014, et je l’inscris aussi au Petit bac (Objet) pour une deuxième ligne.

Petit Bac 2014   logo Challenge littérature anglaise

La vie très privée de Mr Sim

30 mardi Août 2011

Posted by anne7500 in Des Mots britanniques

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Jonathan Coe

Quatrième de couverture :

Maxwell Sim est un loser de quarante-huit ans. Voué à l’échec dès sa naissance (qui ne fut pas désirée), poursuivi par l’échec à l’âge adulte (sa femme le quitte, sa fille rit doucement de lui), il s’accepte tel qu’il est et trouve même certaine satisfaction à son état. Mais voilà qu’une proposition inattendue lui fait traverser l’Angleterre au volant d’une Toyota hybride, nantie d’un GPS à la voix bouleversante dont, à force de solitude, il va tomber amoureux. Son équipée de commis-voyageur, représentant en brosses à dents dernier cri, le ramène parmi les paysages et les visages de son enfance, notamment auprès de son père sur lequel il fait d’étranges découvertes : le roman est aussi un jeu de piste relancé par la réapparition de lettres, journaux, manuscrits qui introduisent autant d’éléments nouveaux à verser au dossier du passé. Et toujours Max pense à la femme chinoise et à sa fille, aperçues dans un restaurant en Australie, dont l’entente et le bonheur d’être ensemble l’ont tant fasciné. Va-t-il les retrouver? Et pour quelle nouvelle aventure? Brouillant joyeusement les cartes de la vérité et de l’imposture, Coe l’illusionniste se réserve le dernier mot de l’histoire, qui ne manquera pas de nous surprendre.
Plus d’une génération va se reconnaître dans ce roman qui nous enchante avec un humour tout britannique, bien préférable au désespoir.

Ca y est, je le tiens, mon coup de coeur absolu du mois d’août ! Ah quel bonheur de retrouver Jonathan Coe, son art de dresser un portrait, de nous entraîner dans une aventure improbable, de nous faire rire… et de s’en tirer avec une de ces pirouettes… à laquelle je ne m’attendais, mais alors pas du tout !

Dans ce billet, j’espère que vous lirez entre les lignes l’enthousiasme, la joie de retrouver celui que j’ai découvert dans Testament à l’anglaise (allez lire le billet que Krol lui a consacré, et son avis très … avisé sur les romanciers britanniques), qui m’a fait mourir de rire dans La maison du sommeil, et qui m’a emportée dans l’Angleterre tatchérienne grâce à Bienvenue au club. (J’ai lu aussi Une touche d’amour et Les nains de la mort, son premier roman.) Il me reste dans la PAL La pluie, avant qu’elle tombe. Et je me rends compte que je n’ai hélas pas beaucoup de souvenirs des histoires racontées. Si ma PAL n’était aussi gigantesque (ou grotesque, ça dépend du point de vue), je me mettrais à relire tous ces bouquins, comme ceux d’un ami fidèle que je retrouve avec plaisir ! (Ok, ok, ce billet est aussi une déclaration d’amour à Jonathan Coe.) (Pour une fois que c’est pas un autre Anglais célèbre, plaignez-vous !)

J’étais donc, ces jours-ci, en train de suivre avec intérêt, ardeur, impatience, les aventures de Max. J’ai été à la fois amusée et horrifiée par ses échecs à répétition, et je me demandais où cela allait arriver. Une fois de plus, Jonathan Coe a su user de genres différents pour construire un puzzle où lettres, journal intime, devoir de psycho et nouvelle d’écrivain en herbe se conjuguent au monologue intérieur de Max pour extirper la racine de son mal-être. Cela semble se résoudre de façon magistrale… quand la finale vous tombe dessus sans crier gare !

Et donc, ce qui était jusque là un roman bien construit, habilement mené, qui, mine de rien, nous faisait réfléchir un peu à la solitude, à la notion d’amitié aujourd’hui, au vrai et au faux, au trucage, devient un livre sur la création littéraire, les sources d’inspiration, le rapport aux personnages… J’ai été bluffée, menée en bateau sur toute la ligne et j’ai aimé ça !!

Petite anecdote de lecture personnelle : tout le monde (ou presque) connaît ou a entendu parler de la célèbre page 113 de Sukkwan Island (David Vann). Eh bien, la page 113 de La vie très privée de Mr Sim a eu beaucoup d’effet sur moi aussi. Ceux qui ont déjà lu le livre se souviendront que c’est le moment où Max, de retour d’Australie, épluche désespérément son courrier, sa page Facebook pour se rendre compte que plus personne ne pense à lui. Mais ô joie,Outlook lui révèle la présence de 137 messages… vous vous souvenez ? Ca m’a fait pleurer de rire, les pages 114 à 117 !

Quant à vous qui avez la chance de devoir encore découvrir ce génial auteur, vous l’aurez compris : faites-vous du bien, lisez ce livre !!

Les avis de Cachou et de Keisha (où, dans les commentaires, Anis a eu la bonté de nous faire partager une photo de l’auteur…)

Jonathan COE, La vie très privée de Mr Sim, Gallimard, 2011 (tradit de l’anglais par Josée Kamoun)

Un livre qui, évidemment, met une touche spéciale au challenge God save the livre, et une belle balade en Angleterre pour Voisins voisines !

"Un seul soupir du chat défait tous les noeuds invisibles de l'air. Ce soupir plus léger que la pensée est tout ce que j'attends des livres."

Christian BOBIN, Un assassin blanc comme neige, Gallimard

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