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~ Quelques notes de musique et quantité de livres

Archives de Tag: Le Mois belge 2020

Les notes du jeudi : Belgique toujours (2) Lorenzo Gatto et Julien Libeer

09 jeudi Avr 2020

Posted by anne7500 in Non classé

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Julien Libeer, Le Mois belge 2020, Lorenzo Gatto, Ludwig von Beethoven

Voilà mon clin d’oeil belge à Beethoven (dont on fête les 250 ans de la naissance, faut-il le rappeler) avec une sonate pour piano et violon jouée par deux musiciens et amis d’une belle génération artistique belge, Lorenzo Gatto (violon) et Juien Libeer (piano).

C’est la sonate n° 10 en sol majeur.

Une vie pour rien

08 mercredi Avr 2020

Posted by anne7500 in De la Belgitude

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Le Mois belge 2020, Marc Pirlet, Murmure des soirs

Quatrième de couverture :

Un soir d’hiver, Christian, jeune homme seul et blessé, porte secours à Mathilde dans une rue de Liège. Elle a près de quatre-vingts ans et n’est plus qu’une ombre parmi les vivants. De cette rencontre improbable va naître une histoire d’amitié et de tendresse qui les transformera et rendra à leur vie le sens qu’elle avait perdu.

Au début de l’histoire, le narrateur de ce court roman (138 pages) s’est séparé de sa compagne quelques mois auparavant et il a perdu le goût de la vie, il subit les choses comme dans un entre-deux grisâtre. Après cinq mois de marasme, le hasard le fait se porter volontaire pour assurer une permanence une fois par semaine dans un abri de nuit pour personnes sans abri. Une expérience qui va le faire sortir un peu de sa dépression et qui sera, avec le recul, déterminante.

« (…)outre qu’elle m’a permis de déposer par intermittence mon fardeau, la compagnie des sans-abri a fait tomber mes défenses de petit-bourgeois conventionnel et apeuré. Grâce à elle, j’ai pu aller vers les autres, tous les autres, sans préjugé, et ne plus voir en eux que l' »homme nu », pour reprendre les mots chers à Simenon.

Bref, ce que je veux dire, c’est que, si je n’avais pas côtoyé les sans-abri, je n’aurais probablement pas été assez libre pour aller vers Mathilde, et les pages qui suivent, je n’aurais pas été capable de les écrire. »

Le narrateur rencontre par hasard Mathilde un matin d’hiver, il rend service à cette vieille dame fatiguée et isolée que personne ne remarque dans le quartier liégeois où elle habite. Intrigué par la solitude extrême qu’il ressent chez cette femme, il revient la voir et une relation se noue peu à peu entre elle et lui : il lui tient compagnie, il lui rend quelques services, elle lui offre du café et lui raconte sa vie : son enfance dans une auberge de village dans le Nord de la France, la mort de son père lors de la guerre-éclair de mai 1940, le déménagement à Liège où sa mère a suivi son deuxième mari, la découverte du monde de l’opéra (quand il s’appelait encore le Théâtre royal de Liège) où elle travaillera comme couturière, sa vie de mère célibataire. Une vie « ordinaire », marquée de joies et de souffrances, une vie non exempte de relations mais qui finit dans une très grande solitude. Cette rencontre avec cette très vieille femme, la douceur et la tendresse vécues dans la simplicité, et l’accompagnement délicat qu’il lui offrira jusqu’à la fin donneront sens à la propre vie de notre narrateur, au-delà du chagrin ressenti à la mort de Mathilde.

Ce roman se passe en hiver, il nous parle de sans-abri et d’une vieille dame seule, d’un homme déprimé, de gens vulnérables donc : cette histoire peut paraître sombre, tristounette mais elle est malgré tout lumineuse. Du rien, du petit, du fragile peut paradoxalement naître et renaître quelque chose de beau et de bon. C’est ce que Marc Pirlet nous raconte avec sa sobriété et sa pudeur habituelles.

« Mathilde était une pauvre petite femme mais, près d’elle, j’étais si bien. Alors que,quelques semaines avant de la connaître, un quart d’heure d’inaction me paraissait une éternité, je pouvais rester avec elle pendant des heures sans voir le temps passer.J’étais délivré de toute angoisse et je ne ressentais plus aucune tension. Je vivais un moment de trêve où j’étais enfin en harmonie avec moi-même. Je n’avais plus besoin de vanité, je n’avais plus besoin de porter un masque. »

Marc PIRLET, Une vie pour rien, Murmure des soirs, 2013

Le Mois belge (et une belle sortie de PAL)

 

Today we live

06 lundi Avr 2020

Posted by anne7500 in De la Belgitude, Des Mots au féminin

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1944, Arennes, Deuxième guerre mondiale, Emmanuelle Pirotte, Le Cherche-Midi, Le Mois belge 2020

Quatrième de couverture :

Décembre 1944. C’est la contre-offensive allemande dans les Ardennes belges. Pris de panique, un curé confie Renée, une petite fille juive de 7 ans, à deux soldats américains. Ce sont en fait des SS infiltrés, chargés de désorganiser les troupes alliées. Les deux nazis décident d’exécuter la fillette. Au moment de tirer, Mathias, troublé par le regard de l’enfant, tue l’autre soldat.
Commence dès lors une cavale, où ils verront le pire, et parfois le meilleur, d’une humanité soumise à l’instinct de survie.

Aucun personnage de ce roman palpitant n’est blanc ou noir. La guerre s’écrit en gris taché de sang. Une écriture efficace et limpide.

J’ai enfin pris le temps de lire le premier roman d’Emmanuelle Pirotte et j’ai beaucoup apprécié le récit de cette rencontre improbable entre une petite fille juive et un soldat allemand infiltré dans les rangs alliés (je l’avoue, je ne savais même pas que cela existait) durant la contre-offensive allemande dans les Ardennes en décembre 1944. C’est sur un regard que se joue cette rencontre, un regard qui fait se rapprocher deux êtres insondables au yeux des autres, deux personnes si différentes qui ont chacune un parcours de vie dramatique que l’on découvrira au fil des pages. La petite Renée, séparée des siens, ballottée de famille en couvent d’accueil, ne se fait déjà plus d’illusion sur le monde des adultes et sur la possibilité de retrouver sa famille après la guerre. Mathias, qui a intégré une des unités les plus dangereuses de la SS, a lui aussi perdu tout état d’âme et refoule bien loin les émotions. C’est pourtant comme un flash qui attire Renée et Mathias l’un vers l’autre, une sorte d’assurance, de sécurité indicible.

La tragédie va se jouer dans la cave de ferme où ils sont tous deux réfugiés avec une famille belge élargie et avec des soldats américains perdus : dans ce huis-clos, le froid et la faim dictent leur loi, la peur exacerbe les sentiments, l’angoisse fausse le jugement, les étiquettes de « bons » et de « méchants » glissent mystérieusement. Personne ne sortira indemne de cette épreuve.

Ce premier roman m’a un peu fait penser à ceux d’Armel Job, ancré comme ceux-ci dans un terroir et une réalité historique qui sert de toile de fond à une histoire particulière, et même à ceux de Georges Simenon, avec l’analyse précise des comportements et des ressentis et ma foi, ce sont de belles références. Emmanuelle Pirotte a l’art de nous faire croire à cette histoire et on ne lâche pas le livre jusqu’à son épilogue.

« Elle avait faim, comme tout le monde, mais il fallait attendre encore deux heures avant de pouvoir grignoter le minuscule quignon de pain et la tranche de jambon. (…) La ferme P. avait été prise par les Allemands, reprise par les Américains, et les uns comme les autres avaient dévalisé les réserves de nourriture. (…)
Les Allemands avaient été brutaux, méprisants et mufles. Mais les Américains étaient si nerveux qu’ils en devenaient tout aussi déplaisants. »

« Le soldat et l’enfant regardaient Jeanne avec une intensité qui la troubla. Elle se souviendrait toujours de l’entrée de ce drôle de couple dans sa cuisine, par cette lumière froide et vespérale, de leurs singuliers regards, clair pour lui, très sombre pour elle, deux paires d’yeux qui lui firent l’effet d’appartenir à des animaux sauvages, de la même horde. »

« Au fond, ce qui faisait que les nazis ne deviendraient jamais les maîtres du monde, c’était leur manque total de sens de l’humour. Et, corrélativement, leur inaptitude à l’autodérision. Le peuple juif pouvait bien avoir été gratifié de toutes les tares possibles et imaginables, il avait une supériorité incontestable sur la race germanique, quoi qu’en pensa le Führer. Au coeur de la tourmente qui les engloutissait, dans les situations les plus infernales, les Juifs continuaient de pratiquer leur humour noir. »

Emmanuelle PIROTTE, Today we live, Le Cherche-Midi, 2015

Le Mois belge

 

Les notes du jeudi : Belgique toujours (1) Le Collegium vocale de Gand

02 jeudi Avr 2020

Posted by anne7500 in De la Belgitude, Des Notes de Musique

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Collegium vocale de Gand, Jean Sébastien Bach, Le Mois belge 2020, Philippe Herreweghe

Le Collegium vocale de Gand a été fondé par Philippe Herreweghe il y a cinquante ans. Et pour le moment, cet anniversaire ne peut malheureusement être célébré comme il se doit vu les circonstances sanitaires. Ce célèbre ensemble est actif dans la musique baroque, mais pas que. En ce moment et jusqu’au 13 avril (date de fin des concerts prévus), il propose sur son site d’écouter la répétition générale de la Passion selon saint Jean de Jan Sébastien Bach, enregistrée le 13 mars dernier à Bruges. C’est une occasion très modeste de soutenir les artistes, particulièrement précarisés par la crise du coronamachin… et de voir les musiciens au travail.

Cliquez sur le lien ci-dessous et régalez-vous !

Passion selon saint Jean – Répétition

Humour à la Belge au temps du coronavirus

01 mercredi Avr 2020

Posted by anne7500 in De la Belgitude

≈ 20 Commentaires

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humour belge, Le Mois belge 2020

Pour ce rendez-vous Humour en ce début de Mois belge, je n’ai pas cherché midi à quatorze heures. Je vous propose quelques vidéos et dessins de quelques humoristes belges célèbres sur Youtube et même au-delà !

Giuhome imagine la vie des parents confinés avec les enfants et… un petit grain.

L’adorable Véronique Gallo poursuit va « Vie de mère » , entre travail, « continuité pédagogique », vie de famille avec son Bertrand et ses quatre enfants… Ca va aller, Véronique, ça va aller.

Et enfin quelques dessins de Pierre Kroll, qui dessine pour Le Soir, la RTBF et d’autres médias. J’adore son humour !!

Pour ceux qui ne connaissent pas nos ministres : à gauche la Première Ministre Sophie Wilmès, à gauche la ministre de la Santé Maggie De Block

Merci, les caissières et tous les autres métiers de l’ombre qui prennent la lumière

Et enfin les nouvelles stars qu’on s’échangera dans les cours de récré quand elles seront de nouveaux remplies : les médecins infectiologues, épidémiologistes, chefs des urgences belges qui sont fort sollicités par les médias ces temps-ci.

 

Le Mois belge 2020 : le récapitulatif par genres

01 mercredi Avr 2020

Posted by anne7500 in Challenges, De la Belgitude

≈ 92 Commentaires

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Le Mois belge 2020

Le septième Mois belge commence ce mercredi 1er avril 2020. Vive la Belgique !

C’est ici, dans les commentaires,  que vous pouvez déposer, dès ce 1e avril, vos liens tout au long de ce mois belge… surtout si vous n’avez pas de compte Facebook. Si vous en avez un, je préfère que vous les déposiez sur le document FB épinglé en tête de page.

Vous pouvez aussi partager vos lectures et autres sur Instagram en utilisant le hashtag #lemoisbelge

Bon Mois belge !

Comme l’année dernière, je reprends vos liens en les classant par genres et par ordre alphabétique d’auteurs (pour éviter le bête copié-collé du document FB).

Romans

mrs pepys : La cravate de Simenon de Nicolas Ancion

Florence (Le livre d’après) : Jolie libraire dans la lumière de Frank Andriat

Marilyne : Antigone d’Henri Bauchau – lu aussi par Sylire

Itzamna : Diotime et les lions de Henri Bauchau

Nadège : Le pique-nique des Hollandaises d’Alain Berenboom

Nadège : A la recherche de Marie de Madeleine Bourdouxhe

Nadège : L’Année du chien de Stefan Brijs

Carnet de lecture : Choses qu’on dit la nuit entre deux villes de Francis Dannemark

Anne : Brise de mère d’Alain Dantinne

Enna : La vraie vie d’Adeline Dieudonné

Aifelle : Feel good de Thomas Gunzig

Dan : Les lieux communs de Xavier Hanotte

mrs pepys : Du côté d’Ostende de Jacqueline Harpman

Ingannmic : Moi qui n’ai pas connu les hommes de Jacqueline Harpman

Véro : Antigone à Molenbeek de Stefan Hertmans

Anne : De regrettables incidents d’Armel Job – lu aussi par mrs pepys

Eimelle : La disparue de l’île Monsin d’Armel Job

Nath : Le bon coupable d’Armel Job

Argali : Une drôle de fille d’Armel Job – lu aussi par Eimelle

Nath : Les hommes aussi ont la chair de poule, de Karine Lambert

Kathel : Hôtel Paerels de Ziska Larouge

Nath : Vénus Poética de Lisette Lombé

Sophie (Angeselphie) : Puis-je vous ajouter dans mes amis? de Jean-Philippe Lux

Madame lit : Trois incendies de Vinciane Moeschler

Itzamna : Acide sulfurique d’Amélie Nothomb

Itzamna : Le sabotage amoureux d’Amélie Nothomb

Valentyne : Riquet à la houppe d’Amélie Nothomb

Sophie (Angeselphie): Soif d’Amélie Nothomb

Ingannmic : Trouble de Jeroen Olyslaegers – lu aussi par Athalie et Eimelle

Nadège : Judas côté jardin de Juan d’Oultremont

Argali : Baïkonour, d’Odile d’Oultremont

Anne : Une vie pour rien de Marc Pirlet

Anne : Today we live d’Emmanuelle Pirotte

Nath : Cuba libre de Claude Rappe

Nath : Les fantômes de Théodore de Martine Rouhart

Nath : La carte des regrets de Nathalie Skowronek

Anne : Max, en apparence de Nathalie Skowronek

Anne : La Théo des fleuves de Jean-Marc Turine

Argali : Demain n’existe pas encore de Thierry Wertz – lu aussi par Anne

Polars, romans noirs, thrillers

Kathel : Derrière la haine de Barbara Abel

Argali : Et les vivants autour de Barbara Abel – lu aussi par Carnet de lecture

Anne : De sang royal de Pieter Aspe

Anne : Back up de Paul Colize

Kathel : L’avocat, le nain et la princesse masquée de Paul Colize – lu aussi par Valentyne

Eimelle : Un jour comme les autres de Paul Colize

Argali : L’affaire Magritte, de Toni Coppers – lu aussi par Nath

Nath : A vendre ou à louer de Valentine de le Court

Anne : Un été sans dormir de Bram Dehouck

Nath : Brasiers de Marie-Pierre Jadin

Nath : Viande, de Noëlle Michel

Sophie (Angeselphie): Cécile est morte de Georges Simenon

Ingannmic : La fenêtre des Rouet de Georges Simenon

Argali : L’affaire Saint-Fiacre de Georges Simenon

Kathel : Le passage de la ligne de Georges Simenon

Nath : La liste Alpha de Phil Smans

 

SFFF

 

Nouvelles

Anne : Les dimanches d’Angèle de Linda Vanden Bemden

Nath : Protection rapprochée de Lorenzo Cecchi

Keisha : Contes carnivores de Bernard Quiriny

Théâtre

 

Romans jeunesse

Argali : Meurtre à la bibliothèque de Frank Andriat

Albums jeunesse

Argali : L’arbre de vie d’Anne Dispaux et Mélusine Desclodures

Bande dessinée – Romans graphiques

Enna : Les Danois de Clarke

Philisine : Moby Dick de Denis Deprez et Jean Rouaud

Enna : Pico Bogue Pico Love d’ Alexis Dormal et Dominique Roques

Philisine : Le succulent du Chat de Philippe Geluck

Carnet de lecture : Tintin Le lotus bleu de Hergé

Argali : Deuxième Génération de Michel Kichka

Nath : Béatrice de Joris Mertens

Nath : Lola de Jean-Claude Servais

Nath : Bouffon de Zidrou et Porcel

Nath : Les mentors t2 Seydou , Zidrou et Porcel

 

Non Fiction

Danny : Dans les pas d’une bourlingueuse d’Edouard Debelder

Keisha : Habiter en oiseau de Vinciane Despret

Danny : Trop forte ! de Maurane

Nath : Le stakhanoviste, Burn-out : enfer ou renaissance de Philippe Thewissen

Nadège : Congo de David Van Reybrouck

Poésie

Nath : Tenir de Lisette Lombé

Anne : Parti pris, un poème de Colette Nys-Masure

 

Billets culturels

Humour

Anne : Humour belge au temps du coronavirus
Argali : Véronique Gallo, auteure et humoriste
Passion Culture : Stéphane De Groodt, acteur, réalisateur, auteur et humoriste
Nath : La minute belge, Mehdi Dawalle, Fabrice Armand et Dimitri Ryelandt
mrs pepys : Gaston Lagaffe
Adrienne : A vélo
Sophie (Angeselphie): Le chat fait des petits de Philippe Geluck

Philisine : L’humoriste GuiHome

Cinéma

 

Cuisine

Sophie : La tarte bruxelloise

Littérature

Argali : La fureur de lire

Musique

Anne : Les 50 ans du Collegium vocale de Gand

Anne : La sonate pour piano et violon n)10 de Beethoven par Julien Libeer et Lorenzo Gatto

Anne : Le Concerto pour clarinette de Copland par Ronald Van Spaendonck et l’ORCW

Anne : Sonate pour piano et violoncelle de Debussy par Marie Halynck et Muhidin Dürüoglu

Anne : Jazz Le Trio Nathalie Loriers

Peinture

Marilyne : Ceci est une icône (Le fils de l’homme de Magritte)

Photographie et poésie

Argali : Les trois cadrans de la beauté, Félix Kafikakis et Marie-Bernadette Mars

Quelques projets pour le Mois belge 2020

16 lundi Mar 2020

Posted by anne7500 in Challenge Des notes et des mots, De la Belgitude

≈ 31 Commentaires

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Le Mois belge 2020

Bonjour tout le monde, j’espère que vous gardez le moral en ces temps particuliers que nous vivons. Les livres peuvent continuer à nous ouvrir au monde et à nous-mêmes, à nous évader, à nous relier. Aussi voici quelques propositions pour le septième Mois belge (l’âge de raison) qui débutera le 1er avril prochain. Je ne vous propose que quelques dates, à la fois d’après vos propositions sur le groupe Facebook et d’après mes petites envies personnelles (ben quoi, je peux non ??) Ce calendrier est bien sûr proposé, nullement imposé.

1er avril : Humour à la belge (l’an passé je vous ai proposé de faire un poisson d’avril, cette année restons dans l’humour : un ou une humoriste belge, un.e caricaturiste, une BD amusante, un film… pour garder la pêche !)

4 avril : Journée Polar (je devais normalement aller aux Quais du polar ce weekend-là… Eh bien parlons polar, en restant en Belgique !)

10 avril : Journée féminine (autrice, personnage féminin fort, éditrice… à la Belge)

17 avril: Journée flamande (roman, film, BD ou autre choix flamand – en traduction ou en V.O.)

21 avril : Un roman d’Armel Job

28 avril : Journée Henri Bauchau

Je vous rappelle que l’auteur.e doit être Belge (la maison d’édition peut être étrangère).

Si vous souhaitez étoffer le programme, n’hésitez pas à laisser un petit commentaire !

Bonnes lectures et à très bientôt.

Un nouveau Mois belge, ça vous tente ?

01 dimanche Mar 2020

Posted by anne7500 in Challenge Des notes et des mots, De la Belgitude

≈ 43 Commentaires

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Le Mois belge, Le Mois belge 2020

Bientôt avril, et si cela vous dit toujours, je vous invite à nous retrouver autour de la littérature et de la culture belge dans tous ses états du 1er au 30 avril prochain.

Il faut que je vous avoue, j’ai longtemps hésité à vous le proposer parce que je ne suis plus aussi assidue à bloguer qu’avant, les contraintes de lecture me font peur, mais ce qui l’a emporté est le plaisir de lire Belge, de partager Belge, de découvrir encore et encore du Belge.

Aussi cette année, je ne vous impose pas de date et/ou de thèmes mais je vous invite à en proposer si vous le souhaitez. J’essayerai alors de proposer un calendrier qui convienne au maximum de participants.

Le groupe Facebook Le Mois belge d’Anne et Mina est bien sûr toujours actif et pour ceux et celles qui sont aussi sur Instagram, je vous propose de relayer vos lectures et autres découvertes belges avec le #lemoisbelge

Un document récapitulatif sera en ligne sur Facebook et ici même dès le 1er avril. N’oubliez pas que les auteur.e.s que vous lisez doivent impérativement être belges.

J’espère que je ne vous ai pas trop démotivés, au contraire et je vous attends en avril, je sais que certaines ont des piles secrètes en prévision du 1er avril 😉

 

Articles Plus Récents →

"Un seul soupir du chat défait tous les noeuds invisibles de l'air. Ce soupir plus léger que la pensée est tout ce que j'attends des livres."

Christian BOBIN, Un assassin blanc comme neige, Gallimard

Les mots en cours

Le Mercato d'hiver (Le Mercato d'hiver, Tome 1)

Les challenges maison !

Le Mois belge d'Anne et Mina
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