• Anniversaires Maisons d’édition
  • Je remplis ma PAL…
  • Je vide ma PAL…
  • Le Mois belge
  • Lectures thématiques
  • Mémoire 14-18
  • Mots amis à visiter
  • Présentation et contact
  • Quelques projets et challenges

~ Quelques notes de musique et quantité de livres

Archives de Tag: Paris

Nous étions faits pour être heureux

23 jeudi Août 2012

Posted by anne7500 in Des Mots français

≈ 40 Commentaires

Étiquettes

Paris, Rentrée 2012, Véronique Olmi

Nous étions faits pour être heureux

 

Quatrième de couverture :

« C’est étrange comme il suffit d’un rien pour qu’une vie se désaccorde, que notre existence, tellement unique, si précieuse, perde son harmonie et sa valeur. »

Quand Suzanne vient dans la maison de Serge à Montmartre, il ne la remarque pas. Elle accorde le piano de son fils. Elle est mariée, lui aussi, et à 62 ans il a ce dont rêvent les hommes : un métier rentable, une jeune femme parfaite, deux beaux enfants. Pourquoi soudain recherche-t-il Suzanne qui n’est ni jeune, ni belle, et apparemment ordinaire ? Pourquoi va-t-il lui confier un secret d’enfance dont il n’a jamais parlé et qui a changé le cours de sa vie ?

Pour évoquer la passion naissante, les vérités enfouies et coupables, l’absence, le désir et les peurs, l’auteure de Bord de mer, Premier amour et Cet été-là décline avec subtilité, en musique douce, juste et fatale, ces moments clefs où les vies basculent et cherchent désespérément la note juste.

Je n’avais jamais lu Véronique Olmi et j’ai donc été assez contente en ouvrant l’enveloppe de Libfly de découvrir ce roman en avant-première, d’autant plus quand j’ai compris qu’il était notamment question d’une femme accordeuse de piano.

Très vite, j’ai été embarquée dans l’écriture fluide et sensible, à fleur de peau de Véronique Olmi, et dans l’intimité de Serge, homme apparemment comblé par la vie, dont l’univers respire « le luxe, le calme et la volupté ». Mais c’est sans compter sur les migraines violentes qui le saisissent n’importe où, à n’importe quel moment, ni sur les regards inquiets que lui lance Théo, sur la relation pour le moins maladroite entre le père et son fils aîné. Les échos de blessures très anciennes traversent les heures de Serge, une mousseline jaune, le couvercle d’un piano qui se referme brutalement…

Pendant que Lucie, la jeune femme de Serge, poursuit une existence lumineuse et préservée, Suzanne initie son apprenti aux mystères de l’accord des pianos et son mari aux mystères du foot. On sent qu’elle s’ennuie, Suzanne, qu’elle se contient dans les plis étroits d’une existence un peu étriquée, qu’elle ne semble pas avoir choisie de plein gré. Et pourtant, elle respire la liberté, une liberté qui va un soir frapper Serge. Leur liaison semble d’abord purement charnelle, deux corps qui s’attirent et se trouvent, s’accordent et se parlent. Mais le désir parfait n’est rien sans l’accord des esprits, sans la note juste des mots échangés. Alors Serge parvient enfin à dire la blessure d’enfance qui a infecté toute sa vie, qui le rend incapable d’écouter son fils jouer du piano et le mure dans un silence inaccessible.

Cette histoire aurait pu être banale,celle de deux adultères croisés, d’un homme jaloux et d’un enfant blessé à jamais. Mais elle est baignée par La grande sonate de Liszt, une musique qui met à nu. L’auteure nous fait approcher au plus près des fêlures intimes de Serge et de Suzanne, sans jamais percer tout à fait leur mystère. Une proximité qui frôle parfois l’étouffement tant les personnages se débattent dans leurs contradictions, leurs désirs, leurs secrets.

D’un automne à l’autre, au long d’une année, nous accompagnons Serge, Lucie, Suzanne et les autres sur la Butte Montmartre, au Parc Monceau : la nature et les arbres endormis par l’hiver nous permettent de nous évader un instant des intérieurs et des coeurs étouffés mais ils cachent le feu sous la glace qui a saisi des enfances depuis longtemps enfuies.

Un roman intimiste, noir, qui cherche désespérément l’accord parfait, qui nous parle d’enfance et de paternité, d’amour fou et de trahison, de musique et de silences.

A écouter en lisant : La Grande Sonate pour piano, de Franz Liszt

Un très grand merci à Libfly, au Furet du Nord et aux éditions Albin Michel pour m’avoir permis de lire ce livre en avant-première de la Rentrée littéraire !

Les avis de Constance, de Jostein  et de Leiloona

Véronique OLMI, Nous étions faits pour être heureux, Albin Michel, 2012

Un roman de la Rentrée 2012 qui se passe essentiellement à Montmartre.

 

Quelques jours et quelques mots sur Paris

22 mercredi Août 2012

Posted by anne7500 in Des mots en images

≈ 38 Commentaires

Étiquettes

Louvre, Montmartre, Paris, Quartier latin, Tour Eiffel

Au début du mois d’août, nous sommes partis à Paris pour fêter les 10 ans d’Adèle, ma nièce unique et préférée (!). Occasion de re-découvrir cette ville et de chercher des balades et activités susceptibles d’intéresser quatre adultes et une fille de 10 ans ouverte à beaucoup de choses.

C’est ainsi que j’ai découvert ceci :

Voici la présentation de l’éditeur Hachette Tourisme:

ENVIE DE PRENDRE L’AIR ET DE SECOUER VOS NEURONES ?

Pratique ! Choisissez un des 14 livrets de ce coffret et partez en balade dans Paris !

Ludique ! Rébus, Charades, observation… Suivez les indices, résolvez les énigmes et explorez un Paris insolite et méconnu.

SYMPA ! Une autre façon de découvrir Paris, à deux, en famille ou entre amis, sous terre, sur l’eau ou noyé dans la verdure… Amusez-vous !

Vous ouvrez la boîte en carton et vous trouvez donc 14 livrets dont un avec les explications sur l’esprit du coffret et des plans pour se repérer, ce qui vous donne 13 idées de balades, de thèmes de découvertes de Paris, par exemple : Paris, capitale du luxe, Paris Gallo-romain, Les Buttes-Chaumont, Paris et ses morts, Paris au fil de l’eau, Paris et la littérature (je la ferai un jour, cette balade !)…

Chaque parcours part d’une station de métro (il faut deviner laquelle à l’aide d’une énigme…) et vous voilà parti pour un jeu de piste, où vous devez non seulement trouver votre chemin mais aussi obserer le quartier, les maisons, les détails, et répondre à des questions. Chaque bonne réponse donne une lettre ou un mot  que vous devrez reporter dans l’énigme finale, c’est-à-dire un jeu de lettres du style texte à trous, grille de mots cachés, mots codés et autres.

Nous avons fait la fiche consacrée au Musée du Louvre, occasion de découvrir ce célébrissime musée autrement : un véritable labyrinthe à travers les ailes, les salles, les époques, les styles, les oeuvres. Très stimulant et motivant ! Le sel petit bémol, c’est qu’il y a de petites erreurs d’impression, et qu’il vaut mieux avoir un plan du Louvre avec soi pour bien se repérer, anticiper le numéro de la salle où la question suivante vous expédiera. Et bien sûr, l’édition a beau être la plus récente possible, à un moment nous avons été coincés (et un peu paumés…) par une salle fermée, en rénovation, comme cela arrive régulièrement (et heureusement d’ailleurs).

Si vous avez peur de vous perdre ou si vous ne trouvez pas les bonnes réponses, rassurez-vous, il y a les solutions ! Et on vous signale aussi, à titre indicatif, le temps que dure la promenade, hors flânerie, rêverie, pause terrasse et autres douceurs pariesiennes. Un guide idéal et original pour les familles qui aiment jouer (comme nous).

C’est ainsi que dans ce parcours insolite, une question nous a amenés à ceci, dont je ne savais même pas que c’était au Louvre !!


Eh oui, il s’agit bien de La Dentellière, de Vermeer, un tableau qui fait seulement eniron 25 cm de hauteur… Etonnant !

Et pour vous montrer le mélange des styles, dans les appartements de Napoléon III (au style un peu trop surchargé à mon goût) , une exposition d’art contemporain nous présentait… ça !!

Mais nous n’avons pas pu nous empêcher d’aller exprès admirer les touristes ici :

Vous la reconnaissez de loin, celle qui inspira le Da Vinci code ?

Et cette grande dame dont je ne me lasserai jamais :

Voilà un tout petit aperçu pour vous donner envie de retourner ou d’aller au Louvre…

Sinon, nous avons aussi (re)découvert le Jardin des plantes (qui vaut un article à lui seul), la Cité des Sciences, Montmartre (autre endroit où on peut admirer les touristes à toute heure du jour et de la nuit), nous nous sommes promenés sur la Seine en bateau-mouche et nous nous sommes perdus dans le Quartier latin sous la houlette d’une adorable guide que je remercie encore pour sa disponibilité…

Allez, encore quelques photos classiques ou insolites pour le plaisir :

     

L’églie Saint-Etienne du Mont dans le quartier latin (près du Lycée Henri IV) et une jolie porte dans la descente de Montmartre

L’entrée de la grande serre et le merveilleux espace de la grande Galerie de l’évolution au Jardin des plantes (juste au moment où la verrière était colorée de bleu !)

Et pour finir, honneur à l’éternelle jeune dame de Paris :

 

Voilà un tout petit aperçu de nos joyeux vagabondages parisiens (de jour comme de nuit, comme vous voyez…)

Ah j’oubliais ! Lors de nos déambulations sur le boulevard Saint-Michel, notre charmante guide (et mes non moins charmants compagnons) m’ont laissée me plonger dans les bacs à 1 ou 2 euros de Gib**t Jos*ph. J’y ai trouvé, en format broché impeccable ou presque : Le Royaume de Kensuké, de Michael Morpurgo (hop, dans le sac d’Adèle), Comment va la douleur ? de Pascal Garnier, L’Indésirable, de Sarah Waters, et Couper ici, un reueil de poèmes de Daniel De Bruycker. Tout ça pour 5 euros !

J’ai également reçu en prêt La septième rencontre, livre épuisé de Herbjorg Wassmo (merci…)

Mes folies à Paris

22 jeudi Mar 2012

Posted by anne7500 in La vie des mots et des notes

≈ 74 Commentaires

Étiquettes

Paris, Salon du Livre

Ca y est, je trouve un peu de temps pour vous raconter ma version du Salon du livre…

J’avais fait un repérage en règle des auteurs qui m’intéressent présents le dimanche et j’avais même emporté quelques bouquins en vue de les faire dédicacer. Il paraît qu’on ne peut pas… mais j’ai pu entrer avec, bien que je l’aie signalé à l’entrée. Ca a marché chez plusieurs exposants, même si on vérifiait un peu chez Actes Sud. Et j’ai constaté qu’il vaut mieux ne pas le dire, parce que je me suis fait sèchement rabrouer chez Gallimard alors que je voulais me faire signer Au bon roman, par Laurence Cossé. Eh bien tant pis, je n’ai pas eu de dédicace mais je ne leur ai pas acheté de bouquin non plus. Ca, c’est dit.

Ce petit coup de gueule étant placé, je vous raconte ma journée (je vous épargne le voyage, quand même, ça n’a aucun intérêt).

A peine entrée au Salon, je file (presque sans m’arrêter en route) chez Actes Sud et associés, pour ma première acquisition et ma première signature : Bon rétablissement, de Marie-Sabine Roger. Personne devant elle, le bonheur ! Elle a semblé contente de savoir que j’avais aimé encore plus Vivement l’avenir que La tête en friche, parce que de nombreux lecteurs se sont arrêtés à ce premier titre. Je craque aussi (la faute à Emmyne) pour Le silence ne sera qu’un souvenir, de Laurence Vilaine, annoncée à la hâte en dédicace à 17h (la suite prouvera que non, l’auteur n’est pas là ce dimanche, c’était la veille… mais je ne regrette pas d’avoir transporté ce livre toute la journée). En flânant sur le stand d’Actes Sud, je rencontre déjà Manu (Chaplum) : surprise agréable avant le rendez-vous officiel !

Ensuite je me rends chez Pocket, 10/18 et tutti quanti, prévoyant les dédicaces de l’après-midi (Claude Izner et … Anne Perry !!) Evidemment je tombe sur Viviane Moore, romancière très variée, dont j’ai lu toute la série avec Galeran de Lesneven, et qui a l’art de parler à ses lecteurs et de faire l’article sur ses bouquins ! Résultat… je suis repartie avec deux autres livres, plus un de Jean-Pierre Alaux, le gentil écrivain qui était à côté de Viviane Moore (qui, soit dit en passant, soigne ses dédicaces) !!

Ensuite, je vagabonde au hasard… jusqu’aux éditions Dialogues, où finalement, plutôt que d’attendre sagement que le livre voyage jusqu’à moi, j’achète et fais signer Enola game, le premier roman de Christel Dielh qui a beaucoup de succès, où j’ai une discussion sympa avec l’éditeur et où je rencontre par hasard Noukette et Stephie ! Pendant ce temps aussi… recherche Sharon désespérément (et vive-versa !)

C’est l’heure du pique-nique et du rendez-vous officiel avec Manu, Emmyne, Choco, Lounima, Restling et… Noukette et Stephie. C’est l’heure où on s’agite des bouquins sous le nez, où on s’échange les bons tuyaux… Heureusement que la police des sacs n’est pas habilitée (ou presque…) à intervenir sur le Salon. Ensuite chacune repart de son côté, au gré d ses envies.

Pour ma part, ce sera le stand de Liana Levi, où se trouve Milena Agus. Dans le coin (ah cette allée S, elle m’a vue plus d’une fois !!), il y a aussi Viviane Hamy, Sabine Wespieser… et Sharon !! Enfin, nous nous trouvons et nous faisons connaissance. Depuis le temps que je fréquente son blog et elle le mien, que nous participons à de nombreux challenges identiques, ça fait plasir ! J’ai vraiment été très contente de te rencontrer, Sharon, c’était trop court ! Nous avons beaucoup papoté, et pas seulement à propos de livres : les chats, les élèves, les collègues, les blessures de la vie chez tout ce beau monde, tout y est passé ou presque, et c’était un fameux cadeau, cette conversation !

14h, c’est l’heure… de rencontrer R.J. Ellory ! Yes ! Certes il y a une file, mais cela passe relativement vite au Livre de poche. Le monsieur est très sympa, et je réussis à baragouiner deux trois phrases admiratives en anglais.Ouf !

Ensuite l’après-midi s’organise en passages chez Actes Sud à nouveau, pour rencontrer Jeanne Benameur (oh la belle grande dame), Metin Arditi… et réussir à juste admirer de loin Nancy Huston (sans commentaire, miss Emmyne…) et Alberto Manguel (Cachou, si tu me lis… je sais, c’est horrible).

Un petit coucou chez Stock où, à côté d’Eric Orsenna qui draine les fans, Emma Donoghue signe tranquillement Room, depuis plusieurs mois dans ma PAL.

Chez Gallimard, c’est à peu près pareil : une foule de file attend Pennac (mais pas moi, na). Mais de l’autre côté de l’allée c’est bien plus intime chez Phébus, Buchet-Chastel et… autres. Angélique Villeneuve est en compagnie d’un auteur (dont j’ai oublié le nom, mille excuses) (il a d’ailleurs fait le pari avec elle qu’il ne signerait pas un livre, c’était rigolo et un peu triste) Et quand je parle du blog de Skriban, sur lequel nous avons échangé un peu le 8 mars dernier elle me dit : « Vous êtes Anne ? » C’est trop gentil d’être accueillie ainsi ! Nous papotons aussi, nous parlons d’une auteur que nous aimons toutes les deux, Barbara Pym. Angélique me demande si je connais Grand Paradis, le roman publié chez Phébus avant Un territoire. Elle me le présente, m’explique combien elle a été touchée par son travail préparatoire aux archives de La Salpêtrière. Résultat des courses : je suis arrivée avec un bouquin de la maison (Un territoire), je repars avec deux…

16h : il est temps d’aller à la rencontre d’Anne Perry ! Et là… je suis à la fois surprise par le peu de monde devant elle et… bafouillante ! Mais je luis dis quand même que Charlotte et Thomas Pitt sont mes amis. Et ce sont les deux derniers tomes de la série Reavley que je fais dédicacer par cette célèbre… Anne !! Bon sang mais c’est bien sûr !

La dernière dédicace que je reçois, c’est Leonor De Recondo, chez Sabine Wespieser, pour Rêves oubliés, dont j’ai lu quelques billets enthousiastes. Et comme les éditeurs connaissent sur le bout des doigts ce catalogue très riche, j’acquiers aussi… Les villes de la plaine, de Diane Meur, auteur que j’ai envie de découvrir aussi. Il paraît que si ça ne me plaît pas, je peux me faire rembourser l’année prochaine ! Chiche ?

Un dernier tour, une petite boisson fraîche avant de repartir vers le métro et… (je vous épargne aussi le voyage de retour).

Je vous accorde un bémol (si vous avez lu jusqu’ici) : il n’y a pas de photos, je n’ai pas vraiment pensé à en prendre ! J’ai quand même accepté de me faire prendre en photo avec… Anne Perry ! Mais comme je ne tiens pas à me montrer sur la toile, je la garde pour moi, mon auteur fétiche !

Voici quand même une photo des livres acquis à Paris…

et des livres »maison » dédicacés là aussi :

 

 C’était la folle journée… de Paris !!

Articles Plus Récents →

"Un seul soupir du chat défait tous les noeuds invisibles de l'air. Ce soupir plus léger que la pensée est tout ce que j'attends des livres."

Christian BOBIN, Un assassin blanc comme neige, Gallimard

Les mots en cours

Le Mercato d'hiver (Le Mercato d'hiver, Tome 1)

Les challenges maison !

Le Mois belge d'Anne et Mina
Cliquez sur le logo pour accéder au écapitulatif 2020 et déposer vos liens


Mémoire 14-18


Entrez votre adresse mail pour suivre ce blog et recevoir des notifications de nouveaux articles par mail.

Rejoignez 240 autres abonnés

Articles récents

  • La couleur des sentiments
  • Les notes du jeudi : Ame afro-américaine (4) Gospel
  • La maîtresse de Carlos Gardel
  • Les notes du jeudi : Ame afro-américaine (3) Paul McCartney
  • Le Mois belge 2021, ça vous dit ?

Vos mots récents

anne7500 dans La maîtresse de Carlos Ga…
anne7500 dans La couleur des sentiments
anne7500 dans La couleur des sentiments
Athalie dans La maîtresse de Carlos Ga…
Enna dans La couleur des sentiments

Les catégories de mots

Les Mots d’archives

Méta

  • Inscription
  • Connexion
  • Flux des publications
  • Flux des commentaires
  • WordPress.com
Paperblog : Les meilleurs actualités issues des blogs

Étiquettes

10/18 14-18 2013 2015 2016 Actes Sud Agatha Christie Agatha Raisin enquête Albin Michel Anne Perry Argentine Armel Job Babel BD BD du mercredi Belgique Casterman Concours Reine Elisabeth Dargaud Didier Jeunesse Editions Bruno Doucey Editions Luce Wilquin Emile Verhaeren En train Esperluète éditions exil Flammarion Folio Gallimard Guillaume Apollinaire Guy Goffette haïkus hiver Jacques Brel Jazz Jean Sébastien Bach Le Livre de poche Le mois anglais Le Mois belge Le Mois belge 2020 Le mois belge d'Anne et Mina Leonard Bernstein Liana Levi Ludwig von Beethoven Maurice Ravel Mozart Mémoire d'encrier Métailié Norvège nouvelles Noël Ouverture Paris Paul Verlaine piano Pocket Points polar Poésie Premier Roman Première guerre mondiale printemps Prix Première Quadrature Québec Rentrée littéraire 2012 Rentrée littéraire 2013 Rentrée littéraire 2014 Résistance Violon violoncelle Wilfred Owen Xavier Hanotte Zulma étoiles

Créez un site Web ou un blog gratuitement sur WordPress.com.

Annuler

 
Chargement des commentaires…
Commentaire
    ×
    Confidentialité & Cookies : Ce site utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site, vous acceptez leur utilisation.
    Pour en savoir davantage, y compris comment contrôler les cookies, voir : Politique relative aux cookies