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Archives de Tag: Pôle Fiction

La brigade de l’ombre 1 – La prochaine fois ce sera toi

12 vendredi Mai 2023

Posted by anne7500 in Des Mots en Jeunesse, Des Mots français, Des Mots noirs

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Gallimard jeunesse, Pôle Fiction, Vincent Villeminot

Quatrième de couverture :

À la tête de sa brigade de flics déjantés, Markowicz enquête sur des meurtres commis par d’effrayantes créatures. Parmi les cadavres, celui d’une adolescente atrocement mutilée sème le trouble: la victime était élève dans le même lycée que Fleur, la fille du commissaire…

Je ne sais pas si ce polar s’adresse bien aux ados, en tout cas je l’ai dévoré, avide de connaître la suite… comme les goules auxquelles s’attaque cette Brigade peu conventionnelle de flics tous mis sur la touche par leur hiérarchie. On peut penser à la bande de bras cassés de Poulets grillés mais ici, l’humour est noir, très noir, les membres de la Brigade sont chacun surdoué dans son genre et l’enquête policière est mâtinée de fantastique avec cette chasse aux goules. C’est tellement bien fait que je me suis demandé si ça existait vraiment (je sais, je suis bon public et bien naïve). Les personnages sont savoureux dans leur côté « borderline », les chapitres sont rythmés et l’auteur nous fait grâce d’un happy end, donnant ainsi bien envie de découvrir la suite de cette trilogie.

Vincent Villeminot dit s’intéresser à ce que la violence provoque chez ses personnages: une violence qu’ils ont subie ou fait subir avant d’entrer à la Brigade de l’ombre, une violence qu’ils observent et traquent au quotidien avec ces assassins attirés par la chair humaine, une violence qui touche aussi des êtres totalement innocents. Parmi la galerie de personnages, une mention spéciale au commissaire Markowicz, grand amateur de littérature classique et à sa plus jeune fille, Adélaïde, 10 ans, d’une intelligence hors du commun elle aussi.

Hâte de découvrir la suite !

« Adé avait beau avoir 10 ans à peine, des couettes auburn, une frimousse enfantine et des grands yeux de sucre candi sous ses lunettes d’écaille, elle adorait les tournures désuètes autant qu’elle haïssait le flou. Elle aimait aussi le passé simple, l’ensemble des subjonctifs, passer des heures à feuilleter le dictionnaire; elle parlait – et semblait penser – comme une vieille académicienne. »

« C’était comme des intuitions, qui le prévenaient de ce qui allait survenir. Markowicz n’avait jamais trouvé une description plus juste de ce que lui-même ressentait. – et qu’on appelait son instinct, son flair son « sixième sens ». Hier midi, dans la cour intérieure, devant le cadavre de la jeune fille éventrée et démembrée, il avait entendu la chanson de l’ennemi, et celle de la famille. Elles s’entremêlaient. Cela signifiait que quelqu’un en voulait à la famille – sa brigade, en l’occurrence, puisqu’il n’avait de facto plus de famille. »

Vincent VILLEMINOT, La Brigade de l’ombre 1 – La prochaine fois ce sera toi, Gallimard Jeunesse, Collection Pôle Fiction, 2019 (Casterman, 2016)

Le gang des vieux schnocks

22 mercredi Mar 2023

Posted by anne7500 in Des Mots au féminin, Des Mots en Jeunesse, Des Mots français

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Florence Thinard, Gallimard jeunesse, Pôle Fiction

Quatrième de couverture :

Un jeune à capuche a arraché le sac de cette brave Rose-Aimée! Papi Ferraille le sait, il a tout vu. Alors avec Gisèle, une ex-coiffeuse au look improbable, et Victor, le vieux rebelle qui détourne les affiches publicitaires, ils décident de montrer à ce gamin de quel bois ils se chauffent! Jules, 14 ans, n’est pas près d’oublier la leçon que lui prépare le Gang des Vieux Schnocks…

Il y a les Vieux Fourneaux en BD et il y a le Gang des Vieux Schnocks en littérature jeunesse. Il est composé de Papi Ferraille, un exilé de la guerre civile espagnole, Gisèle, retraitée de la coiffure très à cheval sur la politesse et les principes, Victor qui tague les affiches publicitaires avec ironie et Rose-Aimée, délicieuse vieille demoiselle à la santé fragile. C’est suite à l’agression de celle-ci par un « yeune à capouche » que les quatre vieux se sont rencontrés et ne se quittent plus. Objectif numéro un : continuer à mener des actions contre cette société anti-vieux qui leur laisse à peine les moyens de survivre. Objectif numéro un bis : donner une bonne leçon au jeune agresseur qui, c’est sûr, reviendra chez Rose-Aimée se servir puisqu’il a volé ses clés. Oui mais voilà, le petit jeune à capuche qui débarque effectivement chez Rose-Aimée est un jeune ado paumé, en rupture scolaire, bien près de devenir un délinquant. Sa jeune mère célibataire, trop occupée à gagner de quoi vivre, le croit naïvement dans le droit chemin. Alors le quatuor de vieux schnocks se met en devoir d’occuper Jules pour qu’à la fois il paie sa dette à Rose-Aimée et obtienne son brevet des collèges. En attendant la fin de l’année scolaire, il y aura du travail, de la mécanique sur 4L, de la vaisselle, du travail, des moelleux au chocolat faits maison, le chien Youki, des règles de politesse, du travail, du travail et… beaucoup de tendresse.

De Florence Thinard, je connaissais déjà Un boulot d’enfer, où j’avais déjà apprécié l’humour et la tendresse de l’autrice sur un sujet difficile. On les retrouve ici, avec plus de légèreté mais les thèmes de la société de consommation, du rejet des vieilles personnes, de la précarité sont bien présents, et bien sûr les rencontres inter-générationnelles qui mettent du baume au coeur. La citation épigraphe m’a déjà fait rire, et pourtant on ne peut pas dire que son auteur soit un grand comique en littérature : « Ce n’est pas parce qu’on a un pied dans la tombe qu’on doit se laisser marcher sur l’autre. » (François Mauriac) Tout est dit, n’est-ce pas ?

« L’homme recula de trois pas pour juger de son œuvre et Gisèle put lire:
ASSURANCES OBSÈQUES :
LE SAPIN C’EST BIEN.
LE CHÊNE C’EST MIEUX.
Halte aux pubs mensongères! Signé: les vers.
L’homme peaufina le point d’exclamation, rangea son petit matériel et saisit son cabas. »

« – Il n’aboie plus , remarqua Victor.
– No, il a compris. il est très intelligenté, raconta Papi Feraille en tapotant le crane pelé du roquet. D’abord, yé lui ai donné ouné bonné soupé. eet quand il a aboyé, yé loui ai donné mon pied au coul. il a arrêté tout dé suite. »

Florence THINARD, Le gang des vieux schnocks, Gallimard Jeunesse, Collection Pôle Fiction, 2022 (Gallimard Jeunesse, 2019)

Une bonne lecture jeunesse en ce temps de vacances.

River

07 mardi Fév 2023

Posted by anne7500 in Des Mots au féminin, Des Mots en Jeunesse, Des Mots français

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Claire Castillon, Gallimard jeunesse, Pôle Fiction, River

Quatrième de couverture :

River, c’est ma sœur. Ma sœur en moche, ma sœur en noir, ma sœur qui n’a rien à voir avec moi. On partage la même chambre, on respire le même air, mais je la plains et je m’en veux. Elle m’adore et je la comprends. Je suis la fille idéale de nos parents. Elle, comment dire… Vous connaissez le vilain petit canard ?

Sa soeur aînée raconte River, une ado de quatorze ans qui ne coche pas toutes les cases de la « normalité » : elle a du mal à gérer ses émotions, on se demande à la lecture de ses « exploits » si elle n’est pas schizophrène à moins qu’elle ne souffre de troubles autistiques. En tout cas, elle a bien réussi à semer le désordre dans sa famille qui fait tout pour l’aimer telle qu’elle est, surtout sa mère qui se dévoue corps et âme pour elle, et surtout sa différence la met à la merci d’une horrible bande de quatre garçons harceleurs et racketteurs qui la poursuivent constamment au collège. Evidemment, on ne dénonce pas des harceleurs, sous peine de subir encore pire. Heureusement, River a une connexion particulière avec sa grande soeur, qui l’aide à tenir et à résister tant bien que mal.

Je n’avais jamais rien lu de Claire Castillon avant ce roman jeunesse qui, en moins de 200 pages, aborde les thèmes de la différence, du harcèlement, de la famille, de l’amour entre soeurs dans une narration originale, tendue, qui ne m’a pas fait lâcher le bouquin tant il était prenant. Dans ma grande naïveté, je n’ai pas vu venir le twist final ou plutôt, c’est tout l’art narratif de l’autrice, justement, qui a créé pour moi cette surprise. Claire Castillon ne nous épargne rien de l’horreur du harcèlement subi par River et de l’impossibilité pour elle de dénoncer ses tortionnaires : Alanka et les trois T sont de véritables crapules à la mécanique bien huilée et on frémit à l’idée de ce que ces ados deviendront à l’âge adulte. Heureusement – on est quand même dans un roman jeunesse – la fin laisse entrevoir de l’espoir.

« River a une intelligence « particulière », ce qui signifie rapide et inconsciente, elle a un humour « à elle », parce qu’elle rit fort quand elle fait un bon mot généralement mauvais, le plus souvent pourri. Elle est aussi dotée d’un tempérament « bien entier », l’obligeant à osciller d’une humeur à l’autre aussi prestement qu’une balle rebondissante. Elle monte et elle descend, elle alterne entre un mal-être profond, voire insondable, et une gaieté quasi hermétique, autrement dit entre une « tristounesse » (mot magique de maman pour dépression) et une « joie en boucle » (mot magique de maman pour survoltage) » (p. 7)

« Si de grands bras lui manquent, elle approchera papa et le canapé, s’installera discrètement à côté de lui pour regarder le rugby. Il l’appellera « mon coeur » plusieurs fois parce qu’il aime bien quand elle se glisse dans sa vie comme dans un lit, muette, presque endormie, sans rien froisser. » (p. 36)

Claire CASTILLON, River, Gallimard Jeunesse, Collection Pôle Fiction, 2021 (Gallimard Jeunesse, Scripto, 2019)

Sur le thème du harcèlement, on peut lire le tout aussi excellent Miettes (Humour décalé) de Stéphane Servant.

Garçon ou fille

20 vendredi Jan 2023

Posted by anne7500 in Des Mots britanniques, Des Mots en Jeunesse

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Gallimard jeunesse, Pôle Fiction, Terence Blacker

Quatrième de couverture :

Le jour où son cousin Sam, venu tout droit des États-Unis, vient habiter chez lui, la vie de Matthew prend une autre tournure. Elle devient même infernale car le cousin en question se révèle être un garçon arrogant au comportement insupportable. Pourquoi ne pas lui donner une bonne leçon ? Avec la complicité de ses copains, Matthew lance à Sam un défi téméraire : se déguiser en fille une semaine entière ! L’opération Samantha est déclenchée. 

Suite au décès de sa mère, Sam, le cousin américain, issu d’un couple pour le moins atypique (mère très cool, père absent parce que souvent en prison) débarque en Angleterre dans une petite famille aux habitudes bien réglées et à la politesse guindée so british. Le cousin aux longs cheveux a vite fait de semer le désordre dans la maison et dans la bande de Matthew. Aussi les Sheds lui lancent-ils le défi de passer la première semaine de cours déguisé en fille. Voilà Sam transformé en une Samantha plus vraie que nature, censée infiltrer un groupe de filles pour en ramener des infos capitales sur leur mode d’emploi de fonctionnement. Face à l’inoxydable principale du collège, Samantha renverse les codes et fait une infiltrée plus vraie que nature. Mais voilà que son père, surnommé Crash Lopez, se met en tête de venir récupérer son gamin…

Voilà un roman sans prise de tête, qui fait passer un bon moment de détente malgré ses petits défauts et maladresses. Il semble exploiter des clichés bien accrochés comme les bandes de copains ou de copines bien genrés, le prof d’anglais qui préfère évidemment les filles plus studieuses aux garçons chahuteurs, la maman qui fait bouillir la marmite pendant que papa est un parfait homme d’intérieur. Il campe des adultes un peu caricaturaux (la mère intrusive de Tyrone, le père délinquant de Sam et sa petite amie ronronnante, le prof qui ne sort pas de ses cases) mais il ne faut pas oublier que le roman date de 2004 en anglais (2005 en traduction française). Alors, certes, comme je l’ai lu par ailleurs, il ne développe pas à fond les thèmes de l’homosexualité, de la bisexualité (et ne parlons même pas des transgenres – il y a seize ans, c’était ans doute encore trop osé dans la littérature pour ados) mais il a au moins le mérite d’aborder ces questions par le biais de l’humour et de faire un peu bouger les lignes – ou les cases – dans lesquelles garçons et filles sont parfois enfermés. Le rythme est assez soutenu, grâce à la narration polyphonique – quoique celle-ci peut perturber certains jeunes lecteurs moins aguerris.

« Bref, j’ai une famille tout à fait normale, mais dans une version revue et corrigée par un scénariste dyslexique, avec papa dans le rôle de Blanche-Neige et maman dans celui de sept nains ! »

« La parlotte, au-delà d’une certaine dose, ça devient toxique pour un garçon. On peut très bien communiquer en quelques mots, ponctués de quelques grognements, gestes ou mimiques. Mais elles, elles se sentent obligées de cancaner à propose de tout et de n’importe quoi. Dès qu’une idée éclot dans leur tête, et parfois même avant, il faut qu’elles en fasse profiter toutes leurs copines !
Si j’étais misogyne (ça, Dieu m’en garde!), je dirais que de ce point de vue, elles sont nettement plus superficielles que nous. »

Terence BLACKER, Garçon ou fille, traduit de l’anglais par Stéphane Carn, Gallimard Jeunesse, Collection Pôle Fiction, 2012 (Gallimard Jeunesse, 2005)

Sexy

27 mardi Sep 2022

Posted by anne7500 in Des Mots au féminin, Des Mots en Jeunesse, Des Mots nord-américains

≈ 17 Commentaires

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Gallimard jeunesse, Joyce Carol Oates, Pôle Fiction

Quatrième de couverture :

Darren est, à seize ans, un des espoirs de l’équipe de natation. Timide mais très séduisant, sa beauté lumineuse lui attire toutes les faveurs, y compris celles de son professeur d’anglais, Mr Tracy. Un jour, les amis de Darren adressent au proviseur un courrier anonyme accusant Tracy de pédophilie…

Derrière cette couverture aux tons frais et au titre racoleur (le même qu’en anglais), se cache un roman d’initiation aux accents souvent troubles. Darren est un adolescent de seize ans, très beau mais il vit plutôt mal cette attirance que lui attire sa beauté. Tout en préservant les apparences d’un bon copain, d’un équipier assez fiable dans l’équipe de natation de son lycée, Darren peine à trouver sa place : il est issu d’un quartier périphérique moins favorisé de sa petite ville du New Hampshire, il cherche ses marques entouré d’un père et d’un frère aîné très virils qui lui enseignent un système de valeurs et d’honneur « exigeant ». Il n’a pas vraiment de petite amie même s’il attire tous les regards et ne sait trop comment se comporter avec l’amitié enamourée de Molly Rawlings. Il travaille moyennement alors que tout le monde semble attendre beaucoup mieux que lui. Parmi ses profs, Mr Tracy qui fait un peu penser à Mr Keating du Cercle des poètes disparus dans son exigence d’excellence et d’originalité et qui, un soir de tempête de neige, oblige presque Darren à monter dans sa voiture pour le reconduire chez lui… Plus tard, des étudiants frustrés vont faire circuler des rumeurs de pédophilie à propos du prof d’anglais…

C’est un roman court que l’on peut qualifier de roman d’initiation, où Darren se débat avec ses problèmes d’ado à travers la vie estudiantine très codifiée aux Etats-Unis et ses problèmes de conscience par rapport au scandale de pédophilie qui touche son lycée. Joyce Carol Oates frôle le glauque, mais maîtrise parfaitement son scénario, comme toujours, sauf la fin que je trouve peu convaincante, plaquée. Un roman à conseiller plutôt aux grands ados (et aux adultes, bien sûr, même si, dans sa production jeunesse, j’ai nettement préféré Nulle et grande gueule et Un endroit où se cacher).

« Certains de ceux qui le regardaient, fixant des yeux affamés sur lui, n’étaient ni des filles, ni des jeunes femmes, mais des hommes. Il voyait ça dans leur regard à quoi ils pensaient, et ça le dégoûtait. Avoir ce pouvoir l’excitait et l’effrayait à la fois. Sauf que ce n’était pas vraiment son pouvoir. Sauf qu’il n’en voulait pas vraiment. Parfois les hommes ( Darren était écœuré quand il y pensait, réellement choqué) étaient des adultes qu’il avait déjà rencontrés, des habitants de la ville, des hommes qui connaissaient sa famille.
Sexe, sexy. Être sexuel.
Il avait appris à baisser les yeux. A ne jamais avoir de contact visuel. »

« On n’aurait pas pensé que son coeur battait à l’intérieur de sa poitrine sous ses muscles tendus, et qu’il avait la peur au ventre à l’idée de rater. Quand il était avec ses copains, il paraissait confiant, souriant et sûr de lui. Même sur le plongeoir le plus haut, il avait une expression calme, imperturbable. C’était probablement l’impression que Darren Flynn donnait de lui aux autres. Il fallait cacher tellement de choses ! »

« Il me regarde comme s’il voyait quelqu’un d’autre, et pas moi. Un fils différent. Plus intelligent, meilleur athlète.
Quelqu’un qui ne le décevra pas. »

Joyce Carol OATES, Sexy, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Diane Ménard, Gallimard Jeunesse, collection Pôle Fiction, 2019

Le mois américain 2022 en solitaire avec Pativore et Belette2991

Avec ce titre, j’inaugure une série de billets consacrés à des lectures jeunesse.

"Un seul soupir du chat défait tous les noeuds invisibles de l'air. Ce soupir plus léger que la pensée est tout ce que j'attends des livres."

Christian BOBIN, Un assassin blanc comme neige, Gallimard

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