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Archives de Tag: Seuil

Le désespoir est un péché

20 samedi Mar 2021

Posted by anne7500 in Des Mots du Proche-Orient

≈ 14 Commentaires

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francophonie, Seuil, Yasmine Khlat

Quatrième de couverture :

Le désespoir est un péché. Elle avait honte de laver les latrines, de jeter les poubelles. Elle avait honte de manger et de boire. Elle avait honte de sa bosse, de ses vêtements, de son matelas, de sa mère, du père qu’elle n’avait pas. Elle avait honte de son corps. Elle se mit à maigrir et ses pantalons, deux vieux pantalons qui avaient appartenu à Nour, la fille aînée de la maison, étaient maintenant trop larges. Elle devait les faire tenir avec un cordon qu’elle serrait fort. La maison Nassour était comme frappée du silence de sa honte. Son nom n’y retentissait plus comme avant : Nada ! Nada ! Mais que restait-il dans cette demeure, à part Ichhane qui, lui-même, ne l’appelait plus ?

Destin d’un cœur simple confronté à un lourd secret de famille, l’histoire de Nada s’écrit sur le fil invisible et mouvant qui sépare l’ombre de la lumière dans le patio.

—-

Nada a été vendue par sa mère à la famille de Nasri Nassour, un veuf qui règne avec calme sur sa famille. La maison est ordonnée autour d’un patio au milieu duquel coule une fontaine, centre de la maisonnée. « L’eau, me disait mon maître Nasri, l’eau, c’est la vie même. » Nada grandit vaille que vaille dans cette maison tout en accomplissant les tâches d’une domestique ordinaire. Personne ne lui explique les mystères du corps, elle ne reçoit aucune éducation, ou plutôt son éducation se fait par les sensations, les émotions brutes ou délicates, suivant les jours : le bruit du vent, le sang qui coule pour la première fois, le fumet d’un plat, le miaulement d’un chat dans la cour. Le soir, Nada déplie un matelas dans u coi du patio et se replie sur elle-même. En grandissant, Nada devient bossue et est en butte aux moqueries des gamins du quartier. La servante observe les gens de la maison, les filles du maître qui partent l’une après l’autre pour se marier. Dans cette initiation brute à la vie, il y a les hommes : le maitre, toujours paisible et rassurant, auquel la lie un attachement sans paroles, le cousin Teymour, musicien sensible et timide et Ichhane, le fils au regard noir qui terrorise Nada et disparaît un jour sans explication.

Ainsi se déroule la vie de Nada (dont le nom signifie « rien » en espagnol), une existence marquée de silence forcé, de monotonie, une vie qui parait si pauvre, si dépouillée, si instinctive aussi. Une vie à comprendre pourquoi « Le désespoir est un péché ». Le récit de Yasmine Khlat (née en Egypte dans une famille libanaise) est à la fois sec et brûlant, très sensoriel et économe de paroles. C’est un court roman hypnotique dont j’ai un peu de mal à parler mais que je suis contente d’avoir découvert.

« Lorsque, à l’âge de sept ans, elle entra pour la première fois, d’un pas hésitant et craintif, dans la demeure où elle devait passer  le restant de ses jours, son regard miel, étonné par le sort, était d’une telle grâce qu’il saisit Nasri Nassour au cœur.

Elle grandit là, entre la cuisine, la cour intérieure où elle ramassait les feuilles du marronnier, l’étroit escalier de pierre qui naissait sous l’arbre et menait aux chambres du haut et dont l’aspérité lui brûlait les genoux. Cet escalier, elle le redescendait parfois à vive allure, courant vers les toilettes sur lesquelles elle refermait la lourde porte en bois, la bloquant à l’aide du verrou rouillé qu’elle ne pouvait atteindre qu’en se hissant sur la pointe des pieds. Dans la pénombre, elle baissait sa culotte parfois déjà un peu mouillée, s’accroupissait, le regard vers le jet d’urine qui éclaboussait le marbre et dont les gouttes rejaillissaient sur le haut de ses cuisses, sur ses mollets. Elle restait parfois plus longtemps, attendant que la traverse et tombe lourdement sur le marbre, glissant vers le néant boueux, ce qui oppressait son bassin. Des chambres, on l’appelait. Elle ne répondait pas, tapie dans l’ odeur chaude qui lui rappelait celle des champs où elle était née, de ce temps sans père dont les bribes, peu à peu, sombraient, crépitantes, dans l’unique survivance des feux. » (p. 13-14)

« Il y avait bien entendu son maître, Nasri Nassour, auquel elle aurait pu se confier. Mais il était son fils aîné, l’espoir de sa vieillesse, son héritier, comment lui révéler le malheur de ce fils dont il s’enorgueillissait ? Comment pouvait-elle à lui, qu’on appelait Abou Ichhane, c’est-à-dire le père d’Ichhane, infliger pareille déception ? Elle n’avait qu’un désir, l’épargner, le protéger. Chacun de ses gestes était empreint d’ une pesanteur qui l’intriguait. Elle cherchait la réponse dans ses yeux. Ils lui disaient : Oh ma servante, si tu savais combien de deuils, combien de deuils. » (p.21)

« On ne sait jamais ce que la mer mais dit.  ce qu’elle s’apprête à donner ou à reprendre. » (p. 25)

Yasmine KHLAT, Le désespoir est un péché, Seuil, 2001

Ce roman a obtenu le Prix des Cinq Continents de la Francophonie en 2001.

Voilà qui démarre notre Semaine Francophonie avec Marilyne qui vous présente aujourd’hui un roman de l’ile Maurice, Whitman de Barlen Pyamootoo.

 

Frère d’âme

22 vendredi Mar 2019

Posted by anne7500 in Des Mots français

≈ 14 Commentaires

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David Diop, Frère d'âme, Première guerre mondiale, Seuil

Quatrième de couverture :

Un matin de la Grande Guerre, le capitaine Armand siffle l’attaque contre l’ennemi allemand. Les soldats s’élancent. Dans leurs rangs, Alfa Ndiaye et Mademba Diop, deux tirailleurs sénégalais parmi tous ceux qui se battent sous le drapeau français. Quelques mètres après avoir jailli de la tranchée, Mademba tombe, blessé à mort, sous les yeux d’Alfa, son ami d’enfance, son plus que frère. Alfa se retrouve seul dans la folie du grand massacre, sa raison s’enfuit. Lui, le paysan d’Afrique, va distribuer la mort sur cette terre sans nom. Détaché de tout, y compris de lui-même, il répand sa propre violence, sème l’effroi. Au point d’effrayer ses camarades. Son évacuation à l’Arrière est le prélude à une remémoration de son passé en Afrique, tout un monde à la fois perdu et ressuscité dont la convocation fait figure d’ultime et splendide résistance à la première boucherie de l’ère moderne. 

Ce court roman donne une voix aux sacrifiés « français » de la Grande Guerre, les tirailleurs sénégalais, qu’on envoyait en première ligne soi-disant pour faire peur à l’ennemi et pour qui les souffrances « habituelles » des soldats des tranchées ont été rudement complétées par la discrimination et le racisme.

C’est la voix d’Alfa Ndiaye qui parle, lui qui, très vite, a perdu sur le champ de bataille son « plus que frère« , Mademba Diop. La mort atrocement lente de celui-ci a libéré la pensée du narrateur, qui perd peu à peu la raison et sombre dans une violence particulière.

Quand il est évacué à l’arrière, ses souvenirs d’enfance et d’adolescence reviennent à la surface et il évoque la rencontre de ses parents, un vieil homme sage et une jeune femme peule, la vie du village, son amitié fraternelle avec Mademba, ce qui les a amenés à la guerre. C’est la partie que j’ai la plus aimée avec la sagesse du père face aux injonctions coloniales, prémices d’une misère paysanne criante de bêtise et d’injustice, les contes africains hautement symboliques : autant d’évocations qui rendent une figure humaine, une histoire à deux soldats sénégalais qui seront broyés par la Grande Guerre. La fin m’a littéralement glacée. Mais il me faut avouer que je n’ai pas été emportée par ce roman.  Peut-être est-ce l’écriture incantatoire, hypnotique par ses nombreuses répétitions, qui m’a tenue à distance. Peut-être cette apparente absence d’émotion fait-elle partie du projet de David Diop et je ne l’ai sans doute pas comprise à fond. Mais je comprends que son originalité, ses qualités ont retenu l’attention des lycéens qui lui ont attribué leur Goncourt,

David DIOP, Frère d’âme, Seuil, 2018

C’est un coup de coeur pour Marilyne qui cite plusieurs extraits.

Challenge Goncourt des lycéens chez Enna

Ce qu’on entend quand on écoute chanter les rivières

13 vendredi Oct 2017

Posted by anne7500 in Des Mots britanniques

≈ 20 Commentaires

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Barney Norris, Premier Roman, Rentrée littéraire 2017, Salisbury, Seuil

Quatrième de couverture :

« Le monde s’achève sans cesse autour de nous. Chaque mesure de notre partition appartient déjà au souvenir et à l’imagination au moment où nous la jouons. Autant l’écouter. »

C’est une soirée paisible à Salisbury. Quand soudain, non loin de la majestueuse cathédrale, un fracas de tôle froissée déchire le silence. Autour d’un banal et tragique accident de la route, cinq vies vont entrer en collision. Il y a Rita, gouailleuse et paumée, qui vend des fleurs au marché – et un peu d’herbe pour arrondir ses fins de mois. Il y a Sam, un garçon timide en proie aux affres des premières amours tandis que son père tombe gravement malade. George, qui vient de perdre sa femme après quarante ans d’une passion simple. Alison, femme de soldat esseulée qui sombre dans la dépression et se raccroche à ses rêves inassouvis. Et puis il y a Liam, qui du haut des remparts observe toute la scène.

Cinq personnages, comme les cinq rivières qui jadis se rencontrèrent à l’endroit où se dresse aujourd’hui la ville. Cinq destins, chacun à sa manière infléchi par le drame. Cinq vies minuscules, qui tour à tour prennent corps et voix pour se hisser au-delà de l’ordinaire et toucher au miraculeux.

Quand j’ai commencé ce roman, j’ai été immédiatement séduite par les premières pages sur la ville de Salisbury et conquise par l’histoire de Rita, qui m’a franchement fait sourire avant de tourner au tragique. Je me disais « Ah encore un Anglais qui sait raconter une bonne histoire ! ». Et cela a continué avec le deuxième et le troisième personnage, Sam un adolescent timide dont le père est en train de mourir d’un cancer et George, un vieil homme dont la femme vient de mourir. Rien d’amusant non plus dans la quatrième histoire, celle d’Alison, qui m’a d’abord paru très narcissique et bavarde mais dont je n’avais pas compris tout de suite la dépression. Barney Norris s’est glissé dans ces vies, ces personnalités si diverses avec une justesse et une empathie touchantes. Tous ces personnages se croisent de très courts moments, notamment lors d’un accident de la route qui cristallise tout. C’est aussi le dernier personnage, Liam, qui permet de boucler la boucle et de donner le sens global de ce roman. 

Il me semble que Barney Norris écrit avant tout un roman sur Salisbury, en mettant en scène cinq personnes qui correspondent aux cinq rivières qui se rejoignent dans la ville. A travers elles, il montre comment on s’inscrit dans un lieu, dans une époque, comment les lieux nous façonnent, tout autant que l’éducation que nous avons reçue, nos relations familiales et amicales, notre métier, nos occupations, nos valeurs. Pourquoi on en vient à quitter le lieu de nos racines et/ou à y revenir. Comment on peut s’enraciner dans un lieu pour (re)commencer notre histoire. J’ai l’impression que les cinq personnages de Barney Norris sont comme des gouttes d’eau qui se fondent dans les fameuses cinq rivières qui couleront bien longtemps après leur disparition, à l’instar de la cathédrale de Salisbury qui dressera encore longtemps sa flèche sur le paysage alentour. En même temps, chaque être humain a infiniment d’importance dans leur unicité et Rita, Sam, George, Alison et Liam nous offrent un cocktail d(humanité vue avec beaucoup de finesse et d’émotion.

J’ai donc passé un très bon moment avec ce premier roman !

Barney NORRIS, Ce qu’on entend quand on écoute chanter les rivières, traduit de l’anglais par Karine Lalechère, Seuil, 2017

OMG mais on dirait que j’ai lu un deuxième roman de la rentrée ?!

Les bottes suédoises

18 vendredi Août 2017

Posted by anne7500 in Des Mots suédois

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Henning Mankell, Rentrée littéraire 2016, Seuil, Suède

Quatrième de couverture :

Fredrik Welin, médecin à la retraite, vit reclus sur son île de la Baltique. Une nuit, une lumière aveuglante le tire du sommeil. Au matin, la maison héritée de ses grands-parents n’est plus qu’une ruine fumante.
Réfugié dans la vieille caravane de son jardin, il s’interroge : à soixante-dix ans, seul, dépossédé de tout, a-t-il encore une raison de vivre ?
Mais c’est compter sans les révélations de sa fille Louise et, surtout, l’apparition d’une femme, Lisa Modin, journaliste de la presse locale.
Tandis que l’hiver prend possession de l’archipel, tout va basculer de façon insensible jusqu’à l’inimaginable dénouement…

Après Les chaussures italiennes, Henning Mankell nous offre, dans son dernier roman, publié à titre posthume, l’occasion de retrouver l’univers de Fredrik Welin, son île, la nature de son archipel, ses habitudes de vieux solitaire. Mais son univers bascule la nuit où sa maison brûle complètement. Très vite, l’enquête détermine que l’incendie est d’origine criminelle. Pendant de longues semaines, Fredrik va vivre non seulement avec cette perte immense (la maison avait été construite par ses grands-parents) mais aussi avec le soupçon qui pèse sur lui, celui d’avoir lui-même bouté le feu à sa maison. Fragilisé, Fredrik fait appel à sa fille Louise, aussi mystérieuse et secrète que son père. Dans le même temps, il fait connaissance de Lisa Modin, une jeune journaliste locale. Encore une fois, ce sont deux femmes qui vont secouer et ressusciter de manière peu conventionnelle la vie du septuagénaire.

La vie et la mort, les secrets et les mensonges, le désir et le doute, les apparences et la réalité des vies se côtoient dans ce roman sobre, où Fredrik se révèle d’autant plus attachant qu’il est tellement humain, à la fois fragile et déterminé, tantôt empathique tantôt colérique. Sa vie semble se défaire autour de lui, être cernée de très près par la mort mais elle va trouver des voies de renaissance tout au long du roman.

Des objets symboliques prendront place dans ce processus : une boucle de chaussure, une miniature dans une bouteille, ainsi que les rochers qui peuplent l’île de Fredrik. Et les bottes suédoises, bien sûr.

En mettant en scène un personnage qui ne sait s’empêcher de mentir, Mankell pose subtilement l’art de la fiction, l’art du romancier qui invente sans cesse des histoires. Je me réjouis de n’avoir encore lu que bien peu de celles-ci, pour retrouver cet homme si plein d’humanité.

« Elle [Louise] était pour moi une énigme. Mais je faisais partie d’elle comme elle faisait partie de moi. C’était un récit qui venait à peine de commencer. » (p. 255)

Henning MANKELL, Les bottes suédoises, traduit du suédois par Anna Gibson, Seuil, 2016 (et Points)

La rentrée littéraire 2017 commence à chauffer un peu partout mais je m’en tiens assez à l’écart pour le moment avec ce roman de la rentrée… 2016. Avec ce titre déniché en bibliothèque, j’inaugure ma participation au Challenge nordique proposé par Margotte (bon, je ne désespère pas de faire baisser un peu ma PAL scandinave mais parfois, la bibli ça a du bon aussi).

L’archipel d’une autre vie

28 vendredi Oct 2016

Posted by anne7500 in Des Mots français

≈ 27 Commentaires

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Andreï Makine, L'archipel d'une autre vie, Rentrée littéraire 2016, Seuil

Quatrième de couverture :

Aux confins de l’Extrême-Orient russe, dans le souffle du Pacifique, s’étendent des terres qui paraissent échapper à l’Histoire…

Qui est donc ce criminel aux multiples visages, que Pavel Gartsev et ses compagnons doivent capturer à travers l’immensité de la taïga ? C’est l’aventure de cette longue chasse à l’homme qui nous est contée dans ce puissant roman d’exploration. C’est aussi un dialogue hors du commun, presque hors du monde, entre le soldat épuisé et la proie mystérieuse qu’il poursuit. Lorsque Pavel connaîtra la véritable identité du fugitif, sa vie en sera bouleversée. La chasse prend une dimension exaltante, tandis qu’à l’horizon émerge l’archipel des Chantars : là où une « autre vie » devient possible, dans la fragile éternité de l’amour.

L’archipel d’une autre vie, c’est un roman de nature, une longue expédition dans la taïga, aux confins de la Sibérie. D’abord à la poursuite d’un prisonnier évadé, ensuite à la poursuite de… soi ?

L’archipel d’une autre vie, c’est un roman d’initiation, sans doute, celle de Pavel Gartsev.

L’archipel d’une autre vie, c’est un concentré du meilleur et du pire de ce qu’a pu produire l’ère soviétique chez ses habitants : des fous, des fanatiques, des bons vivants, des hommes ordinaires forcés de choisir un camp ou l’autre face au système. Bien sûr, il n’y a pas qu’en Union soviétique qu’on trouve ce genre de personnages. L’archipel d’une autre vie, c’est un roman sur l’humanité, assortie d’un petit grain de fantaisie, de démesure russe.

L’archipel d’une autre vie, c’est un roman d’amour immensément poétique.

L’archipel d’une autre vie, c’est un conte, un rêve, une quête, comme la chanson de Jacques Brel qui m’est venue spontanément en tête après avoir refermé le livre.

L’archipel d’une autre vie, c’est « juste la décantation suprême du silence et de la lumière. » (p. 236). Et rien que pour cela, même si ce roman est peut-être un trop beau kaléidoscope à la fin improbable, rien que pour la langue d’Andreï Makine, il vaut la peine d’être lu…

Andreï MAKINE, L’archipel d’une autre vie, Seuil, 2016

"Un seul soupir du chat défait tous les noeuds invisibles de l'air. Ce soupir plus léger que la pensée est tout ce que j'attends des livres."

Christian BOBIN, Un assassin blanc comme neige, Gallimard

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