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« Oratorio ou opéra ? A l’époque de sa création – 1744 –, la Semele de Haendel fut annoncée comme oratorio. Haendel avait abandonné l’opéra pour se consacrer aux grands oratorios sacrés, et l’œuvre, composée sur un livret en anglais et non en italien, comprend de grandes pages chorales emblématiques de cette nouvelle pratique. Mais quand le public londonien découvrit cette histoire de princesse mortelle courtisée par l’infatigable Jupiter, il eut l’impression d’un opéra déguisé. Et pas à tort. » (Source : rtbf.be)

Voici un extrait de cette oeuvre par Jodie Devos (fierté belge) avec Le Concert de la Loge dirigé par Julien Chauvin (direction et violon).

« L’année 2018 célébrait le tricentenaire de la Galerie dorée de la Banque de France et sa mise au goût de l’époque avec l’installation de somptueuses boiseries par le comte de Toulouse en 1718 : un décor de rêve, typique du style classique versaillais, et dans lequel furent notamment tournées plusieurs scènes du film Marie-Antoinette de Sofia Coppola. À l’occasion de cet anniversaire, le Concert de la Loge et son directeur musical Julien Chauvin ont conçu une soirée exceptionnelle, inspirée par les décors et l’histoire de ce lieu en rassemblant un florilège d’œuvres et d’artistes : Lully, Rameau, Couperin, Boccherini, Charpentier, Vivaldi, Bach, Haydn, Mozart, Haendel… À l’aide d’une scénographie et d’une mise en lumière éclairant les détails des tableaux et des sculptures, ce programme rend aussi hommage au sens caché des œuvres de la galerie : allégories du jeune Louis XIV au début de son règne, histoire d’Henri IV… » (source : Youtube)