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~ Quelques notes de musique et quantité de livres

Archives de Tag: 2016

2016 en livres

06 vendredi Jan 2017

Posted by anne7500 in Les Mots lus

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2016, bilan de lecture

En 2016 j’ai dressé un tableau Excel de mes lectures, ça ne rigole plus pas côté chiffres  😉

J’ai moins lu que les années précédentes, la faute à un manque d’envie dans les deux derniers mois de l’année, la faute aux écrans aussi, sûrement.

J’ai lu 90 livres tous genres confondus, dont 4 albums jeunesse, 8 BD, 2 Contes, 7 Non Fiction, 11 Nouvelles ou recueils de nouvelles, 2 Poésie ou Prose poétique, 9 Polars, 2 Récits, 40 Romans de littérature générale, 1 Roman graphique, 3 Romans jeunesse, 1 Théâtre.

Les nationalités ? 15 pour l’Angleterre, 19 pour la Belgique, 8 pour les Etats-Unis, 41 pour la France, 1 pour la Grèce, 1 pour l’Islande, 1 pour l’Italie, 1 pour le Japon, 1 pour la Norvège, 1 pour la Su§-ède et 1 pour la Syrie.

La parité est respectée puisque 43 sont écrits par des femmes, 44 par des hommes et 3 par des auteurs mixtes.

J’ai sorti 34 livres de ma PAL d’avant 2016 et 11 de ceux achetés dans l’année. 19 livres ont été empruntés à la Bibliothèque, 2 étaient des cadeaux, 1 était un Prêt, 1 une Relecture et 15 étaient des SP.

Si j’en crois Excel, j’aurais lu 18710 pages (mais j’avoue que ce genre de chiffre me laisse assez froide).

Arrêtons d’ailleurs de parler chiffres et voyons les coups de coeur qui ressortent. Je les note simplement dans l’ordre chronologique :

Camille, mon envolée, de Sophie Daull

Titus n’aimait pas Bérénice, de Nathalie Azoulaï

Nos mémoires apprivoisées, de Valérie Cohen

Macaroni !, de Thomas Campi et Vincent Zabus

Ostende, de Christiane Lévêque

Poussière rouge, de Gillian Slovo

Indian Creek, de Pete Fromm

Marcinelle 1956, de Sergio Salma

La femme de l’Allemand, de Marie Sizun

Le cabinet chinois, de Patricia Wentworth

Tout ce qu’on ne s’est jamais dit, de Céleste Ng

En 2017, l’objectif principal est de lire sans contrainte, à part le Mois belge, en avril, et d’essayer de simplifier les billets de lecture, pour ne pas me lasser de bloguer. Plus de simplicité, de temps de pause, notamment pendant les vacances scolaires (à part en avril), on verra si ça suffit à me remotiver pour écrire dans ces pages. Et donc lire sans contraintes, cela devrait m’aider à diversifier encore les genres et les nationalités…

My English Month

30 jeudi Juin 2016

Posted by anne7500 in Challenges

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2016, Le mois anglais

Et voilà le bilan de ce Mois anglais 2016, marqué par beaucoup d’enquêtes policières et/ou amateurs… Il manque juste « Ceux qui restent » de Jane Casey, rendu depuis longtemps à la bibli.

Merci, Lou et Cryssilda, pour toutes ces aventures so deliciously british !

Mois anglais 2016

Les notes du jeudi : CMIREB Piano 2016 (4)

26 jeudi Mai 2016

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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2016, Concours Reine Elisabeth, Elisso Virsaladze, piano, Schumann

Pour terminer ce petit parcours avec des membres du jury du Concours de piano 2016, voici Elisso Virsaladze, d’origine géorgienne. Il n’y a que quatre femmes dans ce jury, je vous ai déjà présenté Cécile Ousset, il y a aussi Anne Queffélec et Diane Andersen.

Qui est Elisso Virsaladze ?

« Née en Géorgie, Elisso Virsaladze étudie au Conservatoire de Tbilisi avant de s’installer à Moscou. À 20 ans, elle gagne le 3e Prix au Concours Tchaikovsky, et, quatre ans plus tard, le Premier Prix au Concours Schumann de Zwickau. Depuis lors, elle est reconnue comme l’une des grandes interprètes de Schumann. En dehors de Schumann, ses compositeurs de prédilection sont ceux de la fin du 18e et du début du 19e siècle, particulièrement Mozart, Beethoven et Chopin. Mais elle est également célèbre pour la variété de son répertoire, qui inclut aussi les compositeurs russes modernes. Aujourd’hui, Elisso Virsaladze se produit régulièrement à Londres, Milan, Rome, Paris, Lisbonne, Baltimore, Tokyo ou Berlin, en récital ou en soliste avec orchestre, sous la direction de chefs renommés comme Rudolf Barshai, Kyril Kondrashin, Riccardo Muti, Kurt Sanderling, Wolfgang Sawallisch, Evgeny Svetlanov, Antoni Wit et Yuri Temirkanov. Elle enseigne au Conservatoire de Moscou et à la Musikhochschule de Munich, et siège comme membre du jury dans de nombreux concours internationaux comme ceux de Santander, Munich, Geza Anda à Zurich, Rubinstein à Tel Aviv, Tchaikovsky à Moscou. Ses enregistrements pour le label Live Classics reflètent parfaitement sa personnalité musicale. » (source : site du concours)

Puisqu’elle est une des plus grandes interprètes de Schumann, la voici dans son Concerto pour piano op.54.

Les notes du jeudi : CMIREB Piano 2016 (3)

19 jeudi Mai 2016

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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2016, Concours Reine Elisabeth, Impromptu, La Campanella, Liszt, Markus Groh, piano, Schubert

Aujourd’hui je vous fais entendre Markus Groh, un pianiste allemand, qui fut d’ailleurs le premier Allemand à remporter le premier prix du Concours Reine Elisabeth en 1995 et qui est pour la première fois membre du jury cette année.

Que dit sa page sur le site du Concours ?

« Depuis qu’il a remporté le 1er Prix au Concours Reine Elisabeth, en 1995, Markus Groh, d’origine allemande, s’est imposé comme l’un des pianistes incontournables de sa génération. Sa carrière internationale l’a mené à se produire avec des orchestres comme le London Symphony, le Cleveland Orchestra, le New York Philharmonic, le Philadelphia Orchestra, le National Symphony Washington D.C., le San Francisco Symphony, le New Japan Philharmonic et le St. Petersburg Philharmonic, sous la baguette de chefs renommés comme Ivan Fischer, Neeme Järvi, Fabio Luisi, Kent Nagano, Jonathan Nott ou David Robertson. En récital, il a pu jouer dans les plus grandes salles, à Amsterdam, Athènes, Berlin, Bruxelles, Francfort, Londres, Munich, New York, Tokyo, Toronto, Vancouver, Vienne, Washington D.C. et Zurich. Son premier enregistrement SACD, comprenant la Sonate en si mineur, la Fantaisie et Fugue sur B-A-C-H et la Totentanz de Franz Liszt, a reçu d’élogieuses critiques, tant dans la presse internationale (The Times, Frankfurter Allgemeine Zeitung, entre autres) que dans la presse spécialisée. Un deuxième enregistrement, dédié à Brahms, a également été accueilli favorablement. Markus Groh vit à Berlin et à New York. »

Sur la même page, vous trouverez les vidéos de ses « prestations » en finale (le Concerto n° 2 de Liszt) et en concert de lauréats (le Concerto n° 1 de Brahms).

Le voici en récital dans La Campanella, Grande étude de Paganini n°3 transcrite pour le piano par Liszt et dans  l’Impromptu en do mineur n°1 D 899 de Schubert.

 

Les notes du jeudi : CMIREB Piano 2016 (2)

12 jeudi Mai 2016

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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2016, Brahms, Cécile ousset, Concours Reine Elisabeth, piano, Variations sur un thème de Paganini

Autre membre habituée du jury du Concours Reine Elisabeth 2016, la pianiste française Cécile Ousset (qui a été lauréate en 1956, il y a soixante ans !) :

« Née à Tarbes, en France, Cécile Ousset étudie avec Marcel Ciampi au Conservatoire de Paris, où elle obtient son Premier Prix de piano à 14 ans. Elle est lauréate de plusieurs concours internationaux dont le Concours Van Cliburn, le Concours Reine Elisabeth, le Concours Long-Thibaud et le Concours Ferruccio Busoni. Elle entame alors une carrière de concertiste qui la mène sur les cinq continents, et enregistre un vaste répertoire qui comprend les concertos de Johannes Brahms, Edvard Grieg, Franz Liszt, Felix Mendelssohn, Robert Schumann, Piotr Tchaikovsky, Sergey Rachmaninov, Sergey Prokofiev, Maurice Ravel, Francis Poulenc, sous la direction de chefs comme Kurt Masur, Simon Rattle, Günther Herbig ou Neville Marriner. Cécile Ousset donne des master classes aux États-Unis, au Canada, en Europe (entre autres à Puycelsi, en France, depuis 1984), en Australie et en Asie. Elle est souvent invitée comme membre du jury des plus grands concours comme les Concours Van Cliburn, Rubinstein, Leeds, Long-Thibaud, etc. En 2011, elle est nommée Chevalier de l’Ordre National du Mérite. » (source : site du Concours)

Voici un enregistrement d’une oeuvre que j’aime beaucoup : les Variations sur un thème de Paganini de Johannes Brahms.

Les notes du jeudi : CMIREB Piano 2016 (1)

05 jeudi Mai 2016

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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2016, Boris Vodenitcharov, Concours Reine Elisabeth, George Gershwin, piano, Rhapsody in blue

Nous voici en mai et en Belgique la vie musicale de mai se met au diapason du Concours Reine Elisabeth dont la session 2016 est consacrée au piano. Sur mon compte Faceb**k, je vous propose un abécédaire subjectif de pianistes et d’oeuvres diverses. Sur le blog, j’ai envie de vous proposer des pièces jouées par les membres du jury 2016. Plusieurs ont été eux-mêmes lauréats du Concours.

Commençons avec Boris Vodenitcharov, membre du jury depuis plusieurs sessions, dont voici ce que dit sa page sur le site du Concours :

« Né en 1960, Boyan Vodenitcharov est lauréat du Concours international Senigallia lorsqu’il entre au Conservatoire de Sofia en 1979. Il obtient ensuite le 3e Prix au Concours Busoni en 1981 et le 3e Prix au Concours Reine Elisabeth en 1983. En 1986 et 1987, il se perfectionne auprès de Leon Fleisher au Peabody Conservatory de Baltimore. Il donne des concerts dans toute l’Europe, aux États-Unis, au Canada et au Japon. De prestigieuses salles de concert l’ont ainsi accueilli, comme le Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, le Concertgebouw d’Amsterdam, le Palais de la Musique de Strasbourg, la Salle Smetana de Prague, ou encore le Suntory Hall de Tokyo. Depuis une vingtaine d’années, il s’intéresse également aux instruments anciens sur lesquels il a enregistré de nombreux CD. À côté de ses activités d’instrumentiste, Boyan Vodenitcharov travaille aussi dans le domaine de la composition et de l’improvisation. Plusieurs de ses oeuvres ont été jouées en France, en Allemagne, en Belgique et en Bulgarie. Actuellement, il est professeur de piano, de pianoforte et d’improvisation au Koninklijk Conservatorium de Bruxelles. »

Je vous propose de remonter en 1983, année où Boris Vodenitcharov a remporté le troisième prix du CMIREB et il a joué la Rhapsody in blue de George Gershwin lors d’un concert de lauréats. Vous admirerez au passage le physique rustique du Bulgare…

De ce pas

15 mardi Mar 2016

Posted by anne7500 in Des Mots au féminin, Des Mots français

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2016, Caroline Broué, De ce pas, Sabine Wespieser

Présentation de l’éditeur :

« Envoûtée, comme enivrée, Marjorie l’était à nouveau en regardant l’homme et la femme onduler sous ses yeux. Leurs bras chantaient en canon. Leurs mains se croisaient à intervalles réguliers. Le mouvement était répété plusieurs fois, puis la musique s’emballait, et leur pas de deux se terminait par un porté de haute volée. Pour Marjorie, qui parlait la danse mieux que personne, la signification était très claire. Après une phase d’atermoiements, de faux-fuyants et de méfiance, l’homme et la femme faisaient le choix de la concorde, de l’harmonie. Ensemble, ils effaçaient le temps de l’incertitude. Ou, mieux, ils l’oubliaient. »
Ancienne danseuse étoile, Marjorie a fait ses adieux à la scène au moment où elle admire ce pas de deux. Elle vit avec Paul, une petite fille est née, et elle s’interroge sur son avenir.
Toute la tension dramatique de ce premier roman remarquable de concision est contenue dans la description du couple dansant : après l’éblouissement de la rencontre, le temps pour Marjorie et Paul est aux faux-fuyants. L’un et l’autre ont voulu croire qu’ils pourraient faire fi de leur passé : Marjorie de ses origines cambodgiennes ; Paul, un protestant ardéchois, des névroses familiales. Leurs deux silences, qui leur furent d’abord un refuge, s’entrelacent jusqu’à les éloigner.
Par-delà l’histoire de Marjorie et de Paul, Caroline Broué, en de brèves séquences syncopées, scrute les doutes d’adultes de quarante ans aujourd’hui : ceux que la vie oblige à prendre leur destin à bras-le-corps et dont c’est le tour d’entrer en scène. De ce pas est un très beau roman sur le temps qui passe, et sur ses bienfaits.

Des premières pages riches en émotions, une fin sensible, la thématique perceptible du pas de deux, du couple de danseurs dont les protagonistes ne parviennent plus à quitter le sol pour tournoyer avec légèreté dans les airs parce que leurs racines volontairement oubliées, occultées les retiennent au sol…

La présentation de l’éditeur est attirante mais entre le début et la fin, je me suis ennuyée (je me suis un peu obligée à finir ce court premier roman de 169 pages), je ne suis pas parvenue à m’attacher à Marjorie et à Paul. L’histoire de leur couple et de leurs difficultés conjugales est émaillée de rencontres, d’amitiés, de souvenirs, qui sont souvent l’objet de dialogues proches du documentaire (sur la passion des requins, la philosophie de la danse par exemple), donc assez lourds, et les personnages secondaires m’ont paru assez caricaturaux (trop d’ellipses dans leur portrait, peut-être ?) et antipathiques. J’ai trouvé qu’ils n’avaient pas tous l’intérêt suffisant pour faire avancer l’histoire et les personnages principaux.

Bref, la rencontre ne m’a pas séduite. Ca arrive. (Heureusement ce n’était qu’un emprunt à la bibli.)

Caroline BROUÉ, De ce pas, Sabine Wespieser éditeur, 2016

L’avis plus positif de Nadael

Le Mois belge, Saison 3

01 mardi Mar 2016

Posted by anne7500 in Challenges, De la Belgitude

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2016, Le Mois belge, Le mois belge d'Anne et Mina

La Belgique est un pays surréaliste dont les habitants font facilement preuve d’autodérision, un pays passé maître en art du compromis, le fameux « compromis à la belge »,  c’est sans doute pour ça que quand un Bruxellois vous dit « non, peut-être » ça veut dire « oui, certainement ». Mais c’est aussi le pays de la frite et du chocolat, le pays des carnavals, le plat pays de Jacques Brel dont la complexité linguistique n’a d’égal que le foutoir institutionnel dont le roi garantit le ciment. (Et n’oublions pas la reine si chic et si classe au passage.)

En voilà, des images belges ! Images ou cliches, info ou intox ? Mina et moi préférons laisser la parole à la littérature belge dans laquelle nous allons nous plonger pour la troisième fois en avril prochain.

Pur ceux qui connaissent et ceux qui ne connaissent pas encore, voici un petit topo en 8 questions.

C’est Quoi ? Un mois où on lit belge. Tous les genres sont les bienvenus, romans, polars, théâtre, poésie, beaux livres, BD, non-fiction… tout est permis à condition que l’auteur soit belge. (Nous insistons sur ce point.) Et si c’est publié par une maison d’édition belge, c’est encore mieux (mais ce n’est pas obligatoire, bien sûr). On peut aussi proposer des billets culturels (musées, cuisine, promenades, histoire… enzovoort*)

Quand ? Du 1 au 30 avril 2016.

Où ? Chez Mina et ici même. Il y a aussi un groupe Facebook (voir ci-dessous).

Mois belge Logo Folon Redstar 38 gras blanc ombre orange 1 sans bord

Combien ? C’est gratuit bien sûr Un seul billet suffit pour valider votre participation.

Comment déposer ses liens ? Le 1e avril, un billet récapitulatif sera mis en ligne chez chacune de nous (pour ce blog, il suffira ici de cliquer sur le logo du Mois belge dans la colonne de droite). C’est là (chez Mina ou chez moi) que vous pourrez y déposer les liens menant à vos articles. Nouveauté : nous mettrons en ligne un document récapitulatif par semaine sur le groupe Facebook, vous pourrez y inscrire vous-mêmes vos liens si c’est plus facile sans passer par la case « billet récapitulatif sur blog ».

Des rendez-vous ? Oui, bien sûr !

– Mardi 5 avril : Des nouvelles

– Vendredi 8 : Un classique (c’est-à-dire un roman publié avant 1960)

– Mardi 12 : Un livre Jeunesse

– Vendredi 15 : Une BD

– Mardi 19 : Une lecture commune autour de l’auteur Guy Goffette, en lien avec le Club de lecture d’avril à la librairie Antigone de Gembloux (où ma coloc Nadège vous conseille avec plaisir)

– Vendredi 22 : Un auteur flamand (en V.O. ou… en traduction !)

– Mardi 26 : Un polar

Bien évidemment, ces rendez-vous sont tout à fait libres et chacun publie ce qu’il veut quand il veut !

Mois belge Logo Folon sculpture

Et le groupe Facebook ? Vous pouvez vous y inscrire, proposer des lectures communes, échanger autour de la littérature belge  et même déposer vos liens vers vos billets. Nous allons aussi y rappeler les rendez-vous à thème de cette année.

Des logos ? Oui, ceux qui émaillent ce billet et que nous devons à Cachou.

Bien évidemment, ce mois belge peut toujours se combiner avec d’autres rendez-vous ou challenges comme les dimanches ou jeudis en poésie, BD, les Voisins voisines, Petit Bac, etc.

Si vous avez l’intention de nous rejoindre une fois encore, signalez-le en commentaire chez Mina ou ici, c’est toujours sympa.

A très bientôt en avril ! Je nous souhaite déjà un très bon mois belge.

Mois belge Logo Khnopff

*etc.

Les blablas du lundi (23) : la Foire du livre 2016

22 lundi Fév 2016

Posted by anne7500 in Les blablas du lundi

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2016, Foire du livre Bruxelles

DSCN2874

Je pourrais sous-titrer ce billet « Police des sacs » (à l’attention des copines qui se reconnaîtront). Car oui, malgré mes bonnes résolutions, j’ai glissé craqué, chef ! Notamment sur le stand du Québec…

Mais faisons d’abord semblant d’être un peu sérieuse : le thème 2016 de la Foire, « Le bonheur à la page » me paraissait fort bateau et le « pays » à l’honneur était l’Europe, ce qui, au lieu de m’intéresser à une littérature en particulier, me semblait trop vaste. Mais j’avais quand même repéré une rencontre intéressante : Québec, pays poétique, poétique du pays, avec Elise Turcotte, poétesse et romancière, Rodney Saint-Eloy, poète et directeur de la maison d’édition Mémoire d’encrier, Tristan Malavoy, poète qui vient de publier un premier roman, le tout animé par l’auteur québécois Patrick Nicol. Même si je n’ai assisté qu’à une partie des interventions, j’ai aimé l’accent mis sur l’appartenance à la langue française et l’hommage rendu au Premières Nations qui peuplent toujours le Québec.

A peine sortie du Théâtre des mots, je me suis précipitée au stand du Québec tout proche, où j’ai eu la joie de retrouver le libraire Billy Robinson et de discuter un peu avec Dominique, de chez TuliTu, Argali et Tristan Malavoy. Craquage le plus intensif sur ce stand… complété l’après-midi par L’histoire du Québec pour les nuls, après une rencontre très intéressante sur la Place de l’Europe : Canada-Europe, 150 ans d’histoire en 2017. L’écrivain Dany Laferrière a dialogué avec les historiens Eric Bédard et Gilles Laporte, sous la houlette de Raymonde Litalien. Il s’agit des 150 ans de la Constitution du Canada (bien évidemment découvert et colonisé bien plus tôt). Mon ignorance en la matière m’a amenée à emporter la fameuse Histoire du Québec chaudement recommandée par Billy. Et là, je dois vous faire une confidence : même les libraires font la police des sacs !! Oui, oui, Billy a inspecté ma pile en vérifiant si j’avais pris Madame Victoria de Catherine Leroux. Je crois avoir gagné un bon point en avouant l’avoir déjà acheté fin décembre chez TuliTu !

DSCN2875

Les livres du Québec dédicacés sur place…

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… et d’autres emportés pour le plaisir de retrouver des auteurs connus ou pour découvrir grâce à des copines blogueuses.

Evidemment je ne pouvais pas faire la Foire sans penser un peu au Mois belge tout proche. Et même si ma PAL contient déjà de quoi faire au minimum deux mois belges, je suis repartie avec un livre des éditions MEO et un Weyrich, des maisons d’édition belges pas encore représentées sur le blog. Chez Quadrature, je me suis fait dédicacer le nouveau recueil d’Isabelle Baldacchino, Les blondes à forte poitrine. Enfin, j’ai été ravie (grâce à Laeti qui m’a rappelé sa présence) d’échanger quelques mots avec Nathalie Skowronek qui m’a signé La shoah de Monsieur Durand. (A bonne entendeuse…)

DSCN2879

Enfin, grâce à Mina, j’ai découvert une petite maison d’édition indépendante (qui s’est alliée avec deux autres pour cette Foire – Mina vous en parle ici), le Ver à soie, fondée par Virginie Symaniec, qui nous a présenté ses livres avec passion, et elle serait bien en droit de le faire rien que pour la qualité graphique de son travail éditorial. Je me suis laissé tenter par un récit de nature et par un conte chinois. Jugez plutôt de la beauté de ces livres :

DSCN2872

Laeti, Argali, Mina sans oublier Nadège ou Elena… vous l’avez lu, la Foire est comme chaque année l’occasion de retrouver les copines lectrices, d’arpenter les allées en discutant, en échangeant, en partageant les bonnes idées : c’est aussi un des bonheurs de la chose et ça, on peut le refaire indéfiniment, et pas seulement en 2016 !

"Un seul soupir du chat défait tous les noeuds invisibles de l'air. Ce soupir plus léger que la pensée est tout ce que j'attends des livres."

Christian BOBIN, Un assassin blanc comme neige, Gallimard

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