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Archives de Tag: Concours Reine Elisabeth

Elisabeth de Belgique Une reine entre guerre et paix

27 mercredi Mai 2020

Posted by anne7500 in De la Belgitude, Non Fiction

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biographie, Concours Reine Elisabeth, Elisabeth de Belgique, Patrick Weber

Quatrième de couverture :

Arrière-grand-mère du roi des Belges intronisé en 2013, Philippe, et avant lui épouse, mère et grand-mère de rois, Elisabeth (1876-1965) est née Wittelsbach, en Bavière. Nièce et filleule de Sissi, éprise de liberté comme l’impératrice, elle a pourtant su mettre sa couronne au service de ses belles ambitions, politiques et artistiques. Incarnation de la résistance belge en 1914 puis prématurément veuve d’Albert Ier, elle a gagné son surnom de « reine rouge » à la fin de sa vie après sa rencontre avec Mao. Entre-temps, elle n’aura cessé d’étonner par son anticonformisme et sa défense acharnée de la paix. Excellente musicienne, elle a fondé le prestigieux concours Reine-Elisabeth. Grande voyageuse, elle a compté parmi les premiers visiteurs de la tombe de Toutankhamon. Fidèle en amitié, elle fut proche d’Albert Einstein, de Romain Rolland, d’Albert Schweitzer, de Colette… 

Si la vie était « normale », en cette dernière semaine de mai, les Belges mélomanes seraient en train de vibrer au son des pianistes finalistes du Concours Reine Elisabeth. Mais le concours a été reporté à l’année prochaine à cause de cette saleté de virus. Pour compenser, j’ai sorti de ma PAL cette biographie de la Reine Elisabeth, écrite par Patrick Weber, journaliste de télé et de radio, écrivain, curieux de nombreux sujets (et homme d’une élégance raffinée à mon goût, ce qui ne gâte rien).

Elisabeth de Wittelsbach, née en Bavière, était la filleule d’une autre Elisabeth, Sissi l’impératrice d’Autriche. Si elle tient de sa marraine une forme d’exaltation et d’énergie brûlante, elle a néanmoins les pieds bien sur terre par son éducation. Son père était féru de science, de nature, d’observation et il tenait aussi à porter secours aux autres. C’est ainsi qu’il fit des études d’ophtalmologie et ouvrit plusieurs cliniques pour soigner un maximum de gens. Il transmet à sa fille cette attention aux autres ainsi que l’amour des arts. Sa mère l’initie à la religion, mais pas comme un carcan. Elisabeth a aussi appris plusieurs langues étrangères qui lui ont permis plus tard de communiquer lors de ses nombreux voyages. C’est une princesse ouverte d’esprit, curieuse, moderne qui rencontre en 1897 le prince Albert de Belgique qu’elle épousera le 2 octobre 1900. Il paraît qu’elle était assez petite et très mince, voire maigre, qu’elle ne correspondait pas aux canons de la beauté en vigueur et que sa santé était assez fragile

Albert n’était pas censé être roi : un peu comme le père d’Elizabeth II d’Angleterre, il a été « obligé » de monter sur le trône après la mort du fils de Léopold II et celle de son frère aîné. Après Léopold Ier et Léopold II qui ont construit la Belgique (le deuxième ayant sans doute une stature trop grande pour ce petit pays et lui ayant légué la colonie du Congo) et ont choisi leurs épouses pour raisons diplomatiques, le nouveau couple qui monte sur le trône à la fin de 1909 change complètement la figure de la royauté. C’est un mariage d’amour, un couple solide malgré les différences. Il paraît qu’elle était assez petite et très mince, voire maigre, qu’elle ne correspondait pas aux canons de la beauté en vigueur et que sa santé était assez fragile (ce qui ne l’a pas empêchée de vivre quasiment nonante ans). Albert était pessimiste de nature, Elisabeth pleine d’allant et d’énergie. Dans ce petit pays toujours prêt à se diviser, ils vont entrer dans la légende avec leur action pendant la première guerre mondiale, lui comme roi chevalier, toujours aux côtés de ses soldats qu’il tient à ménager au maximum, elle comme la reine infirmière, fondatrice de l’hôpital de l’Océan à la pointe des soins pour les blessés de guerre. Après la guerre, Albert accroît encore son prestige en accordant le suffrage universel (du moins aux hommes) et en donnant plus de place à l’identité flamande. Dès lors, durant les années 1920, le couple royal symbolisera vraiment l’unité de la Belgique et vivra des moments exaltants : Elisabeth assiste à l’ouverture de la tombe de Toutankhamon et crée une fondation égyptologique, le couple royal visite le Congo, Léopold, l’héritier du trône, épouse la sublime Astrid de Suède, qui sera tout autant adulée qu’Elisabeth par les Belges.

Les années trente sont, on le sait, plus sombres : la crise économique, les bruits de guerre, la mort accidentelle du roi Albert le 17 février 1934, celle d’Astrid en août 1935, l’invasion de la Belgique en 1940 et la capitulation de Léopold III, qui entraînera après la guerre la question royale et l’accession au trône du jeune Baudouin en 1951. Elisabeth a toujours soutenu les choix de son fils aîné, plaidant pour lui en coulisses, notamment par correspondance.

Une fois les choses apaisées, à partir de 1951, à l’äge de 75 ans, Elisabeth entame une nouvelle vie : elle peut désormais se consacrer totalement à ses passions, la musique évidemment, en relançant le Concours qu’elle a créé en 1937 (et dont elle a eu l’idée dès 1931 avec son ami Eugène Ysaÿe, en créant notamment la Chapelle musicale qui porte toujours son nom). La reine se consacrera encore à de nombreux voyages, au Congo, en Pologne, en Union soviétique et en Chine, au grand dam des autorités belges crispées par ces voyages en pleine guerre froide. Mais Elisabeth a toujours été une femme libre, un peu comme Churchill il lui fallait des défis pour se sentir vivante et elle n’a cessé de mener ces périples et ces rencontres que pour faire progresser la paix et l’amitié entre les peuples. Elle fut notamment amie, au nom de la paix, de la musique, de la culture, avec Albert Einstein, Romain Rolland, Colette, Albert Schweitzer, entre autres.

C’était une fameuse personnalité, pleine d’humour et de ténacité, qui finissait toujours par faire ce qu’elle voulait. Sans doute ne pouvait-on pas résister longtemps à son regard pervenche.

Je suis contente de connaître un peu plus en détail cette reine mythique de la Belgique au travers de cette biographie de Patrick Weber, qui se lit comme un roman. J’aime beaucoup cette mystérieuse photo de couverture, prise sur la plage d’Ostende le 4 août 1911. (Et pour une fois il y a de la non fiction sur ce blog, ça faisait longtemps.)

Patrick WEBER, Elisabeth de Belgique Une reine entre guerre et paix, Payot, 2014 (1è édition  1998)

 

 

Les notes du jeudi : Le violoncelle roi (8) Dimitri Chostakovitch

29 jeudi Juin 2017

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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Chostakovitch, concerto, Concours Reine Elisabeth, Rostropovitch, violoncelle

Je termine cette longue série consacrée au violoncelle avec un interprète mythique, qui a créé ce premier Concerto de Chostakovitch (toutes les oeuvres composées pour lui sont donc jouables, malgré leur degré de difficulté…) : il s’agit bien sûr de Mstislav Rostropovitch. Le voici avec le Philadelphia Orchestra et le chef Eugene Ormandy.

Cette oeuvre composée six ans après la mort de Staline peut nous faire comprendre ce qu’était le régime stalinien, le régime soviétique, avec son premier mouvement habité, diabolique, un mouvement lent désespéré, un troisième mouvement très original puisqu’il s’agit de la cadence (six minutes de violoncelle seul) avant le sprint final, « grotesque », qui reprend la mélodie du début. Les quatre notes de départ de ce concerto constituent une signature musicale reconnaissable entre toutes (certains y lisent les quatre coups frappés par le KGB à votre porte…).

Patrick Leterme (de Musiq3 notamment) a le don d’expliquer les choses avec humour et pédagogie (et la complicité d’un bon dessinateur) : à voir ici.

J’espère que ce voyage au pays du violoncelle vous a plu !

Les notes du jeudi : Le violoncelle roi (7) Antonin Dvorak

22 jeudi Juin 2017

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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Antonin Dvorak, concerto, Concours Reine Elisabeth, Daniel Barenboïm, Jacqueline du Pré, violoncelle

Nous partons à l’est aujourd’hui, avec le Concerto pour violoncelle en si mineur d’Antonin Dvorak mais je ne résiste pas à choisir à nouveau Jacqueline du Pré et Daniel Barenboïm pour l’interprétation, cette fois avec le Chicago Symphony Orchestra.

Les notes du jeudi : Le violoncelle roi (6) Camille Saint-Saëns

15 jeudi Juin 2017

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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Camille Saint-Saëns, concerto, Concours Reine Elisabeth, Sol Gabetta, violoncelle

Musique française aujourd’hui et jeune violoncelliste contemporaine : voici le premier concerto pour violoncelle de Camille Saint-Saëns, par Sol Gabetta et l’Orchestre philharmonique de la Radio danoise, sous la direction de Paul McCreesh.

Les notes du jeudi : Le violoncelle roi (5) Robert Schumann

08 jeudi Juin 2017

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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concerto, Concours Reine Elisabeth, Mischa Maïsky, Robert Schumann, violoncelle

Le Concours s’est terminé dans la nuit de samedi à dimanche (premier prix à un Français, Victor Julien-Laferrière) mais la clôture officielle n’aura lieu qu’avec le concert des (premiers) lauréats le 15 juin et ceux-ci se produiront encore en Belgique jusqu’à l’automne. Et comme il y a plein de magnifiques concertos pour violoncelle, je reste avec cet instrument jusqu’à la fin du mois. Je vous propose aujourd’hui le Concerto (un peu torturé) de Schumann, interprété par Mischa Maisky (membre du jury de cette première session de violoncelle qui a remporté beaucoup de succès). Le Wiener Philharmoniker est dirigé par Leonard Bernstein. (Pour ceux qui l’apprécient, il y a sur youtube une version par Jacqueline du Pré, mais je vais essayer de diversifier les interprètes…)

Les notes du jeudi : Le violoncelle roi (4) Sir Edward Elgar

01 jeudi Juin 2017

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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concerto, Concours Reine Elisabeth, Daniel Barenboïm, Edward Elgar, Jacqueline du Pré, Le mois anglais, violoncelle

Nous sommes le 1er juin, à la quatrième soirée de finale du Concours Reine Elisabeth (où chacun des douze finalistes joue l’oeuvre imposée et le concerto de son choix), et c’est aussi le début du Mois anglais. Cela tombe bien, il y a un concerto pour violoncelle anglais, celui de sir Edward Elgar, composé peu après la Première guerre mondiale et créé dans des conditions assez désastreuses, ce qui fait que ce concerto est rapidement tombé dans l’oubli jusqu’à ce que Jacqueline du Pré (britannique elle aussi) l’enregistre dans les années 60 et le rende très populaire. C’est sa version que je vous propose, accompagnée par son mari, le chef Daniel Barenboïm et le London Philharmonic.

Les notes du jeudi : Le violoncelle roi (2) Joseph Haydn

18 jeudi Mai 2017

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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2017, Concours Reine Elisabeth, Gautier Capuçon, Gustavo Dudamel, Joseph Haydn, violoncelle

Cette semaine, vingt-quatre candidats issus des épreuves préliminaires se présentent devant le jury. Ils joueront deux fois sur la semaine, en concert et en récital. Samedi soir, nous connaîtrons les noms des douze lauréats de la finale, qui se déroulera du 29 mai au 3 juin.

« Durant chaque session, à 15h et 20h, deux candidats présenteront d’abord un Concerto de Boccherini ou de Haydn accompagnés par l’Orchestre royal de Chambre de Wallonie, dirigé par Frank Braley. Et ensuite leur récital (choisi parmi deux propositions par le jury) qui doit comprendre au moins trois mouvements d’une Suite pour violoncelle seul de Johann Sebastian Bach, et l’œuvre inédite imposée, écrite par la Belge Annelies Van Parys   : Chacun(e) sa chaconne. » (source : rtbf.be)

Je vous propose donc un concerto de Haydn, joué par Gautier Capuçon, un des membres du jury de cette toute première session consacrée au violoncelle. Il est accompagné de l’Orchestre philharmonique de Berlin, dirigé par Gustavo Dudamel.

 

Les notes du jeudi : Le violoncelle roi (1) Luigi Boccherini

11 jeudi Mai 2017

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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2017, Concours Reine Elisabeth, Luigi Boccherini, violoncelle

Cette année, le Concours Reine Elisabeth fête son quatre-vingtième anniversaire et se consacre pour la première fois au violoncelle. Comme le dit la RTBF, la reine c’est toujours Elisabeth mais cette année, le roi, c’est le violoncelle !

Cette semaine, les 70 candidats retenus se présentent pour la première épreuve devant le jury.

« Durant ces épreuves éliminatoires, les candidats présenteront le premier mouvement de la Sonate pour violoncelle seul d’Eugène Ysaÿe, une sonate de Luigi Boccherini, accompagnée par un autre violoncelle, et une œuvre avec accompagnement de piano, à choisir parmi : le premier mouvement d’une sonate de Franz Schubert, deux pièces de Robert Schumann, un rondo d’Antonin Dvorak et des variations de Felix Mendelssohn. » (Source : Musiq3)

Aussi je vous propose cette semaine la Sonate en do majeur pour deux violoncelles de Luigi Boccherini, jouée par l’Ensemble de violoncelles de la Schola Cantorum de Paris, sous la direction d’Erwan Fauré.

Les notes du jeudi : CMIREB Piano 2016 (4)

26 jeudi Mai 2016

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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2016, Concours Reine Elisabeth, Elisso Virsaladze, piano, Schumann

Pour terminer ce petit parcours avec des membres du jury du Concours de piano 2016, voici Elisso Virsaladze, d’origine géorgienne. Il n’y a que quatre femmes dans ce jury, je vous ai déjà présenté Cécile Ousset, il y a aussi Anne Queffélec et Diane Andersen.

Qui est Elisso Virsaladze ?

« Née en Géorgie, Elisso Virsaladze étudie au Conservatoire de Tbilisi avant de s’installer à Moscou. À 20 ans, elle gagne le 3e Prix au Concours Tchaikovsky, et, quatre ans plus tard, le Premier Prix au Concours Schumann de Zwickau. Depuis lors, elle est reconnue comme l’une des grandes interprètes de Schumann. En dehors de Schumann, ses compositeurs de prédilection sont ceux de la fin du 18e et du début du 19e siècle, particulièrement Mozart, Beethoven et Chopin. Mais elle est également célèbre pour la variété de son répertoire, qui inclut aussi les compositeurs russes modernes. Aujourd’hui, Elisso Virsaladze se produit régulièrement à Londres, Milan, Rome, Paris, Lisbonne, Baltimore, Tokyo ou Berlin, en récital ou en soliste avec orchestre, sous la direction de chefs renommés comme Rudolf Barshai, Kyril Kondrashin, Riccardo Muti, Kurt Sanderling, Wolfgang Sawallisch, Evgeny Svetlanov, Antoni Wit et Yuri Temirkanov. Elle enseigne au Conservatoire de Moscou et à la Musikhochschule de Munich, et siège comme membre du jury dans de nombreux concours internationaux comme ceux de Santander, Munich, Geza Anda à Zurich, Rubinstein à Tel Aviv, Tchaikovsky à Moscou. Ses enregistrements pour le label Live Classics reflètent parfaitement sa personnalité musicale. » (source : site du concours)

Puisqu’elle est une des plus grandes interprètes de Schumann, la voici dans son Concerto pour piano op.54.

Les notes du jeudi : CMIREB Piano 2016 (3)

19 jeudi Mai 2016

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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2016, Concours Reine Elisabeth, Impromptu, La Campanella, Liszt, Markus Groh, piano, Schubert

Aujourd’hui je vous fais entendre Markus Groh, un pianiste allemand, qui fut d’ailleurs le premier Allemand à remporter le premier prix du Concours Reine Elisabeth en 1995 et qui est pour la première fois membre du jury cette année.

Que dit sa page sur le site du Concours ?

« Depuis qu’il a remporté le 1er Prix au Concours Reine Elisabeth, en 1995, Markus Groh, d’origine allemande, s’est imposé comme l’un des pianistes incontournables de sa génération. Sa carrière internationale l’a mené à se produire avec des orchestres comme le London Symphony, le Cleveland Orchestra, le New York Philharmonic, le Philadelphia Orchestra, le National Symphony Washington D.C., le San Francisco Symphony, le New Japan Philharmonic et le St. Petersburg Philharmonic, sous la baguette de chefs renommés comme Ivan Fischer, Neeme Järvi, Fabio Luisi, Kent Nagano, Jonathan Nott ou David Robertson. En récital, il a pu jouer dans les plus grandes salles, à Amsterdam, Athènes, Berlin, Bruxelles, Francfort, Londres, Munich, New York, Tokyo, Toronto, Vancouver, Vienne, Washington D.C. et Zurich. Son premier enregistrement SACD, comprenant la Sonate en si mineur, la Fantaisie et Fugue sur B-A-C-H et la Totentanz de Franz Liszt, a reçu d’élogieuses critiques, tant dans la presse internationale (The Times, Frankfurter Allgemeine Zeitung, entre autres) que dans la presse spécialisée. Un deuxième enregistrement, dédié à Brahms, a également été accueilli favorablement. Markus Groh vit à Berlin et à New York. »

Sur la même page, vous trouverez les vidéos de ses « prestations » en finale (le Concerto n° 2 de Liszt) et en concert de lauréats (le Concerto n° 1 de Brahms).

Le voici en récital dans La Campanella, Grande étude de Paganini n°3 transcrite pour le piano par Liszt et dans  l’Impromptu en do mineur n°1 D 899 de Schubert.

 

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