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Archives de Tag: Ludwig von Beethoven

Les notes du jeudi : Anniversaires 2021 (5) Arthur Grumiaux

11 jeudi Nov 2021

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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Arthur Grumiaux, Ludwig von Beethoven

Dans la série des anniversaires de l’année, place à un interprète, place à un Belge, le violoniste Arthur Grumiaux, qui aurait eu 100 ans le 21 mars et qui est un des fleurons de l’école belge du violon.

On peut encore apprécier certains concerts ou enregistrements « en direct » et voici donc le Concerto pour violon en ré majeur de Beethoven avec Antal Dorati à la tête de l’Orchestre National de l’ORTF, à la Salle Pleyel, Paris, en 1965.

Les notes du jeudi : Vive les vents, vive les vents… (1) Ludwig van Beethoven

07 jeudi Jan 2021

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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instruments à vent, Ludwig von Beethoven

Petit raccord un peu forcé avec le thème de l’hiver et la chanson « Vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hiver ! », voici le thème de janvier : les instruments à vent !

Commençons avec une oeuvre très peu jouée de Beethoven (1770-1827), son Quintette pour piano et instruments à vent (hautbois, clarinette, cor, basson et piano) opus 16 en mi majeur, composé en 1796 et créé en 1797.

Les interprètes : Jeffrey Nau au piano et l’Ensemble Stanislas : Pierre Colombain (hautbois) Philippe Moinet (clarinette) Pierre Riffault (cor) Nicolas Tacchi (basson).

Ludwig van Beethoven

23 mercredi Déc 2020

Posted by anne7500 in Non Fiction

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Actes Sud, Ludwig von Beethoven

Quatrième de couverture :

“Peut-être y a-t-il des musiciens plus grands, ou meilleurs. Mais le seul Beethoven à tout instant de sa meilleure musique nous communique l’urgence qui est en lui, de convaincre, d’entraîner. Du pouvoir des formes, du prestige du chant il n’attend rien, mais tout de sa conviction, qu’il a le génie de transmuer en force tout court. Il ne séduit pas, n’enjôle pas. Il prend. Beethoven est une prise. L’emprise ne se desserrera pas.”

ANDRÉ TUBEUF

André Tubeuf est né à Smyrne en 1930. Admis à l’ENS Ulm en 1950, il est agrégé de philosophie en 1954. Jacques Duhamel et Michel Guy font appel à lui, dans les années 1970, en tant que conseiller pour la musique, sans qu’il quitte pour autant son enseignement. Il est également présent dans la presse musicale, Opéra international, L’Avant-Scène Opéra, Harmonie, Diapason puis Classica-Répertoire, et Le Point depuis 1976. Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur la musique. Parmi les derniers : Divas (Assouline), L’Offrande musicale : Compositeurs et interprètes (Robert Laffont, “Bouquins”) ainsi que deux volumes de cette collection “Classica” : Mozart et Richard Strauss.

J’ai acheté ce livre au début de l’année, pour participer en lecture à l’année Beethoven qui célèbre les 250 ans de sa naissance. Je m’attendais à une biographie « classique » alimentée par un éclairage sur les oeuvres mais ce n’est pas cela que j’ai trouvé dans cet ouvrage d’environ 200 pages. J’ai déjà entendu une ou deux fois André Tubeuf en interview à la radio et j’en ai retenu sa grande connaissance musicale et aussi son parler parfait, presque précieux. C’est un peu cela que j’ai ressenti à la lecture de ce Ludwig van Beethoven : une analyse à la fois serrée, technique, musicologique des oeuvres et un style très lyrique qui demande un peu de concentration. A la fin, l’auteur « justifie » (à peine) le fait de ne pas avoir choisi la biographie traditionnelle, arguant que Beethoven était tout entier voué à sa musique et que seule l’oeuvre compte pour tenter de l’appréhender.

André Tubeuf commence par nous surprendre volontairement en mettant en avant Fidelio, le seul opéra écrit par Beethoven, plusieurs fois remanié, considéré comme vocalement ardu pour les rôles titres. Fidelio, c’est Léonore qui se travestit en homme pour libérer de sa prison son Florestan. Cet opéra est marqué par les idéaux de la Révolution française, tout comme Beethoven (qui admirait Napoléon, mais pas jusque dans ses dérives dictatoriales) et il est – selon André Tubeuf – le portrait du compositeur, épris de liberté.

L’auteur passe ensuite en revue les 32 sonates pour piano, l’instrument par excellence auquel Beethoven a consacré toute sa vie, l’étendue des possibilités pianistiques (Beethoven était attaché à son piano, ou plutôt à ses pianos successifs  car il suivait avec attention l’évolution technique de l’instrument), la nouveauté à laquelle il soumet les oreilles de ses auditeurs, la manière dont il repousse sans cesse les limites de la forme sonate.

Les quatuors à cordes sont également l’expression de l’essence même de la recherche artistique du compositeur.

Les cinq concertos pour piano, le concerto pour violon traduisent la modernité de celui que le comte Waldstein envoya à Vienne pour « y recueillir des mains de Haydn l’héritage de Mozart » (le triple concerto pour piano, violon et violoncelle est, toujours selon Tubeuf, plus convenu). Tout comme les concertos, les neuf symphonies ont moins heurté les oreilles du public parce que l’orchestre cherche par nature l’harmonie, même si certains concertos (pas de Beethoven) rivalisent avec l’orchestre, par définition. 

Le dernier chapitre, très court, propose une discographie, non pas la discographie idéale, mais celle qui a permis à André Tubeuf de connaître et d’aimer celui dont la musique vous prend d’emblée et ne vous lâche plus. A chaque auditeur ensuite de se constituer sa propre bibliothèque sonore.

Je n’ai pas tout compris d’une part parce que je n’ai fait qu’un an de solfège et que les explications musicales étaient ardues pour moi et d’autre part parce que je me suis rendu compte que je connais très mal les sonates pour piano (la Clair de lune, évidemment, la Pathétique…) et les quatuors à cordes. Mais je ne regrette pas ma lecture, qui m’a donné envie d’écouter et de découvrir encore le grand Beethoven (qui, paraît-il, ne mesurait guère plus qu’un mètre soixante-deux) et qui a été « complétée » par la visite à Bozar de l’expo Hôtel Beethoven : pas biographique non plus sauf dans les repères du début d’expo (ça n’aurait d’ailleurs que peu d’intérêt, en effet) mais une invitation à entrer dans des chambres qui présentent l’image de Beethoven « utilisée », travaillée par des artistes comme Bourdelle, Andy Warhol, Josef Beuys, une réflexion sur la surdité et la réception du son, l’évolution du piano, une reprise de Fidelio par des groupes musicaux de différents pénitenciers américains… bref l’impact que « l’icône » Beethoven a eue et a encore depuis 1827.

André TUBEUF, Ludwig van Beethoven, Actes Sud / Classica, 2009

Ca compte aussi pour le défi Un hiver au chalet catégorie Sculpture à l’hôtel de glace (art / musique) 

Les notes du jeudi : Ludwig von Beethoven

29 jeudi Oct 2020

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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Ludwig von Beethoven, Symphonie pastorale

Pour clôturer ce mois dédié aux arbres, je vous propose un moment de célébration des 250 ans de Beethoven avec sa Sixième symphonie en fa majeur appelée la Pastorale, une oeuvre à programme où le compositeur parle de l’homme face à la nature, une nature tantôt calme tantôt orageuse, à laquelle il s’abandonne. 

Voici la version de l’Orchestre national de France sous la direction de Daniele Gatti.

Les notes du jeudi : Belgique toujours (2) Lorenzo Gatto et Julien Libeer

09 jeudi Avr 2020

Posted by anne7500 in Non classé

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Julien Libeer, Le Mois belge 2020, Lorenzo Gatto, Ludwig von Beethoven

Voilà mon clin d’oeil belge à Beethoven (dont on fête les 250 ans de la naissance, faut-il le rappeler) avec une sonate pour piano et violon jouée par deux musiciens et amis d’une belle génération artistique belge, Lorenzo Gatto (violon) et Juien Libeer (piano).

C’est la sonate n° 10 en sol majeur.

Les notes du jeudi : Européens avant l’heure (4) Ludwig von Beethoven

27 jeudi Fév 2020

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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Europe, Hymne à la joie, Ludwig von Beethoven

Pour terminer ce mois consacré aux compositeurs ayant beaucoup voyagé en Europe et s’étant nourris de diverses influences, je vous propose d’écouter le dernier mouvement de la 9è Symphonie de Beethoven, avec cet Hymne à la joie (paroles de Schiller) qui est devenu l’Hymne européen.

En voici une version jouée aux BBC Proms, avec :

Anna Samuil (soprano), Waltraud Meier (mezzo-soprano), Michael König (tenor), René Pape (basse), le National Youth Choir of Great Britain et le West-Eastern Divan Orchestra dirigé par Daniel Barenboim.

Les notes du jeudi : Ouvertures de Beethoven (5)

30 jeudi Jan 2020

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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Jour de fête, La Consécration de la maison, Ludwig von Beethoven, Ouverture

Ca tombe bien, janvier compte cinq jeudis cette année, et cela me permet de vous proposer les deux dernières ouvertures créées par Beethoven : Jour de fête (1815) (liée au jour de fête de François Ier d’Autriche))et La Consécration de la maison (1822), la dernière écrite par Beethven pour l’inauguration du théâtre de la Josefstadt .

(Claudio Abbado, Orchestre philharmonique de Vienne)

(Riccardo Muti au théâtre de La Fenice de Venise)

Les notes du jeudi : Ouvertures de Beethoven (4)

23 jeudi Jan 2020

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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Le Roi Etienne, Les Ruines d'Athènes, Ludwig von Beethoven, Ouverture

Aujourd’hui voici deux oeuvres de circonstance écrites par Beethoven : « L’empereur François Ier d’Autriche, pour apaiser les sentiments nationalistes naissants en Hongrie, avait fait construire dès 1808 un grand théâtre à Pest, en Hongrie, pour célébrer la fidélité de la Hongrie à la monarchie autrichienne. À l’occasion de l’inauguration de ce théâtre en 1812, Beethoven fut appelé à mettre en musique deux textes de circonstance écrits par August von Kotzebue : Le Roi Étienne et Les Ruines d’Athènes. Ces ouvertures font partie des œuvres orchestrales les moins jouées du compositeur. » (Source : Wikipedia)

Les notes du jeudi : Ouvertures de Beethoven (3)

16 jeudi Jan 2020

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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Egmont, Ludwig von Beethoven, Ouverture

Ce jeudi je vous propose l’ouverture d’Egmont, « une musique de scène constituée d’une ouverture et de neuf parties pour soprano, récitant et grand orchestre composée par Ludwig van Beethoven entre octobre 1809 et juin 1810, destinée à la pièce de Goethe Egmont. L’histoire et l’héroïsme du comte d’Egmont fournirent à Beethoven l’occasion d’exprimer au passage ses propres préoccupations politiques, et d’exalter le sacrifice de l’homme condamné à mort pour s’être dressé contre ‘oppresseur. » (Source : Wikipedia)

En voici une version enregistrée en 2014 par l’Orchestre national de France dirigé par Daniele Gatti.

Les notes du jeudi : Ouvertures de Beethoven (2)

09 jeudi Jan 2020

Posted by anne7500 in Des Notes de Musique

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Coriolan, Ludwig von Beethoven, Ouverture

Aujourd’hui voici l’ouverture Coriolan, composée en 1807, une des plus connues par sa puissance dramatique, un bon témoin de la musique « héroïque » de Beethoven.

Coriolan était un général romain qui devait son surnom à la ville de Corioles, au sud du Latyum, qu’il avait conquise en 493 avant Jésus-Christ. Exilé de Rome après s’être violemment querellé avec les tribuns de la plèbe nouvellement instituée, Coriolan fait allégeance aux Volsques qu’il avait autrefois combattus. Il les persuade de rompre le traité passé avec Rome et de lever une armée d’invasion. Lorsque les troupes volsques menées par Coriolan menacent Rome, les matrones romaines, dont son épouse Volumnia et sa mère Veturia, sont envoyées pour le dissuader d’attaquer. Voyant sa mère, son épouse et leurs enfants se jeter à ses pieds, Coriolan fléchit, ramène ses troupes aux frontières du territoire romain et se suicide. C’est de cette dernière partie de l’histoire que Beethoven s’est inspiré pour écrire son ouverture. (Source : Wikipedia)

Voici une version du Wiener Philharmoniker dirigé par Leonard Bernstein.

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