Tout au long de ce mois et jusqu’au 4 janvier, je vous propose d’écouter des Noëls français du 19è siècle, pièces longues ou courtes, instrumentales ou vocales.
Pour commencer, l’Oratorio de Noël de Camille Saint-Saëns par la Deutsche Radio Philharmonie et les solistes dirigés par Christoph Poppen.
En septembre, en vous proposant Le Carnaval des animaux, je vous signalais déjà que l’on fête le centenaire de la mort de Camille Saint-Saëns, pianiste, organiste et compositeur français de l’époque romantique (1835-1921). J’ai déjà présenté plusieurs oeuvres de lui ici, parmi les plus connues, le Concerto pour piano dit L’Egyptien, des extraits de Samson et Dalila, le Concerto pourvioloncelle…
Aujourd’hui je vous propose l’Introduction et Rondo capriccioso en la mineur. J’ai reconnu la violoniste Janine Jansen et le chef George Enescu mais il n’y a pas d’indication supplémentaire, désolée…
Avec le mois de septembre et la rentrée qui s’est bien installée, j’ai envie de vus proposer trois pièces très célèbres qui permettent au jeune public (et à toutes les oreilles qui veulent bien) de découvrir les instruments de musique.
Voici tout d’abord Le Carnaval des animaux de Camille Saëns dont on fêtera le centenaire de la mort en décembre prochain. L’oeuvre a été composée en 1886. En fait il s’agirait plutôt d’un pastiche musical. Toutes les explications ici et une interprétation par de jeunes musiciens lors de la Folle Journée de Varsovie en 2013.
De Camille Saint-Saëns (1835-1921), voici Calme des nuits, pour quatre voix mixtes avec accompagnement piano. Quand je l’ai découverte à la radio, elle était interprétée a cappella, comme les versions que je vous propose, l’une avec choeur mixte (un concert à l’abbaye de Sylvanès, le 14 juillet 2014, par l’ensemble vocal Unité dirigé par Christian Nadalet), l’autre avec voix masculines uniquement (par l’ensemble Cantus en décembre 2018 à la chapelle St-Thomas d’Aquin, cathédrale Saint-Paul de Londres).
En ce 31 octobre, nous voici à Halloween pour e vrai et je vous propose d’écouter encore une Danse macabre, celle de Camille Saint-Saëns (1835-1921). C’est un poème symphonique dont voici l’argument : « Minuit sonne. Satan va conduire le bal. La Mort paraît, accorde son violon, et la ronde commence, presque furtivement au début, s’anime, semble s’apaiser et repart avec une rage accrue qui ne cessera qu’au chant du coq. Le sabbat se dissout avec le lever du jour. » (source : Wikipedia)
Voici cette Danse macabre par l’Orchestre philharmonique de Radio-France.
Musique française aujourd’hui et jeune violoncelliste contemporaine : voici le premier concerto pour violoncelle de Camille Saint-Saëns, par Sol Gabetta et l’Orchestre philharmonique de la Radio danoise, sous la direction de Paul McCreesh.
Aujourd’hui, souhaitons bon anniversaire à Camille Saint-Saëns, né il y a 180 ans (1835-1921). « Il a écrit douze opéras, dont le plus connu est Samson et Dalila (1877), de nombreux oratorios, cinq symphonies, cinq concertos pour piano, trois pour violon et deux pour violoncelle, des compositions chorales, de la musique de chambre et des pièces pittoresques, dont Le Carnaval des animaux (1886). » (source : Wikipedia)
Je vous propose aujourd’hui une oeuvre symphonique très célèbre et que j’aime beaucoup : la Symphonie n° 3 en do mineur avec Orgue. Elle est dirigée par Paavo Järvi lors de BBC Proms.
Pour rester dans l’univers du Québec et prolonger un peu la thématique de l’amour, voici Marie-Nicole Lemieux, la merveilleuse contralto du Québec, et un CD paru chez Naïve (sa maison de disques), qui s’intitule « Ne me résiste pas ». Ne résistez pas à l’émotion, à l’énergie, à la tendresse, à la sensualité de la belle Marie-Nicole dans « Mon coeur s’ouvre à ta voix » extrait de Samson et Dalila, de Camille Saint-Saëns. L’Orchestre National de France est placé sous la direction de Fabien Gabel.
Dans cette vidéo très sympathique (je n’ai aucune objectivité), l’artiste explique la démarche de l’album. Une petite pointe d’accent québécois, ça ne se refuse pas cette semaine…
Après l’Algérie, restons en Afrique du Nord mais avec de la musique française (quelle élégance !) et le Concerto pour piano et orchestre n*5 de Camille Saint-Saëns, dit Concerto égyptien (vous comprendrez pourquoi notamment dans le deuxième mouvement). Le pianiste français Jean-Yves Thibaudet est accompagné par le Concertgebouw d’Amsterdam sous la direction de Andris Nielsons. Il y a pire comme plaisir musical…