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Franz Liszt, Hamlet, Le mois anglais, poème symphonique, Shakespeare
Dans la série des héros tragiques du grand Will, voici aujourd’hui Hamlet dont Franz Liszt a vu une représentation à Weimar en 1856. L’interprétation de l’acteur principal Bogumil Dawilson frappe le compositeur qui en tire ce poème symphonique n° 10.
D’après Wikipedia : « Il voit en Hamlet, à la différence de Gœthe, un « prince intelligent, entreprenant, à hautes visées politiques, quiattend le moment propice pour accomplir sa vengeance », et la folie d’Ophélie semble pouvoir s’expliquer par le fait que l’être aimé, Hamlet, lui est infiniment supérieur « c’est elle qui est écrasée sous sa mission par son impuissance d’aimer Hamlet comme il lui faut être aimé, et sa folie n’est que le decrescendo d’un sentiment dont l’inconsistance ne lui permet pas de se maintenir dans la région de Hamlet ». Deux ans plus tard, Liszt compose à Weimar ce dixième poème symphonique qui présente la caractéristique de résumer en quelque neuf à dix minutes la pièce de Shakespeare. »
En voici une version avec le London Philharmonic Orchestra dirigé par Barnard Haitink.
aifelle a dit:
Tu me fais découvrir aujourd’hui, je ne connaissais pas ; c’est un peu solennel.
anne7500 a dit:
Si ça peut te rassurer, ce sont souvent des découvertes pour moi aussi 😉 Hamlet n’est pas synonyme de pâquerettes…
Margotte a dit:
Je n’ai pas encore trouvé le temps de caser un peu de Shakespeare dans ce mois anglais 😦
anne7500 a dit:
Oui mais tu es concentrée sur Virginia…