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Archives de Catégorie: Des Mots en Poésie

Jean-Loup Dabadie, Ma Préférence

24 dimanche Mai 2020

Posted by anne7500 in Des Mots en Poésie, Des Mots français, Des Notes de Musique

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Jean-Loup Dabadie, Julien Clerc Ma Préférence

Jean-Loup Dabadie s’en est allé ce 24 mai. Parolier, scénariste, académicien, ce beau monsieur au sourire et au phrasé délicieux  a écrit pendant longtemps des chansons pour Julien Clerc, mon chanteur chouchou. C’est ans doute la plus connue, mais c’est la signature de Julien Clerc, la chanson qui marque chaque fin de concert. Ma Préférence… Salut l’artiste.

Je le sais
Sa façon d’être moi parfois vous déplaît
Autour d’elle et moi le silence se fait
Mais elle est
Ma préférence à moi
Oui je sais
Cet air d’indifférence qui est sa défense
Vous fait souvent offense
Mais quand elle est parmi mes amis de faïence, de faïence
Je sais sa défaillance
Je le sais
On ne me croit pas fidèle ce qu’elle est
Et déjà vous parlez d’elle à l’imparfait
Mais elle est
Ma préférence à moi
Il faut le croire
Moi seul je sais quand elle a froid
Ses regards ne regardent que moi
Par hasard elle aime mon incertitude
Par hasard j’aime sa solitude
Il faut le croire
Moi seul je sais quand elle a froid
Ses regards ne regardent que moi
Par hasard elle aime mon incertitude
Par hasard j’aime sa solitude
Je le sais
Sa façon d’être à moi parfois vous déplaît
Autour d’elle et moi le silence se fait
Mais elle est
Elle est ma chance à moi
Ma préférence à moi
Ma préférence à moi
Lalala
Lalalalalalalalala
Lalala
Lalalalalalalalala
Lalala
Lalala
Ma préference à moi
Ma préference à moi
Ma préference à moi

Bonne fête de Pâques !

12 dimanche Avr 2020

Posted by anne7500 in De la Belgitude, Des Mots en Poésie

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Colette Nys-Masure, Poésie

Bonne fête de Pâques à tous et à toutes, même si cette année elle a une saveur très particulière. J’espère que vous avez l’occasion et le moyen d’être reliés à d’autres par la technologie.

Je me permets de remettre ici un poème que j’avais déjà proposé en avril 2017. Je suis « retombée dessus » en cherchant autre chose sur le blog et je le trouve vraiment et toujours d’actualité.

Je sais la mort, le vide, l’angoisse suante.
Je pourrais hurler au mal, à la nuit.
Crier le temps à l’œuvre en moi :
la lente corruption des sources,
la chair qui se défait
et le cœur qui s’effrite.
Les pans d’ombre dévorant le soleil
et la vie s’échappe et fuit par toutes les issues.
Les espoirs mort-nés,
les soifs mal étanchées.
Les folies douces et noires,
les suicides rêvés
et l’usure de l’être,
la solitude, le gel de l’âme,
les illusions fanées,
les amours avortées.

Je dis la beauté du monde toujours offerte,
là, sous mes doigts, sous mes yeux.
La joie pudique et la fête sans lendemain.
L’espérance apprise,
la sève obstinée,
la chanson patiente.
Les instants d’éternité et l’éternité entrevue.
L’aventure inouïe d’un réveil,
le jaillissement de la création
et l’invention de l’amour.
Le bonheur surpris et la mort apprivoisée.

Je ne maudirai pas les ténèbres,
je tiendrai haut la lampe.

Colette NYS-MASURE, La Vie à foison, éditions Foissart, 1975

Arbres du parc de mon école, que j’ai hâte de retrouver

Un espoir virulent

22 dimanche Mar 2020

Posted by anne7500 in De la Belgitude, Des Mots en Poésie

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Carl Norac, Poésie

J’ai attrapé la poésie.

Je crois que j’ai serré la main

à une phrase qui s’éloignait déjà

ou à une inconnue qui avait une étoile dans la poche.

J’ai dû embrasser les lèvres d’un hasard

qui ne s’était jamais retourné vers moi.

J’ai attrapé la poésie, cet espoir virulent.

 

Voilà un moment que ce clair symptôme de jeter

les instants devant soi était devenu une chanson.

Ne plus être confiné dans un langage étudié,

s’emparer du mot libre, exister, résister

et prendre garde à ceux qui parlent d’un pays mort

alors que ce pays aujourd’hui nous regarde.

 

À présent, on m’interroge, c’était écrit :

« Votre langue maternelle ? »  Le souffle.

« Votre permis de séjour ? »  La parole.

« Vous avez chopé ça où ? »  Derrière votre miroir.

« C’est quoi alors votre dessein, étranger ? »

Que les mots soient au monde,

même quand le monde se tait.

 

J’ai attrapé la poésie.

Avec, sous les doigts, une légère fièvre,

je crève d’envie de vous la refiler,

comme ça, du bout des lèvres.

 

Carl NORAC, poète national en Belgique pour 2020 et 2021

Carl Norac a publié cette semaine sur le site Poète national ce deuxième texte, bien dans l’air du temps. En ce début de printemps, je vous souhaite un beau dimanche, envers et contre tout !

Fin de saison

27 dimanche Oct 2019

Posted by anne7500 in Des Mots en Poésie

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Poésie

J’étais si attentif
que le soir s’éteignait sur les coupoles
et que les sons gelaient à mes côtés,
se changeant en colonnes spiralées.

J’étais si attentif
que le flottement ondoyant des odeurs
s’affaissait dans l’obscurité
et que je me sentais comme si
je n’avais pas éprouvé le froid, jamais.

Soudain
je me suis réveillé si lointain
et si étranger,
déambulant derrière mon visage,
comme si, du relief insensé de la lune,
j’avais revêtu mes sens.

J’étais si attentif
que
je ne t’ai pas reconnue, et il se pourrait
que tu viennes encore,

chaque heure, chaque seconde,
et que tu passes à travers mon attente d’autrefois
comme à travers le spectre d’un arc de triomphe.

Nichita STANESCU, (1933–1983), Une vision des sentiments, in Les non-mots et autres poèmes, traduit du roumain par Linda Maria Baros, Textuel, 2005

Poèmes de Norge

20 dimanche Oct 2019

Posted by anne7500 in Des Mots en Poésie

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Geo Norge, Poésie

Cette semaine en Belgique francophone, du 16 au 20 octobre, on fête La Fureur de lire dans tous les lieux où aime lire et où on a envie de faire aimer la lecture. A cette occasion, chaque année, la Fédération Wallonie-Bruxelles édite des plaquettes de nouvelles et aussi de poèmes, et cette année une des plaquettes est consacrée au poète Geo Norge.

« Le poète Geo Norge, pseudonyme de Georges Mogin, (1898-1990) est un poète belge francophone. Son parcours poétique débute dans l’avant-garde mais il s’en détache et développe un style poétique souvent qualifié d’inclassable. Sa poésie se complaît dans de diverses formes: poèmes-récits longs, virelangues, micro-fables, vers réguliers et versets, entre autres. Derrière un langage poétique d’apparence simple, quasi enfantin, sa poésie pose des questions métaphysiques. De ce fait, ses poèmes oscillent entre le plus petit détail terrestre et la plus grande soif d’absolu. Ses poèmes sont chantés par Jeanne Moreau sur des musiques de Philippe Gérard. » (Source : Les voix de la poésie)

Voici donc deux poèmes de Norge.

Monsieur

Je vous dis de m’aider,
Monsieur est lourd.
Je vous dis de crier,
Monsieur est sourd.
Je vous dis d’expliquer,
Monsieur est bête.
Je vous dis d’embarquer,
Monsieur regrette.
Je vous dis de l’aimer,
Monsieur est vieux.
Je vous dis de prier,
Monsieur est Dieu.
Éteignez la lumière,
Monsieur s’endort.
Je vous dis de vous taire,
Monsieur est mort.

Famines, 1950

 

D’enfance

Dieu, qu’elle était belle
Nue à la chandelle,
Ma sœur !
Elle attendait son
Aimable garçon-
Brasseur.

Dieu, qu’elle était nue,
Rosement charnue,
Adèle,
Au moment hélas
Qu’elle soufflait la
Chandelle.

Ténèbres bien faites
Pour ces longues fêtes
Et pour
Ces luttes, ces rages,
Ces fleuves, ces nages,
D’amour !

Je n’ai su jamais
Comment ils s’aimaient,
Ô drames !
La vie et la mort
Faisaient un seul corps
En flammes.

Jamais plus au monde
Je n’écoute rien,
Rien comme
Ces cris de ma blonde
Sœur et du vaurien,
Son homme.

Derrière la porte,
Le ciel commençait,
Torride !
Mon âme, sois forte,
Tout, sauf  l’amour, c’est
Le vide.

Poèmes 1923-1988, Gallimard/Poésie

Quelques vers de Cyrano

13 dimanche Oct 2019

Posted by anne7500 in Des Mots en Poésie

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Cyrano de Bergerac, Edmond Rostand, Poésie, théâtre

Dimanche dernier, je suis allée admirer Cyrano de Bergerac, mis en scène par Thierry Debroux au Théâtre royal du Parc à Bruxelles, avec Bernard Yerlès dans le rôle-titre. C’est la même production qui a enchanté les ruines de l’abbaye de Villers-la-Ville cet été. Voici donc quelques vers d’Edmond Rostand, la célèbre tiradu du nez.

Cyrano
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.

En imperceptible Chagrin…

06 dimanche Oct 2019

Posted by anne7500 in Des Mots au féminin, Des Mots en Poésie, Des Mots nord-américains

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Emily Dickinson, Poésie

En imperceptible Chagrin
L’Eté s’est évanoui –
Trop imperceptible, à la fin,
Pour sembler perfidie –

Une tranquillité s’est distillée
Comme si se levait un long Demi-jour,
Ou si la Nature passait avec elle-même
Un après-midi cloîtrée –

Le Soir tombait plus tôt
Le matin scintillait en étranger –
Une Grâce courtoise, et pourtant tourmentée,
Comme un invité en partance –

Et donc, sans une Aile
Ni l’aide d’une Quille
Notre été s’est doucement échappé
Au coeur de la beauté.

Emily DICKINSON, traduit de l’anglais (États-Unis) par Zéno Bianu

Poème découvert chez Schabrière

Je chante le soi-même…

29 dimanche Sep 2019

Posted by anne7500 in Des Mots en Poésie

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Poésie, Walt Whitman

Je chante le soi-même, une simple personne séparée,
Pourtant je prononce le mot démocratique, le mot En Masse,
C’est de la physiologie du haut en bas, que je chante,
La physionomie seule, le cerveau seul, ce n’est pas digne de la Muse;
je dis que l’Ëtre complet en est bien plus digne.
C’est le féminin à l’égal du mâle que je chante,
C’est la vie, incommensurable en passion, ressort et puissance,
Pleine de joie, mise en oeuvre par des lois divines pour la plus libre action,
C’est l’Homme Moderne que je chante.

Walt WHITMAN, Feuilles d’herbes (Traduction de Jules Laforgue)

Roses d’automne

22 dimanche Sep 2019

Posted by anne7500 in Des Mots en Poésie

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automne, Nérée Beauchemin, Poésie

Aux branches que l’air rouille et que le gel mordore,
Comme par un prodige inouï du soleil,
Avec plus de langueur et plus de charme encore,
Les roses du parterre ouvrent leur coeur vermeil.

Dans sa corbeille d’or, août cueillit les dernières :
Les pétales de pourpre ont jonché le gazon.
Mais voici que, soudain, les touffes printanières
Embaument les matins de l’arrière-saison.

Les bosquets sont ravis, le ciel même s’étonne
De voir, sur le rosier qui ne veut pas mourir,
Malgré le vent, la pluie et le givre d’automne,
Les boutons, tout gonflés d’un sang rouge, fleurir.

En ces fleurs que le soir mélancolique étale,
C’est l’âme des printemps fanés qui, pour un jour,
Remonte, et de corolle en corolle s’exhale,
Comme soupirs de rêve et sourires d’amour.

Tardives floraisons du jardin qui décline,
Vous avez la douceur exquise et le parfum
Des anciens souvenirs, si doux, malgré l’épine
De l’illusion morte et du bonheur défunt.

Nérée BEAUCHEMIN

Pierre

15 dimanche Sep 2019

Posted by anne7500 in Des Mots en Poésie

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Charles Simic, Poésie

Aller dans une pierre,
Ce serait mon genre.
Un autre peut devenir un pigeon
Ou égratigner avec une dent de tigre.
Je suis heureux d’être une pierre.

Du dehors, la pierre est une énigme :
Personne ne sait comment répondre.
Pourtant à l’intérieur, ça doit être frais, calme
Même en plein sous le sabot d’une vache énorme,
Même si un enfant la lance dans une rivière ;
La pierre coule, lente, imperturbable
Tout au fond
Où les poissons viennent cogner dessus
Et écoutent.

J’ai vu des étincelles s’échapper
Lorsque deux pierres se frottent. Après tout,
L’intérieur n’est peut-être pas si sombre ;
Il y a peut-être un vague éclat de lune
On ne sait d’où – derrière une colline –
À peine assez brillant pour faire apparaître
Les écritures étranges, les diagrammes d’étoiles
Sur les parois.

Charles SIMIC, Etats des Lieux : 13 poètes américains, traduit de l’américain par Vincent Charles Lambert, Le Noroit, 2013

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Christian BOBIN, Un assassin blanc comme neige, Gallimard

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